tag:blogger.com,1999:blog-50514297437758661822024-02-19T17:43:05.606-08:00les cours dentaireListe des cours dentaire,Blanchiment des dents,Medecine Cours ...mouamahttp://www.blogger.com/profile/00154791330730939043noreply@blogger.comBlogger1111125tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-29341611535209431962012-03-25T09:03:00.001-07:002012-03-25T09:05:53.802-07:00Blanchiment des dents laser 2012<div><span><b>Blanchiment des dents laser</b></span></div><div><span><b><br /></b></span></div><div><span><b>Le problème de coloration des dents est un problème qui touche de nombreuses personnes depuis toujours. Mais avec le progrès de la science, on y trouve de nombreuses solutions aujourd’hui. Et l’une des méthodes les plus répandues et les plus efficaces en ce moment est le blanchiment des dents au laser. Une technique qui se pratique dans un cabinet dentaire et dont les résultats sont immédiats et très surprenants. </b></span></div><div><span><b><br /></b></span></div><div><span><b>Une méthode laser sure</b></span></div><div><span><b><br /></b></span></div><div><span><b>Le blanchiment des dents au laser est une méthode tout à fait sûre, la preuve en est qu’il se pratique chez le dentiste. Si vous voulez des résultats immédiats c’est l’une des solutions les plus appropriées que vous puissiez trouver en ce moment. Pour ceux qui ne l’ont jamais essayé, ils se demandent peut être comment fonctionne cette méthode qui semble être si révolutionnaire. Tout d’abord vous devez vous rendre chez le dentiste car c’est là-bas que ça se passe en général. Une fois installé, le dentiste commence par vous nettoyer les dents avec des produits appropriés. Ensuite c’est l’application d’un gel avec un fort agent blanchissant. C’est ce gel en fait qui permet de blanchir instantanément les dents. Mais alors où est la place du laser dans tout ça ? En fait le gel appliqué simplement sur les dents ne peut pas agir comme il le faut. Pour qu’il pénètre bien à travers l’émail pour faire correctement son travail, le dentiste utilise la lumière spéciale d’un laser pour faciliter le processus de pénétration. D’où le blanchiment des dents au laser. Après une heure de traitement en général les résultats sont visibles et très impressionnants.</b></span></div><div><span><b>Blanchiment au laser: très efficace</b></span></div><div><span><b><br /></b></span></div><div><span><b>Le blanchiment des dents au laser est une méthode très efficace, c’est d’ailleurs la technique la plus performante en ce moment. Ses résultats sont en effet rapides et meilleurs que ceux des autres méthodes utilisées dans le même cadre. Un patient qui utilise cette technique peut espérer gagner jusqu’à 8 tons de couleurs, tout dépendant de la couleur des dents et de leurs conditions avant le traitement. Toutefois, le principal inconvénient du blanchiment des dents au laser c’est son coût. En effet, si cette technique est la plus efficace du marché en ce moment, elle est aussi la plus onéreuse. Le prix varie en général en fonction du nombre de visite que vous effectuez. En effet, chaque visite donne un résultat immédiat, et certains patients peuvent avoir besoin de plusieurs visites avant d’obtenir le résultat désiré. Le prix peut varier également selon l’endroit où vous vivez, ou encore selon la procédure utilisée. Il faut compter en somme de 500 euros à quelques milliers d’euros pour un traitement complet avec plusieurs visites. </b></span></div>mouamahttp://www.blogger.com/profile/00154791330730939043noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-73719360869591858862012-03-25T08:59:00.001-07:002012-03-25T08:59:54.303-07:00Endodontie et l'obturation canalaire 2012<div style="font-family: Georgia, serif; font-size: 100%; font-style: normal; font-variant: normal; line-height: normal; "><b><br /></b></div><div><div><span ><b>1. INTRODUCTION</b></span></div><div><span ><b>Après éviction de la pulpe et la préparation de la cavité endodontique, l’obturation de tout le système canalaire est indispensable pour prévenir tout risque de réinfection .Le succès d’une fermeture hermétique complète de l’endodonte dépend directement de la forme de la préparation de ses limites et de la qualité du nettoyage.</b></span></div><div><span ><b>Alors L’obturation canalaire conclut le traitement endodontique et a pour principale fonction de prévenir l’infection du système canalaire ou d’emmurer les germes persistants à la fin de la préparation. Si son rôle est donc de pénériser les résultats obtenus lors de l’étape de désinfection, sa qualité est étroitement liée de celle des étapes de mise en forme et de nettoyage. Un consensus semble ainsi s’être dégagé pour privilégier une mise en forme conique du canal, le maintien de la perméabilité formaminale tout au long du traitement et l’élimination de la boue dentinaire avant l’obturation. Malgré l’absence de preuves définitives de la supériorité d’une technique sur une autre, les techniques faisant appel au compactage de gutta percha thermoplastifiée semblent être les seules à même de permettre une obturation véritablement tridimensionnelle du système canalaire. Cette séance de travaux pratiques a pour objet de présenter et de familiariser les participants avec deux techniques réputées pour la reproductibilité de leurs résultats, sans nécessiter une courbe d’apprentissage longue, à savoir la technique de gutta percha thermoplastifiée sur tuteur (ProTaper Obturator®, Dentsply-Maillefer) et la technique de condensation centrée en vague continue (Calamus®, Dentsply-Maillefer & Obturation Element Unit®, Sybron Endo).XXXX</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>OBJECTIFS</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b> OBJECTIFS TECHNIQUES :</b></span></div><div><span ><b>Est de remplir la totalité de l’endodonte par un système d’obturation capable de réaliser le scellement des canaux principaux ; latéraux et accessoires on assurant étanchéité parfaite au niveau du ou des foramen apicaux et accessoires.</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b> OBJECTIFS BIOLOGIQUES :</b></span></div><div><span ><b>Est de maintenir le résultat s obtenu par la préparation canalaire, en empêchant toute modification secondaire de l’environnement per apical par les éléments bactériens ou toxique.</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>3.LES CONDITIONS POUR L'OBTURATION CANALAIRE :</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>L e canal doit rependre à certains critères :</b></span></div><div><span ><b>1- Une culture négative.</b></span></div><div><span ><b>2- Pas d’exsudation excessive venant du canal.</b></span></div><div><span ><b>3- Absence de mauvaise odeur dans le canal.</b></span></div><div><span ><b>4- Pas de sensibilité per apicale.</b></span></div><div><span ><b>5- Pas de douleur, absence de symptomatologie.</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>4. LES LIMITES DE L'OBTURATION CANALAIRE :</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>Ce sont celles de la préparation, l’obturation doit arriver à la JCD qui se situe à 0,5 à 1 mm de l’apex radiologique</b></span></div><div><span ><b>Deux situations à considérer :</b></span></div><div><span ><b><br /></b></span></div><div><span ><b>• Dent pulpée sans destruction de la limite de la JCD</b></span></div><div><span ><b>• Dent nécrosée avec destruction de la JCD.</b></span></div></div>mouamahttp://www.blogger.com/profile/00154791330730939043noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-77848149448621982172012-03-25T08:54:00.000-07:002012-03-25T08:55:30.700-07:00A quoi sert la mutuelle dentaire ??<span ><b>Comme vous le savez ou l'avez probablement remarqué, mes frais dentaire sont très mal remboursé par l'assurance maladie et la sécurité sociale.De ce fait, il s'avère difficile de garder de belle dents sans se ruiner si vous n'avez pas souscrit à une bonne mutuelle santé dentaire. La souscription à une mutuelle dentaire est donc devenu de nos jours inéluctable de manière à pouvoir payer les frais du dentiste qui sont malheureusement de plus en plus cher, notamment à cause des équipements et techniques de plus en plus sophistiquées. La France est reconnu comme ayant l'un des meilleurs systèmes de santé au monde, or il est force de constater que le remboursement des frais dentaire ne fait pas partie du top. C'est même très faible et la mutuelle santé ou plus précisément un mutuelle dentaire spécifique permettra de remédier à ce manque. En résumé 2 solutions s'offrent vous, ou bien vous vous assurer vous même en mettant quelques centaines d'euros par mois sur un compte épargne si vous le pouvez et piocher dedans en cas de problème dentaire par exemple. Ou solution beaucoup plus simple et moins risqué, vous souscrivez à une mutuelle santé dentaire qui mutualisera le risque avec d'autre assuré afin de vous remboursé tout ou partie des frais occasionnés en fonction des options et garanties souscrites. ATTENTION cependant aux offres soit disant alléchantes qui rembourse à 100% du tarif de convention qualifiée de mutuelle discount car dans ce cas une grosse partie restera à votre charge et vous ne serait pas remboursé à 100% des frais total. Premier point, les frais liés au soin dit conservateur comme caries, amalgame sont fixes et sont remboursés à hauteur de 70% du tarif de convention par la sécurité sociale. Donc seulement 30 % reste à votre charge sans mutuelle santé dentaire . Les 30% restants pourront être remboursé en totalité ou en partie par la mutuelle dentaire en fonction des options souscrites. Le deuxième point qui est le plus important concerne les implants dentaire et prothèse dentaire qui eux ont des tarifs libres, donc des dépassements d' honoraires , qui avoisine très souvent 1000 euros pièce. Notons que l'assurance maladie, c'est à dire la sécurité sociale les remboursera à 70% sur une base de remboursement très inférieur à la réalité. Autant dire que l'on vous remboursera une peau de chagrin. donc mieux vaut avoir une bonne mutuelle dentaire pour ne pas avoir de problème financier ou devoir renoncer aux travaux dentaire. Attention aussi aux travaux parodontologique comme le détartrage par exemple où les chirurgiens dentistes pratiques bien souvent des dépassements d' honoraires qu'ils justifient par les investissements lourds en matériel pour leur cabinet. En espérant que cet article ait pu vous éclairer sur le rôle d'une mutuelle dentaire.</b></span>mouamahttp://www.blogger.com/profile/00154791330730939043noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-76104246439430706962011-06-26T04:30:00.001-07:002011-06-26T04:30:12.769-07:00Le traitement des maladies des gencives<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><span class="Apple-style-span" style="color: #0b5394;"><b>Prévention à l'honneur </b></span><br />
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Avant tout traitement des gencives, il devrait mettre en place une véritable hygiène dentaire. Parce que sans elle, la guérison ne sera pas satisfaisant et le traitement sera alors inefficace. L'hygiène dentaire se compose de brossage deux fois par jour pendant trois minutes ou plus. Il est également recommandé d'utiliser une brosse à dents souple (pas de continuer à blesser les gencives) et complétée par l'utilisation d'un fil ou des brossettes interdentaires.<br />
<br />
Ensuite, l'échelle, trimestrielle ou annuelle, votre dentiste vous recommandera la fréquence qui correspond à vos dents et vos habitudes alimentaires ... L'échelle n'est pas douloureuse et surtout, il ne prévient pas seulement la gingivite, mais il fait aussi de vous un sourire plus éclatant. Lorsque nous avons atteint le stade de la parodontite, une technique plus agressive appelée surfaçage radiculaire (qui élimine le tartre et de profondeur pour éviter l'adhérence microbienne du film) est ensuite utilisée, elle nécessite habituellement une anesthésie locale.<br />
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<span class="Apple-style-span" style="color: #0b5394;"><b>Lutte contre l'infection </b></span><br />
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La parodontite est une forte infectieuses, généralement des bactéries inoffensives dans la bouche sont invités dans le tissu qui soutient vos dents, ou qu'il n'est pas prêt. Il est donc important de contrôler la multiplication des bactéries. Les moyens à votre disposition pour lutter contre sont simples: bains de bouche antiseptiques et des antibiotiques, même si votre dentiste le juge nécessaire.<br />
<br />
Les rince-bouche ne sont pas toutes aussi efficaces que d'autres. Elles sont généralement assez pour ne pas prendre soin parce qu'ils n'atteignent les zones où le brossage classique est efficace, mais est un complément très utile à d'autres traitements. Les antibiotiques les faire, a recommandé que les patients qui sont plus susceptibles de développer des infections facilement et souvent pour un resurfaçage complet.<br />
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<span class="Apple-style-span" style="color: #0b5394;"><b>Dernière étape vers une amélioration: la chirurgie </b></span><br />
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Si aucune méthode non-invasive a permis d'obtenir des résultats, il peut être nécessaire de recourir à la chirurgie. Trois techniques coexistent, ils dépendent pour traiter les lésions et le choix sera fait avec votre dentiste afin de préserver autant que possible vos dents et gencives:<br />
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<ul style="text-align: left;"><li> La technique du lambeau d'assainissement a été d'enlever la gomme de la dent à l'os d'environ racine. Puis le chirurgien va enlever le tartre et la plaque, puis procéder à une réfection du revêtement de la dent pour le polir parfaitement et améliorer l'environnement de l'os de la dent. Enfin, la technique favorisera la guérison complète de la gencive sur la dent et d'éliminer ainsi la poche parodontale. </li>
</ul><br />
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<ul style="text-align: left;"><li> La technique de régénération tissulaire guidée, vise à régénérer les tissus de gomme en rétablissant les tissus de soutien perdue par la mise en place d'une membrane (résorbable ou non). Cette membrane forme une barrière à l'intérieur du parodonte et de l'espace ainsi créé, le nouveau tissu peut se reformer. </li>
</ul><br />
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<ul style="text-align: left;"><li> Enfin, la technique de la greffe osseuse est utilisée, elle permet lorsque l'os est affecté à remplacer les matériaux synthétiques, est alors une technique de lambeau ou la régénération sera appliquée. Dans tous les cas, il est alors nécessaire de maintenir une excellente santé et contrôler régulièrement l'état des gencives de garder un bon résultat. </li>
</ul></div>Unknownnoreply@blogger.com11tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-88688704307386628812011-04-17T14:35:00.001-07:002011-04-17T14:35:44.254-07:00Essayage des maquettes en cire<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1170" rel="bookmark" title="Permanent link to Essayage des maquettes en cire"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Essayage-des-maquettes-en-cire.jpg"><img align="left" alt="Essayage des maquettes en cire" border="0" height="110" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Essayage-des-maquettes-en-cire_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Essayage des maquettes en cire" width="144" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une fois le montage réalisée au laboratoire nous procéderont à la finition des maquettes en cire, et ensuite à l’essayage de ces maquettes, le contrôle de l’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> et des choix esthétiques avant la polymérisation ainsi que la stabilité et la rétention des <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a>s et enfin la phonation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Essayage des maquettes en bouche :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cet essayage doit se faire séparément, c’est-à-dire d’abord la maquette supérieure seule, ensuite la maquette inférieure seule, et enfin les deux maquettes ensemble. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Essayage de la maquette supérieure :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle sera insérée, centrée et appliquée sur la surface d’appuie afin de chasser l’air inclus sur la prothèse, cette pression permet de contrôler la bonne adaptation et l’absence de fuite d’air au niveau postérieur attestant de la qualité du joint postérieur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Contrôle de la stabilité et de la rétention :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- en général la maquette est stable et rétentive :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le joint périphérique étant facile à obtenir, si au repos la prothèse tend à descendre lentement c’est que le bord est trop long dans la région antérieure, ou que l’insertion des freins de la lèvre supérieure est limitée dans des déplacements physiologiques, dans ce cas il faut libérer les freins et les insertions musculaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- Stabilité dynamique :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour la tester on fait subir au patient certains testes comme l’ouverture moyenne de la bouche, l’ouverture grande, le simulacre de diffler, et la protraction de la lèvre supérieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- Pression digitale sur le bord libre des incisives supérieures :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si la maquette bascule, c’est que le joint postérieur est insuffisant ou mal situé (doit s’étendre 2à 3 mm au de la des fossettes), il sera améliorer par grattage (sur le plâtre) de la ligne de réflexion du voile 3mm de large pour 0.5mm de profondeur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- Pression digitale au niveau des prémolaires :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle ne doit provoquer aucun déplacement de la base du coté opposé, lorsque celui-ci existe soit que :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le montage est hors des crêtes (vestibulé).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le bord de la future prothèse du coté opposé n’est pas assez épais et n’est pas suffisant calé entre le versant vestibulaire de la crête et la face interne de la joue. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- Test de simulacre du sourire ou de succion ou de traction de la lèvre :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il peut se révéler une instabilité de la prothèse due à une sur extension des bords vestibulaires entraînant un écrasement de la ligne de réflexion muqueuse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- L’ouverture maximale de la bouche :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle permet de vérifier la limite postérieure de la prothèse et de constater si elle n’empiète pas sur les ligaments ptérygo-maxillaires, si la prothèse n’est pas stable il faut retoucher la zone rétro tubérositaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Contrôle de l’esthétique :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est celui auquel nous devrons prêter le plus d’attention car un patient accepte plus une prothèse esthétique que fonctionnelle, et fera beaucoup d’effort pour l’intégrer.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lors de cet essai on doit tout d’abord s’assurer de la réussite esthétique dans le choix et le montage des dents, leur forme, teinte, et dimension.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ce contrôle devra être effectué en recueillant l’air du patient qui sera examiné assis, debout, exposé à la lumière du jour et du scialytique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut également vérifier la ligne inter incisive qui doit correspondre à la ligne médiane du visage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut également contrôler la ligne du sourire et pour cela la fausse gencive ne doit pas être visible.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut également juger de la hauteur des dents, le bord libre doit être situé à 1 ou 2mm du bord libre de la lèvre supérieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut s’assurer également que la lèvre supérieure n’est pas entravée par dents trop vestibulées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Essayage de la maquette inférieure :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Stabilité et rétention :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut d’abord insérer la prothèse et la centrer comme précédemment, en principe la maquette est stable au repos.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lors d’une pression digitale sur le bord libre des incisives inférieures, si la maquette bascule : soit que les incisives inférieures sont implantées hors des crêtes, ou que le joint sub lingual est insuffisant ou des niches rétro molaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lors des mouvements de la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a>, si la prothèse bascule il faut libérer le frein lingual ou diminuer les bords para linguaux latéraux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lors d’une pression digitale sur les prémolaires, si la prothèse bascule : soit que le montage des dents est hors des crêtes, ou que le bord de la future prothèse du côté opposé n’est pas long.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Essayage des deux maquettes ensemble :</u></i> relation inter arcade </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- insérer les deux maquettes en installant le malade confortablement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- rechercher la relation centrée, une fois retrouvée s’assurer que l’agencement inter arcade dento-dentaire est satisfaisant. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- on contrôle la dimension verticale d’occlusion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- s’assurer des coïncidences des points inter incisifs supérieures, et inférieures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- contrôler l’engrènement qui doit correspondre à celui existant sur l’articulateur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- rechercher des contacts prématurés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toute erreur dans la relation inter arcade nous impose un nouvel enregistrement de la relation inter maxillaire ou articulé selon Tench.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Contrôle fonctionnel :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire prononcer au patient les labiodentales « fe » et « ve », on doit avoir un son non étouffé alors que le bord libre de la lèvre inférieure entre en contact avec le bord libre des incisifs supérieurs. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire prononcer au patient le « che » et « je », il ne doit pas t’y avoir de claquement ou de sifflement alors que les dents antérieures s’affrontent, dans le cas contraire il y à une surélévation de la dimension verticale d’occlusion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’émission des sibilants est ensuite exprouvée, un zézaiement se produit si les incisives inférieures sont trop lingualées (sifflants). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après le montage et l’essayage des maquettes et après satisfaction, on peut faire que la mise en moufle. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-86668819389714135502011-04-17T14:34:00.001-07:002011-04-17T14:34:24.491-07:00La polymérisation ou la mise en moufle<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1173" rel="bookmark" title="Permanent link to La polymérisation ou la mise en moufle"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-mise-en-moufle.jpg"><img align="left" alt="La mise en moufle" border="0" height="141" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-mise-en-moufle_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="La mise en moufle" width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque la constriction des maquettes en cire est terminée sur articulateur, elles sont essayées au cabinet dentaire, les modification secondaires sont alors apportées :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- par le praticien pour ce qui intéresse l’esthétique qu’il est seul à pouvoir apprécier.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- par le prothésiste technicien au laboratoire en ce qui concerne les retouches fonctionnelles.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Quand l’ensemble est jugé satisfaisant, il faut transporter ces maquettes en cire en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> définitive en résine. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Définition de la mise en moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est une méthode qui constitue à prendre d’une maquette en cire un moule en deux parties séparables, à éliminer alors la cire et à combler l’espace vide obtenu avec de la résine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cette opération se fait dans un moule dans lequel on coule du plâtre que l’on appel : moufle qui se compose en général de 3 parties : une partie inférieure en forme de cuvette, et une partie supérieure qui s’emboîte exactement sur l’inférieur (contre partie), et un couvercle ou des clavettes ou des brides.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Préparation des modèles et des maquettes avant la mise en moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- gratter sur le modèle lui-même, le joint postérieur après l’examen endo-buccal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- coller des feuilles d’étain aux endroits nécessitant des décharges. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la cire dans la région vestibulaire sera sculptée en fonction de l’esthétique en se souvenant que :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* les papilles inter dentaires sont pleines, arrondies, et jamais vidées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* il n’y à aucune surface plane en bouche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* la fibromuqueuse n’est pas lisse mais granitée, et renvoie ainsi la lumière dans toutes les directions.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est bon tout au moins dans la région antérieure d’essayer d’obtenir cet aspect.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sur la surface palatine on recherche une épaisseur aussi mince et régulière que possible, le meilleur moyen d’obtenir ce résultat est d’utiliser :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* si on veut une surface lisse, une feuille de cire 10/10.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* si l’on préfère une surface granitée, il faut mettre d’abord une feuille de cire 6/10 puis une feuille de cire granitée 4/10.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* si l’on désire en même temps la reproduction des papilles palatines, il faut d’abord appliquer une feuille de 6/10, sculpter les papilles et mettre sur le tout une feuille de cire granitée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- coller la maquette au modèle de plâtre pour éviter tout déplacement dans les manipulations ultérieures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>La mise en moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Choix du moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut choisir un moufle adapté aux modèles et surtout d’usage facile.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Impératifs d’une mise en moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La mise en moufle doit obéir aux impératifs suivants :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- être effectuée dans un moufle de longueur et de largeur en relation avec le volume du modèle et de sa maquette.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- assurer une épaisseur de plâtre en tout point excédant de 1cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- assurer la séparation des différentes parties du moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prévoir et compenser toutes les expansions de la résine acrylique en cours de polymérisation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- supprimer, éliminer tout risque de surépaisseur de distorsion et de porosités. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique d’élimination de la cire : ébouillantage</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- vérifier l’absence de toute trace de cire résiduelle sur les dents pour être certain de retrouver très précisément leur place plus tard après ébouillantage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- vérifier que la hauteur du modèle permet que sans toucher le fond de la partie inférieure du moufle les dents sont sensiblement au milieu de la partie supérieure en plâtre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- vaseliner l’intérieur du moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- mouiller le plâtre du modèle, ou le vernir ou encore l’enrober dans une pièce d’étain.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- préparer de façon classique du plâtre. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- remplir la cuvette du moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- poser dans la cuvette garni de plâtre l’ensemble modèle-maquette.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire en sorte que le plâtre encore moue vient à un niveau tel que tout ce qui reste apparent soit de dépouille dans le sens vertical, celui de la séparation des deux parties du moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- avant la prise définitive lissant sur l’eau le plâtre visible.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- attendre la prise du plâtre puis vernir ou passer un isolant.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- mettre en place la partie supérieure du moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- préparer à nouveau du plâtre, le couler dans le moufle, poser le couvercle et maintenir le tout sans presser pendant la prise du plâtre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- avant d’ouvrir le moufle, le mettre pendant quelques minutes dans l’eau chaude pour ramollir la cire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- enlever complètement la cire du moufle et éliminer toute trace de cire à l’eau bouillante, additionner de détergent.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- passer sur toute la surface du plâtre un vernis à chaud pour éviter que le monomère soit absorbé par le plâtre et que l’eau ne pénètre dans la résine pendant la polymérisation. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Matériau utilisé : la résine</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La principale résine utilisée est une résine acrylique, il s’agit d’un poly méthyle méthacrylate, c’est au départ une résine transparente qui est colorée dans n’importe quelle nuance, et à des degrés différents de translucidité.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle est dure, de densité de 1.20, stable, et se ramollie à 125° d’usage très facile elle se présente :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- un liquide, et le monomère est le méthyle méthacrylate.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une poudre composée de grains sphériques pouvant être polymérisées à partir du monomère chauffé, le poly méthyle méthacrylate.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le rapport poudre – liquide à une influence sur la structure finale de la résine, plus on augmente la quantité du polymère et plus la réaction de polymérisation est rapide, et il faut utiliser suffisamment de liquide pour mouiller toutes les perles du polymère.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La réaction mono polymère passe par différents stades mais celui qui nous intéresse est le stade de la gélification, l’ensemble devient pâteux et n’adhère plus aux parois du récipient du mélange.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est à ce moment la qu’il faut l’introduire dans le moufle, ne pas attendre que la masse devienne caoutchouteuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tout eau incorporé dans la résine durant la prise soit accidentellement soit à partir du plâtre accélère la polymérisation, change la teinte et peut faire apparaître des craquelles d’où la nécessité du vernissage du moufle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Vernissage du moufle :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le plâtre étant un matériau avide de liquide donc il peut absorber le monomère liquide donc de compromettre le résultat final, de ce fait il faut utiliser des isolants capables de :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- assurer un démouflage sans risque de fracture.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- rendre plus aisée la séparation de la prothèse de son modèle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- permettre la récupération du modèle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prévenir toute réaction <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> primaire ou secondaire entre la résine et le plâtre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- interdire toute union physique entre le plâtre et la résine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- supprimer tout risque de pénétration du monomère dans le plâtre ou toute vapeur d’eau dans la résine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- être inerte.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- être insoluble dans l’eau et le monomère (indoleable).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- être de manipulation aisée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Mise en place de la résine :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La réaction de polymérisation est exothermique, et le point d’ébullition du monomère est très peu supérieur à 100°C, si à l’intérieur de la résine cette température est dépassée on notera l’apparition de porosités internes dues à la formation de bulles engendrée par l’ébullition du monomère.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un retrait de durcissement est souvent mis en évidence au niveau du joint postérieur d’une prothèse supérieure ce qui justifie le grattage du post dame. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le procédé de mise en place de la résine dépend du moufle utilisé :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Moufle classique :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après malaxage énergique de la résine celle-ci est moulée en forme de boudin et posée sur les dents dans la partie supérieure du moufle, une feuille de cellophane est placée sur la résine et un essai de fermeture est effectué sous pression en serrant à fond mais lentement et progressivement pour que la pâte s’étale régulièrement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après on ouvre le moufle et on retire la feuille de cellophane et on supprime les excès de résine qui s’étend sur le plâtre, le moufle est alors fermé définitivement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Moufle à injection :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La résine est forcée dans le moufle fermé occupant ainsi l’espace laissé par l’air évacué par un évent, et permettant le contrôle du bon remplissage du moufle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Polymérisation à chaud : de la résine à la cuisson</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- placer le moufle dans l’eau à 65°C.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- maintenir cette température pendant 90 minutes environ.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- porter la température de l’eau à 100°.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- laisser retomber la température du bain marie à 80°.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sortir le moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- laisser refroidir pendant 30 minutes.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- mettre sous un couront d’eau froide pendant 15 minutes.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- procéder au démouflage. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Remarque :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">A partir de ce moment, et mise à part les temps de travail la prothèse en résine doit être conservée dans l’eau, la résine en effet absorbe une certaine quantité d’eau jusqu’à saturation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">D’autres part en milieu sec une partie de cette eau est rejetée entraînant une distorsion secondaire par déshydratation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">[C’est pour ça les vieux mettent leur prothèse dans l’eau en raison de la distorsion, absorption de la salive, elle n’absorbe pas la salive donc elle est rétentive, car saturée d’eau qu’elle à absorbée]</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les porosités :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elles constituent un écueil majeur de la polymérisation, elles sont dues à :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la présence d’humidité dans le gel avant le bourrage (mono polymère).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le mélange polymère monomère non homogène (sphérules de poudre non au contact avec le monomère).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- isolant de mauvaise qualité ou mal répartie permettant le passage de l’eau du plâtre ou l’absorption du monomère par le plâtre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- élévation trop rapide ou trop brutale de la température pendant la cuisson. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Grattage et finition :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque la cire à été bien finie, le grattage est très réduit il suffit de :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- passer un papier verre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le polissage : il se fait d’abord avec la pierre ponce et une brosse à poils longs et souples, et beaucoup d’eau pour éviter l’échauffement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque la résine est brillante on peut lustrer en utilisant des pâtes grasses en pain et un disque en peau de chamois ou une brosse en poils de mouton.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La réussite de la mise en moufle est le résultat d’un travail bien entrepris depuis la prise d’empreinte, il s’agit du finish et sa réussite est très importante. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-3029759209320599162011-04-17T14:33:00.001-07:002011-04-17T14:33:23.180-07:00L’occlusion équilibrée bilatérale<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1176" rel="bookmark" title="Permanent link to L’occlusion équilibrée bilatérale"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="L’occlusion équilibrée bilatérale" border="0" height="148" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Locclusion-quilibre-bilatrale_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="L’occlusion équilibrée bilatérale" width="244" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’édentation se caractérise par la disparition d’un élément constituant essentiel du système stomatognathique : les dents et leurs tissus de soutien, il en résulte des perturbations sévères au niveau des différentes fonctions assurées par le système : désordre phonétique, réflexes de la déglutition modifiés, mais surtout la perte de la fonction occlusale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>La fonction occlusale :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> s’articule avec le crâne par deux types d’articulations :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les ATM qui permettent la mobilité de l’os et son attachement par rapport au crâne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’engrènement dento-dentaire qui assure la fonction occlusale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Celle-ci joue un rôle essentiel dans la mastication mais également très important dans la phonation et la déglutition.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’articulation dento-dentaire, inter arcade est le facteur prédominant du centrage de l’os mandibulaire par rapport au crâne : l’intercuspidation maximale constitue un stop d’arrêt précis du mouvement d’élévation de la mandibule déterminant ainsi la dimension de l’étage inférieur de la face, d’autre part cette IM induit le centrage de la mandibule dans les ATM.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les restaurations prothétiques des édentations totales bi maxillaires devront donc répondre à un double impératif :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- reconstituer le système dentaire disparu pour permettre de retrouver la fonction occlusale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- s’intégrer harmonieusement d’un point de vue physiologique au sein des éléments subsistants du système stomatognathique à savoir les ATM, leurs ligaments, le système neuromusculaire qui permet le contrôle des mouvements fonctionnels.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>La différence entre la denture naturelle et la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> totale :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1- les dents naturelles sont fixées indépendamment les unes des autres (attache individuelle) aux maxillaires par un système desmodontal qui leur est propre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents prothétiques sont toutes fixées solidairement sur la même base qui repose sur une muqueuse souple (attache collective).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2- si une mal<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> intervient au niveau d’une dent naturelle son effet est limité au début à cette dent et à sa région.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si une malocclusion affecte une dent prothétique, elle intéresse la totalité de l’arcade car toutes les dents sont solidaires et les plaques bases répercutent à distance les effets de cette malocclusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3- la dent naturelle peut s’adapter à une malocclusion (migration, rotation, ingression), et de ce fait la réaction pathologique est différée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les possibilités d’adaptation prothétique sont nulles de sorte qu’une malocclusion entraînera une réponse pathologique immédiate (déplacement de la prothèse, irritations muqueuses).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Le rôle de l’occlusion en prothèse totale :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La réhabilitation d’une occlusion équilibrée bilatérale est clé du succès dans le traitement des édentations totales bi maxillaires, en effet l’adhésion et la sustentation des bases prothétiques sur la muqueuse sont sous la dépendance du facteur occlusal en priorité (des prothèses très bien conçues mais défaillantes sur le plan occlusal perdent leur rétention). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">De ce fait la réhabilitation d’une occlusion équilibrée bilatérale en prothèse totale joue trois rôles essentiels. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>1- La préservation des tissus de soutiens :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La conservation des crêtes osseuses est sous la dépendance directe des forces qui s’exercent sur elles, en effet la base prothétique transmet les forces occlusales aux tissus de soutien dont l’intensité et l’orientation peut entraver une stimulation physiologique ou une résorption accélérée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>2- Assurer la stabilité des prothèses :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les contacts occlusaux statiques et dynamiques engendrent des forces orientées par les versants cuspidiens, le contrôle de ces forces par de bons enregistrements <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a>s, un montage des dents convenables, et une équilibration finale soignée assurera la stabilité prothétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>3- La restauration des fonctions de mastication, phonation, et de déglutition :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’efficacité masticatoire est sous la dépendance de la position d’intercuspidation maximale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la phonation est tributaire du montage et surtout des dents antérieures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la déglutition provoque les contacts inter dentaires les plus nombreuses et les plus longs.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La position d’IM en relation centrée permet d’assurer cette fonction efficacement sans déplacement des prothèses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Impératifs d’une relation équilibrée :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>1- </i><i><u>Stabilité en relation centrée :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En prothèse totale, l’intercuspidation maximale doit toujours être recherchée en relation centrée, elle est universellement adoptée comme position thérapeutique en prothèse totale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans cette position, les prothèses doivent être parfaitement stables, le résultat est obtenu grâce à un enregistrement précis des rapports inter maxillaires, un montage, et une équilibration aboutissant à des contacts égaux et répartis également entre les prothèses, tant dans le sens antéropostérieur que transversal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les contacts cuspidiens doivent s’effectuer au fond des fosses et non sur les versants ce qui entraînerait le déplacement des bases. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>2- </i><i><u>Réalisation d’une occlusion balancée :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La recherche d’une stabilité prothétique à été à l’origine du concept de l’occlusion balancée (Gysi), ce concept préconise un montage des prothèses en protection canine (ils constituent une minorité).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les avantages d’une occlusion équilibrée en prothèse totale :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- si les aliments s’intercalent entre les dents sur l’un des côtes de l’arcade ce n’est que pour peu de temps, lois de la mastication : il y à rapidement des contacts brefs à traire le bol alimentaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la plus part du temps, il n’y à rien d’intercale et l’avantage de l’équilibre en occlusion centrée et excentrée est évident et utile dans tous les milliers de contact journaliers lors de la mastication.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une pression égale sur toutes les parties des arcades dentaires fournit une rétention potentielle pour les moments ou la stabilité des prothèses est soumise à un effort soudain.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les facteurs qui régissent la réalisation d’une occlusion balancée ont été énumérés par Hanau et formulés par Thieleman.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les autres cinq facteurs qui ont des relations étroites sont :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’inclinaison du trajet condylien IC.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’inclinaison du trajet incisif II.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la hauteur des cuspides HC.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la courbe de compensation CC.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le plan d’occlusion PO.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La formule de Theilman s’écrit ainsi :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">IC * II</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">——————— = équilibre</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">CC * PO * HC </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En prothèse totale nous pouvons agir sur les 4 facteurs modifiables II, HC, CC, PO, seul la pente du trajet condylien est un facteur que nous devons enregistrer sur le patient.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’occlusion balancée en prothèse totale ne nécessite pas le contact de toutes les dents entre elles. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elles peuvent être considérées comme équilibrées si 3 points sont en contact, par exemple :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Côté travaillant : un contact vestibulaire entre la 2<sup>ème</sup> molaire supérieure et la 2<sup>ème</sup> molaire inférieure, et un contact de la canine supérieure avec la canine inférieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Côté non travaillant : un contact de la cuspide linguale de la 2<sup>ème</sup> molaire supérieure avec la cuspide vestibulaire de la 2<sup>ème</sup> molaire inférieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toute fois, il est préférable d’obtenir des contacts maximum sur toutes les cuspides travaillantes et un petit nombre (moins) sur le côté non travaillant.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>3- </i><i><u>Liberté en occlusion centrée :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ce point est controversé, l’école gnathologique préconise une position centrée bien définie et ne peut-être abandonnée que pour des excursions latérales coordonnées à partir de cette position.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour d’autres, une certaine liberté (Wide centric, freedom in centric) est nécessaire pour compenser un glissement des bases sur les muqueuses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>4- </i><i><u>Efficacité de l’action Secante et Broyante :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le choix des dents est prépondérant, de leur efficacité dépend la diminution de l’effort musculaire et des traumatismes au niveau des tissus de soutiens.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents cuspidées sont préférables aux dents plates, les dents en porcelaine aux dents en résine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les faces occlusales en métal coulé sont incontestablement les plus efficaces.</div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-65762940182083295662011-04-17T14:30:00.001-07:002011-04-17T14:30:50.163-07:00Equilibration en prothèse totale adjointe<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1182" rel="bookmark" title="Permanent link to Equilibration en prothèse totale adjointe"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="Equilibration en prothèse" border="0" height="173" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Equilibration-en-prothse_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Equilibration en prothèse" width="244" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’équilibration constitue la dernière étape de la restauration prothétique, elle est destinée à assurer une répartition harmonieuse et durable des forces masticatoires sur l’ensemble des tissus de support et sur leur infrastructure osseuse aussi bien en relation centrée qu’au cours des différentes fonctions excentrées à savoir la latéralité et la propulsion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Rappel fondamental :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents postérieures supérieures et inférieures possèdent des cuspides qui ont été différenciées par Alkerman en :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- <i>les cuspides d’appuie :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est les cuspides primaires d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>, de support, ou de soutient, qui vont se loger dans les fossettes, et qui sont : les cuspides palatines supérieures et vestibulaires inférieures et qui rentrent en contact avec le fond d’une face occlusale d’une dent antagoniste, ces cuspides ne seront jamais meulés car on entraînerait une diminution du pouvoir de mastication et une chute de la dimension verticale. (Elles assurent le maintient de la DV si on utilise un articulateur semi adaptable, mais avec l’occluseur on peut les toucher). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>- les cuspides de surplomb :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est les cuspides guides, ou cuspides secondaires d’occlusion, ce sont les cuspides vestibulaires des dents maxillaires et les cuspides linguales mandibulaires, ces cuspident peuvent être meulées sans grand dommage si elles sont responsables des interférences occlusales à l’origine d’un déséquilibre prothétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Equilibration immédiate :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Objet ou but :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cette équilibration immédiate (extemporanée) se fait le jour de l’insertion de la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> en bouche (livraison).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Son but c’est de ne pas faire subir aux tissus recouvrant la surface d’appuie des pressions excessives localisées au niveau des seuls points de contact prématurés, ces pressions limitées aux zones de surcharge occlusale se traduiraient par un tassement de la fibromuqueuse et souvent même par un modelage de l’os sous jacent. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle se fait sur articulateur et ne doit pas être réalisée en bouche pour les raisons suivantes :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- certains points de contact imperceptibles en bouche risquent de provoquer des phénomènes de dérapage et un déséquilibre antérieur de la prothèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la précision des corrections est faible en bouche car sur articulateur la visibilité des rapports dento-dentaires est directe.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Meulage en relation centrée :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’objectif recherché par ce meulage en relation centrée est la répartition uniforme des contacts dento-dentaires entre les dents maxillaires et mandibulaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une cuspide entre en contact avec une fosse ou une gouttière intercuspidienne et le problème qui se pose est le suivant : « faut-il réduire la cuspide ou approfondir la fosse »</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">A cette question précise on peut répondre :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- il ne faut pas meuler les cuspides de support ou de soutient (cuspides palatines maxillaires et cuspides vestibulaires mandibulaires).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- cependant, on peut modifier les cuspides guides ou secondaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une cuspide active responsable d’un contact prématuré ne sera réduite que lorsqu’au cours d’un mouvement de diduction, elle gênera le contact bi cuspidien du côté opposé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- dans le cas contraire, c’est la fosse qui sera approfondie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- deux autres dysharmonies interocclusales peuvent exister : un dérapage antérieur, dans ce cas le meulage s’effectuera aux dépend des versants cuspidiens mésiaux supérieurs et distaux inférieurs soit la formule : MS – DI. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si l’erreur est trop importante ou que le dérapage est latéral important, il faut refaire le montage des dents postérieures. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Meulage en latéralité :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’effectue en deux étapes : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Equilibration du côté travaillant :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le meulage devra s’effectuer transversalement du côté travaillant et diagonalement du côté balançant, il préservera toujours les points de contact en relation centrée, le meulage devra respecter la morphologie occlusale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si les contacts intéressent le côté travaillant, ils sont de deux types :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- un contact entre le versant externe de la cuspide palatine et le versant interne de la cuspide linguale, il faut meuler dans ce cas la cuspide linguale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- un contact entre le versant externe de la cuspide vestibulaire mandibulaire et le versant interne de la cuspide vestibulaire maxillaire, il faut meuler dans ce cas la cuspide vestibulaire maxillaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Equilibration du côté balançant :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’équilibration se fera jusqu’à obtention de contact entre les versants internes des cuspides palatines maxillaires et les versants externes des cuspides vestibulaires mandibulaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ces contacts assurent la stabilité de la prothèse pour les mouvements de latéralité, ils sont dits équilibrants. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Meulage en propulsion :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans les mouvements de propulsion, il faut obtenir des contacts antérieurs équilibrés par des contacts postérieurs.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- au niveau antérieur, l’objectif c’est d’obtenir le glissement en propulsion au minimum entre une dent maxillaire et une dent mandibulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- au niveau postérieur, on doit avoir au minimum : un contact entre une molaire maxillaire et une molaire mandibulaire à droite et à gauche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En propulsion, s’il existe des prématurités sur les dents antérieures, elles seront meulées de la façon suivante :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sur les incisives et canines mandibulaires : il faut meuler dans le sens vestibulo-lingual le bord libre, et sur les incisives et canines maxillaires dans le sens palato-vestibulaire à fin de respecter la trajectoire incisive. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sur les dents postérieures, il faut meuler les versants distaux des cuspides vestibulaires maxillaires jusqu’à obtention d’un contact généralisé soit les versants mésiaux des cuspides linguales mandibulaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Selon la formule : DS – MI.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Rodage à l’aide d’une pâte abrasive :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il à pour objet de polir toutes les aspérités (inégalités) qui risqueraient de créer des zones de friction au cours de mouvement de glissement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ce rodage sera fait en relation centrée, en propulsion, et en latéralité pour cela il faudra bien marquer à nouveau les contacts interocclusaux et procéder au polissage avec des meulettes vertes en Dedecco, en caoutchouc, ensuite on utilise des pâtes abrasives. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Résumé :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tout meulage sélectif doit obéir aux impératifs suivants :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- répartir la charge occlusale d’une façon harmonieuse sur toute l’étendue de la surface occlusale des deux arcades.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- préserver au maximum la D.V.O.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- préserver la convexité des cuspides actives primaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- augmenter les versants cuspidiens stabilisants et diminuer tous les versants cuspidiens balançants.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pratiquer le meulage avant le rodage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Equilibration secondaire :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On appelle équilibration secondaire l’ensemble des manipulations conduites au cabinet et / ou au laboratoire intervenant au terme d’une période plus au moins longue de l’adaptation, et destinée à assurer une répartition harmonieuse de la charge occlusale au cours de toutes les occlusions centrées et excentrées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut procéder de la même manière que plus haut, d’abord faire une équilibration en relation centrée, soit une équilibration lors des mouvements fondamentaux et terminer le travail par un rodage des zones à meuler.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Equilibration médiate :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit de toutes les corrections inter occlusales devant intervenir entre l’équilibration immédiate réalisée le jour de la livraison, et l’équilibration secondaire finale au moment optimal ou la prothèse à achever son intégration organique et psychique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Leurs objectifs sont destinés à corriger progressivement les déséquilibres occluso-articulaires même légers. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La technique consiste à revoir le malade le lendemain de la livraison et de voir si le patient est satisfait ou non.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans le 2ème cas, il faudra procéder immédiatement à la recherche des causes des prématurités et à les éliminer et ensuite de prévoir une équilibration secondaire jusqu’à obtention d’un confort optimal. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-78117674433970909422011-04-17T14:29:00.001-07:002011-04-17T14:29:31.032-07:00La prothèse immédiate<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1185" rel="bookmark" title="Permanent link to La prothèse immédiate"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="La prothèse immédiate" border="0" height="119" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-prothse-immdiate_thumb.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="La prothèse immédiate" width="119" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> transitoire (ou provisoire) conçue avant les extractions et insérée juste après celle-ci.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>L’objectif :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le remplacement sans transition des organes dentaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de l’aspect esthétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la conservation de la DVO primitive.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de la phonation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’amélioration du processus de cicatrisation et l’ostéogenèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la position sociale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la vie affective : le patient trouvera toujours humiliante et dégradante la période d’édentation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’âge : les jeunes sont beaucoup plus pressés que les vieux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les circonstances particulières : les fêtes, les mariages.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les contres indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une santé défaillante : cardiopathie, affection sanguine, diabète. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la présence de foyers infectieux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Avantages :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la conservation de l’intégrité des structures musculaires et articulaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de l’ATM.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’adaptation à la prothèse définitive.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- éviter la résorption.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Inconvénients :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le coût et le temps de réalisation élevé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- des rebasages fréquents.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique de réalisation de la prothèse immédiate :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte préliminaire à alginate, et la coulée au laboratoire : elle permet de conserver les documents prés extractionnels POP, DVO, RC, forme et dimension des dents. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- empreinte secondaire : confectionner un PEI, et on met sur les dents un peut de cire puis de la résine au dessus. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte de travail.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ajustage du PEI.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire un joint périphérique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte avec un matériau plastique au tiochol, éviter la pâte à oxyde de zinc eugénol. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la coulée de l’empreinte, la confection des bourrelets d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>, prise d’occlusion, DVR, DVO, et le montage des dents.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préparation du patient : une antibiothérapie la veille puis le mettre sous hémostatique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- construction de la prothèse au laboratoire : le but est de supprimer les dents naturelles existantes sur le modèle et de les remplacer par des dents artificielles et de transférer la maquette ainsi obtenue en une prothèse bien finie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> on fait des extractions avec régularisation des septums et élimination des épines saillantes, on peut utiliser un produit de mise en condition tissulaire, et sutures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Mettre la prothèse en bouche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les doléances :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ne pas retirer la prothèse les premières 24 heures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- mettre de la glace les premières heures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prendre des sédatifs s’il à mal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une nourriture liquide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- 24 heures après retirer la prothèse avec précaution, elle sera lavée avec du sérum, et la surface d’appuie sera examinée et dépourvue de pansement qui sera remplacé par le matériau de mise en condition tissulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La prothèse immédiate constitue un procédé de choix pour réduire au minimum le difficile passage de l’édentement partiel à l’édentement total, elle accélère la cicatrisation et permet l’adaptation rapide à la nouvelle prothèse. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-64810452223977760932011-04-17T14:28:00.001-07:002011-04-17T14:28:18.206-07:00Rebasage en prothèse totale<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1188" rel="bookmark" title="Permanent link to Rebasage en prothèse totale"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="Teeth" border="0" height="244" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Rebasage-en-prothse-totale_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Teeth" width="195" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le rebasage signifie le renouvellement total de la base d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> en vue de sa meilleur adaptation à tout les tissus.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il convient de distinguer le rebasage du remarginage des bords.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Indications du rebasage :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- amélioration de la valeur mécanique et fonctionnelle d’une base prothétique qui à perdue avec le temps son adaptation mécanique mais satisfaisante du point de vue esthétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- suite à une résorption osseuse physiologique, appareillage juste après l’extraction.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- résorption pathologique due à l’existence de maladie à caractère évolutif (diabète). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- rendre plus stable et plus confortable une prothèse très ancienne appartenant à un patient très âgé (un infirme).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- répartir la D.V.O correctement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pour modifier le niveau du P.O.P.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- dans le cas de base poreuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Contres indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une prothèse peu esthétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la grande instabilité de la prothèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une grave erreur d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>La technique :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique directe à la résine auto :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle se réalise à titre exceptionnel de manière très rapide car réalisée en bouche, elle présente des inconvénients liées à la résine qui peut brûler la muqueuse, elle peut indisposer le malade d’une allergie au monomère.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Des porosités qui apparaissent dans le temps entraînent des micro anfractuosités pouvant retire les aliments et déclancher des maladies tel que les mycoses, et entraîner la mauvaise haleine, il aura une mauvaise union entre les deux résines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique indirecte :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire une empreinte analytique (secondaire) de réadaptation anatomo-fonctionnelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le remarginage des bords de la prothèse avant le rebasage avec la pâte de Kerr (postérieur, latéral, vestibulaire, antérieur).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il se fait comme une empreinte secondaire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- couler l’empreinte au laboratoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- retirer le matériel de l’intrados. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire une mise en articulateur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire un montage correct (l’occlusion en articulé de Tench). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- réajuster la plaque basse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- finir la cire, et faire la mise en moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire la polymérisation et faire la finition.</div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-50637550374810231612011-04-17T14:27:00.001-07:002011-04-17T14:27:20.463-07:00La prothèse immédiate<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1185" rel="bookmark" title="Permanent link to La prothèse immédiate"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="La prothèse immédiate" border="0" height="119" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-prothse-immdiate_thumb.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="La prothèse immédiate" width="119" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> transitoire (ou provisoire) conçue avant les extractions et insérée juste après celle-ci.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>L’objectif :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le remplacement sans transition des organes dentaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de l’aspect esthétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la conservation de la DVO primitive.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de la phonation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’amélioration du processus de cicatrisation et l’ostéogenèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la position sociale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la vie affective : le patient trouvera toujours humiliante et dégradante la période d’édentation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’âge : les jeunes sont beaucoup plus pressés que les vieux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les circonstances particulières : les fêtes, les mariages.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les contres indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une santé défaillante : cardiopathie, affection sanguine, diabète. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la présence de foyers infectieux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Avantages :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la conservation de l’intégrité des structures musculaires et articulaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préservation de l’ATM.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’adaptation à la prothèse définitive.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- éviter la résorption.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Inconvénients :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le coût et le temps de réalisation élevé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- des rebasages fréquents.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique de réalisation de la prothèse immédiate :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte préliminaire à alginate, et la coulée au laboratoire : elle permet de conserver les documents prés extractionnels POP, DVO, RC, forme et dimension des dents. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- empreinte secondaire : confectionner un PEI, et on met sur les dents un peut de cire puis de la résine au dessus. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte de travail.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ajustage du PEI.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire un joint périphérique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prise d’empreinte avec un matériau plastique au tiochol, éviter la pâte à oxyde de zinc eugénol. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la coulée de l’empreinte, la confection des bourrelets d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>, prise d’occlusion, DVR, DVO, et le montage des dents.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la préparation du patient : une antibiothérapie la veille puis le mettre sous hémostatique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- construction de la prothèse au laboratoire : le but est de supprimer les dents naturelles existantes sur le modèle et de les remplacer par des dents artificielles et de transférer la maquette ainsi obtenue en une prothèse bien finie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> on fait des extractions avec régularisation des septums et élimination des épines saillantes, on peut utiliser un produit de mise en condition tissulaire, et sutures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Mettre la prothèse en bouche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Les doléances :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ne pas retirer la prothèse les premières 24 heures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- mettre de la glace les premières heures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- prendre des sédatifs s’il à mal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une nourriture liquide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- 24 heures après retirer la prothèse avec précaution, elle sera lavée avec du sérum, et la surface d’appuie sera examinée et dépourvue de pansement qui sera remplacé par le matériau de mise en condition tissulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La prothèse immédiate constitue un procédé de choix pour réduire au minimum le difficile passage de l’édentement partiel à l’édentement total, elle accélère la cicatrisation et permet l’adaptation rapide à la nouvelle prothèse. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-70469594409395386542011-04-17T14:22:00.001-07:002011-04-17T14:22:09.311-07:00Rebasage en prothèse totale<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1188" rel="bookmark" title="Permanent link to Rebasage en prothèse totale"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="Teeth" border="0" height="244" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Rebasage-en-prothse-totale_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Teeth" width="195" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le rebasage signifie le renouvellement total de la base d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> en vue de sa meilleur adaptation à tout les tissus.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il convient de distinguer le rebasage du remarginage des bords.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Indications du rebasage :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- amélioration de la valeur mécanique et fonctionnelle d’une base prothétique qui à perdue avec le temps son adaptation mécanique mais satisfaisante du point de vue esthétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- suite à une résorption osseuse physiologique, appareillage juste après l’extraction.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- résorption pathologique due à l’existence de maladie à caractère évolutif (diabète). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- rendre plus stable et plus confortable une prothèse très ancienne appartenant à un patient très âgé (un infirme).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- répartir la D.V.O correctement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pour modifier le niveau du P.O.P.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- dans le cas de base poreuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Contres indications :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une prothèse peu esthétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la grande instabilité de la prothèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une grave erreur d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>La technique :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique directe à la résine auto :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle se réalise à titre exceptionnel de manière très rapide car réalisée en bouche, elle présente des inconvénients liées à la résine qui peut brûler la muqueuse, elle peut indisposer le malade d’une allergie au monomère.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Des porosités qui apparaissent dans le temps entraînent des micro anfractuosités pouvant retire les aliments et déclancher des maladies tel que les mycoses, et entraîner la mauvaise haleine, il aura une mauvaise union entre les deux résines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>Technique indirecte :</u></i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire une empreinte analytique (secondaire) de réadaptation anatomo-fonctionnelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le remarginage des bords de la prothèse avant le rebasage avec la pâte de Kerr (postérieur, latéral, vestibulaire, antérieur).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il se fait comme une empreinte secondaire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- couler l’empreinte au laboratoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- retirer le matériel de l’intrados. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire une mise en articulateur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- faire un montage correct (l’occlusion en articulé de Tench). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- réajuster la plaque basse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- finir la cire, et faire la mise en moufle.</div><div style="text-align: left;"> - faire la polymérisation et faire la finition</div></div>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-9003265939096441272011-04-17T14:09:00.001-07:002011-04-17T14:09:48.282-07:00la technique piézographique<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div> </div><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/1904" rel="bookmark" title="Permanent link to la technique piézographique"></a></h2><div style="text-align: left;"> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0621.jpg"><img align="left" alt="clip_image062" border="0" height="107" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image062_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image062" width="156" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"> L’enregistrement piézographique détermine le volume dans lequel doit être élaborée la prothèse. Il est essentiel de respecter cet enregistrement afin de ménager la place nécessaire à la langue ainsi que celle des muscles, des lèvres et des joues dans le but d’obtenir le bon équilibre recherché par le chirurgien dentiste.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>2-DEFINITION ET BUT DE LA PIEZOGRAPHIE </u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• piézographie est issue de deux mots grecs: <br />
<b>-PIZEN</b>: qui signifie comprimer <br />
<b>-GRAPHIEN:</b> qui signifie sculpter</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Partir de ces racines, nous pouvons déjà entrevoir ce que sera la piézographie, mais nous pouvons définir avec plus de précision la piézographie comme étant l’utilisation des modelages produits par la langue et la sangle buccinato-labiale (dirigée ou faisant intervenir la déglutition et la phonation) sur des matériaux qui, placés en bouche dans un état plastique contrôlé, durcissent ou se polymérisent après un intervalle de temps bien défini selon le produit utilisé. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Ayant comme champ d’application la prothèse adjointe totale, la piézographie a pour but de déterminer un espace prothétique et donc un volume modelé de prothèses, tel que celles-ci soient le moins possible sollicitées par la dynamique de la langue et de la sangle buccinato4abiale ce qui rend les forces déstabilisatrices et antagonistes provenant des masses musculaires périprothétiques (rarement symétriques) inférieures aux forces de rétentions des prothèses.» (R. SAMOIAN) </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>3-INDICATIONS </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n l’indication majeure d’une piézographie est l’édentation bimaxillaire à résorptions osseuses importantes donnant des crêtes faibles ou plates, voire même négatives. Mais aussi dans le cas d’édentations totales unimaxillaires mandibulaires de même type de résorptions. <br />
- Ce type de travail peut aussi être préconisé dans le cas de macro-glossies</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">- c’est aussi un bon procédé pour l’appareillage des édentés totaux atteints de paralysie faciale. <br />
- les pertes osseuses importantes sont aussi traitées de cette manière. <br />
- Ces indications sont, semble-t-il, les plus importantes dans le cas d’édentations totales ou unimaxillaires mandibulaires.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Toutefois le praticien, s’il le juge nécessaire, peut également l’utiliser dans d’autres cas de figures. D’après les dernières recherches du Professeur Robert SAMOIAN de la Pitié Salpétrière, ce type d’enregistrement de l’espace prothétique devrait être utilisé pour la réalisation de prothèses mandibulaires adjointes fixées sur implants.L’enregistrement de la musculature périprothétique est un élément déterminant pour la réalisation de l’empreinte piézographique inférieure</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>Musculature périprothètique </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0029.jpg"><img alt="clip_image002" border="0" height="187" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image002_thumb9.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image002" width="244" /></a>Externe: </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">1) carré du menton ; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">2) houppes ; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">3) orbiculaire; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">4) modiolus ; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">5) buccinateur; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">6) ligament ptérygomaxillaire ;</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">7) triangulaire; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"> <img alt="8)" class="wp-smiley" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-includes/images/smilies/icon_cool.gif" /> grand zygomatique ; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">9) canin ;</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">10) releveur profond lèvre supérieure. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Linguale: (il): </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">12) styloglosse; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">13) hyoglosse; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">14) lingual profond ; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">15) génioglosse; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">16) lingual supérieur.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Divers: </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">17) branche montante; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0045.jpg"><img alt="clip_image004" border="0" height="139" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image004_thumb5.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image004" width="186" /></a>18) masséter; </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">19) espace prothétique.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>Dynamique linguale </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">1)rétraction-élévation: <br />
2) styloglosse ; <br />
3) amygdaloglosse; <br />
4) palatoglosse, <br />
5) rétraction simple: (constricteur supérieur du pharynx-faisceau lingual), <br />
9) protaction : génioglosse, <br />
11) rétraction-abaissement ; <br />
7) hyoglosse ; <br />
<img alt="8)" class="wp-smiley" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-includes/images/smilies/icon_cool.gif" /> lingual inférieur, <br />
10) <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> <br />
6) os hyoïde. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>4-ESPACE NATUREL ET ESPACE VIRTUEL :</u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <b>Chez le denté, il y a entre les joues, la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a> et les lèvres, un espace que créent naturellement les arcades dentaires (coupe frontale passant par les premières molaires)».(R. SAMOIAN)</b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <b>C’est dire que l’espace naturel situe le milieu buccal denté avant extraction. Les joues sont soutenues par les molaires, prémolaires et les lèvres par les incisives et les canines</b>.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0065.jpg"><img alt="clip_image006" border="0" height="169" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image006_thumb5.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image006" width="244" /></a><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0079.gif"><img alt="clip_image007" border="0" height="165" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image007_thumb8.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image007" width="240" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <b>Chez l’édenté total (surtout ancien) la langue est généralement devenue plus puissante et volumineuse pour compenser la perte d’efficacité des fonctions orales.</b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <b>Parallèlement, la sangle buccinato-labiale a perdu de sa tonicité. L’espace entre les joues et les lèvres d’une part, et la langue d’autre part, est devenue un espace virtuel inutilisable tel quel pour la réhabilitation prothétique.» (R. SAMOIAN)</b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0092.jpg"><img alt="clip_image009" border="0" height="169" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image009_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image009" width="244" /></a> </b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <b>Chez la personne édentée depuis longtemps, le plus souvent, la langue augmente de volume (ou macroglossie) afin de trouver des contacts avec la musculature buccale environnante pour restaurer les fonctions de phonation.</b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n <a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0115.jpg"><img alt="clip_image011" border="0" height="169" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image011_thumb5.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image011" width="244" /></a><b>A cause du manque de soutien, toute la musculature; joues et lèvres, a perdu de sa tonicité et le vide entre la langue et celles-ci, appelé espace virtuel, ne peut être aménagé sans préparation pour la confection d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a>.<i><u> </u></i></b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>5-CREATION D’UN ESPACE PROTHETIQUE PAR LA PIEZOGRAPHIE</u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>Utilisation de la déglutition </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Cours de la déglutition, les muscles élévateurs rapprochent les maxillaires jusqu’à ce que cette élévation soit arrêtée par la langue ; le fort dynamisme de celle-ci chasse vers les joues un matériau piézographique confiné dans un espace clos par suite de la fermeture de l’orifice buccal. La sangle buccinato-labiale est refoulée vers l’extérieur, d’où un espace prothétique en situation vestibulaire.»</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Apparamment, lors de la prise de l’empreinte piézographique, la base résine est mise en bouche avec le matériau, au moment de la déglutition, la mandibule se rapproche du maxillaire jusqu’à ce que celle-ci soit stoppée par la langue dont la puissance chasse la pâte vers l’extérieur de la base, du fait du manque de place; tout ceci pousse les joues et les lèvres, ce qui donne un volume trop avancé pour effectuer une prothèse.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0132.jpg"><img alt="clip_image013" border="0" height="159" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image013_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image013" width="244" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>Utilisation de l’espace de repos </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ L’équilibre entre les muscles élévateurs et abaisseurs correspond un espace peu fiable. Le faible tonus des muscles d’une part, et l’occlusion labiale d’autre part, font que les piézographies réalisées sont volumineuses et peu significatives.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Il paraîtrait, que les empreintes prises, muscles au repos, c’est-à-dire, joues, lèvres et langue inactives, sont en général assez épaisses et donc non fiables.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0153.jpg"><img alt="clip_image015" border="0" height="160" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image015_thumb3.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image015" width="235" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><i>Utilisation de la phonation</i></b><b> </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Les inconvénients vus précédemment disparaissent. En effet, l’inocclusion labiale permet au matériau de la piézographie en excès de s’échapper de la cavité buccale. Par ailleurs, des phonèmes bien choisis permettent aux muscles élévateurs et abaisseurs de s’équilibrer à une hauteur de dimension verticale dite phonétique, point de départ du futur plan de montage. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0172.jpg"><img alt="clip_image017" border="0" height="157" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image017_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image017" width="237" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ La sangle buccinato-labiale, modérément sollicitée par des phonèmes sélectionnés, équilibre les forces engendrées par une langue dont l’extension peut être importante. Loin d’être sur où sous-dimensionnées, les piézographies obtenues définissent une zone de contrainte minimum entre les muscles et la future prothèse. <br />
Lors de la prononciation de mots bien précis, les lèvres ne restent pas jointes; ceci permet au matériau de s’échapper sans pousser les lèvres et les joues vers l’extérieur. De plus, les muscles s’équilibrent dans leurs fonctions et offrent une hauteur raisonnable à l’empreinte dans laquelle la prothèse sera effectuée.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Le travail de la musculature ainsi sollicité équilibre les mouvements de la langue qui sont maintenus dans des fonctions modérées.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">§ Tout ceci donne une empreinte déterminant des forces qui s’annihilent, permettant une meilleure stabilité de la prothèse entre la langue d’une part, les lèvres et les joues d’autre part.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>l’action modelante des phonèmes en piézographie </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n but recherché est de créer un modelage du matériau utilisé pour effet de pression entre la langue et la sangle buccinato-labiale au cours de phonations successives et précises. Notons schématiquement que: </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les forces centrifuges proviennent de la langue par l’énoncé des phonèmesSIS (bords latéraux) et TE, DE (partie antérieure).</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les forces centripètes ont pour origine l’activation des muscles de la zone (principalement du buccinateur) par la prononciation du SIS et du SO, l’activation des lèvres pour les ME et PE. (R.SAMOIAN)</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0192.jpg"><img alt="clip_image019" border="0" height="139" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image019_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image019" width="220" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La piézographie s’effectue donc par un modelage du matériau par pression entre la langue, les joues et les lèvres. Cette empreinte s’obtient par des mots énoncés, comme indiqué ci-dessus.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La langue exerce des forces centrifuges qui agissent sur les bords latéraux et la partie antérieure de l’empreinte.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les forces centripètes sont effectuées en majorité par le buccinateur et par les lèvres en agissant sur la partie vestibulaire de la piézographie.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La phonation est l’activité orale la plus développée, et peut s’exercer sans les dents. C’est la fonction la moins affectée par la perte des structures alvéolaires. Cette fonction est la plus commode à contrôler, car elle peut aussi s’utiliser chez des personnes ayant eu des troubles d’élocution.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Toutefois, la déglutition présente un intérêt évident dans certains cas très particuliers où la phonétique est délicate, voire impossible à utiliser: <br />
- chez le patient sourd ou malentendant, <br />
- chez celui atteint de la maladie de parkingson, <br />
- chez le sujet dont la langue maternelle est étrangère au praticien.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n «Chez le denté dont la langue se trouve en position neutre, c’est à dire ni trop avancée ni trop reculée dans la cavitée buccale, un examen attentif montre que les tables occusales des 36 et 46 se trouvent exactement au niveau de la ligne de jonction entre la partie papillée et la partie lisse de la muqueuse linguale.»</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0213.jpg"><img alt="clip_image021" border="0" height="162" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image021_thumb3.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image021" width="205" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La langue est divisée en deux parties sur sa surface ; l’une papillée et l’autre lisse. Ces deux parties sont jointes sur la périphérie et en contact avec les dents. Un examen du milieu buccal montre que, en position de repos lingual, cette jonction se situe exactement dans le prolongement de la face supérieure (table occlusale) des molaires inférieures droite et gauche. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n «La piézographie en phonation permet la construction d’une maquette mandibulaire dont la surface plane (occlusale) se trouve exactement à la hauteur de cette ligne de jonction (muqueuse papillée ; muqueuse lisse) de la langue en position neutre, de manière a reproduire les conditions anatomiques normales décrites précédemment. A partir de cela cette surface «occlusale» représente le plan de montage de la future prothèse dont le volume est modelé par la piézographie.» </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0232.jpg"><img alt="clip_image023" border="0" height="151" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image023_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image023" width="199" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La piézographie en phonation permettait d’obtenir une empreinte optimum. Cette empreinte définit donc dans sa partie supérieure, une surface plane correspondant à la jonction des muqueuses de la langue, et représentant la surface occlusale des dents prothétiques inférieures.</h4><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>6-LES EMPREINTES ET PREPARATION DES BASES</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">*Les Empreintes </h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Au laboratoire nous recevons des empreintes primaires réalisées par le chirurgien dentiste sur des porte-empreintes de série rectifiés. Le matériau utilisé est le plâtre, afin d’obtenir une empreinte la moins compressive possible.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les premières empreintes décrites ci-desssus et que le prothésiste reçoit au laboratoire, sont réalisées sur des porte-empreintes qui sont adaptés au cas traité. Un plâtre spécialement conçu pour la prise d’empreintes est utilisé car il évite de créer des tensions superficielles sur les gencives et les muscles des joues ainsi que des lèvres.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Le porte-empreinte individuel est conçu en résine ou base plate avec des bourrelets en stents servant à la préhension.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n En fait, les empreintes sont effectuées d’une manière traditionnelle au cabinet dentaire mais avec plus de rigueur en raison de la difficulté du cas à traiter.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La réalisation d’un porte-empreinte secondaire adapté, permet au praticien de réaliser une empreinte qui différencie les zones musculaires à éviter (freins) et d’exploiter le maximum de surface d’appui de la muqueuse.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Le coffrage consiste à entourer l’empreinte afin de limiter l’extension du plâtre hors de celle-ci. Le plâtre dit «compensateur» permet, lors de la cuisson de la prothèse, de palier en partie aux contraintes (chaleur, pression) imposées à la résine qui entraînent des variations volumétriques.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La partie suivante nous indiquera la phase prothétique permettant de transférer les repères de dimension dans le sens vertical de l’étage inférieur buccal (mandibule) qui, par la suite, sera exploité en laboratoire.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Cette empreinte est coffrée puis coulée en plâtre compensateur pour le respect dimensionnel de la prothèse lors de la cuisson.</h4><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0243.jpg"><img alt="clip_image024" border="0" height="154" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image024_thumb3.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image024" width="186" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>L’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les bases d’occlusion sont réalisées conventionnellement en résine ou en true base et stents afin de permettre au praticien de régler la dimension verticale et d’enregistrer l’occlusion au cabinet dentaire, tout ceci d’une manière traditionnelle. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Vous pouvez voir une base réalisée au laboratoire et qui a permis au <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/chirurgie" rel="external" title="chirurgie">chirurgie</a>n-dentiste d’enregistrer la dimension verticale du patient ainsi que la position de la mandibule dans le sens horizontal que nous conservons au moyen d’un appareil nommé «articulateur» sur lequel nous allons continuer le travail. <br />
<a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0272.gif"><img alt="clip_image027" border="0" height="61" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image027_thumb2.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image027" width="240" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>LA BASE D’ENREGISTREMENT DE LA PIEZOGRAPHIE</u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Elle est réalisée en résine sur l’empreinte secondaire après la mise en articulateur, afin de pouvoir respecter le repère donné de l’étage inférieur.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Ceci nous permettra de réaliser une lamelle en résine positionnée sur la crête de la base d’une hauteur légèrement sous-évaluée par rapport à celle enregistrée en bouche et transférée sur l’articulateur.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La base doit être le reflet de l’empreinte, de manière à respecter exactement les bords de la future prothèse; puis il faut déterminer sur cette base le sommet de crête, afin de visualiser l’endroit sur lequel doit être positionnée la lamelle de résine qui sera inférieure à la dimension verticale du bas que nous pourrons apprécier grâce à la mise en articulateur, après la prise de l’occlusion effectuée par le chirurgien-dentiste. La lamelle doit être d’une largeur d’environ i mm et permettre. Si nécessaire, des retouches lors de la piézographie.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Cette base ainsi réalisée servira au praticien pour effectuer l’enregistrement piézographique qui tiendra compte de la phonation déglutition et de l’espace nécessaire à la langue et à l’environnement buccal. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les matériaux utilisés sont multiples, parmi ceux à notre connaissance,il y a:</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">- les matériaux thermo-plastiques : Adheseal, EX3N <br />
- les thiokol type fluide <br />
- les résines type formatray de kerr.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image029.jpg"><img alt="clip_image029" border="0" height="130" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image029_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image029" width="171" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>L’EMPREINTE PIEZOGRAPHIQUE AU LABORATOIRE</u></div><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Le travail que nous allons vous présenter est réalisé à partir d’une empreinte en Adheseal: </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Au laboratoire nous recevons donc l’empreinte piézographique 1′après un transport précautionneux dans un bac contenant de l’eau et des glaçons, en faisant bien attention à ce qu’il n’y ait pas de choc avec les bords du récipient.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0311.jpg"><img alt="clip_image031" border="0" height="130" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image031_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image031" width="164" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Préalablement, trois trous sont percés dans la base résine, afin de pouvoir y glisser des mandrins de fraises. Une partie de ces instruments est ensuite prise dans un modèle enplâtre de façon àrepositionner 1′ ensemble de lapiézographie qui y sera collée et immergée pour le transport. Le socle devra être plus large que la base, afin d’éviter d’éventuels chocs. L’idéal est de trouver une boîte carrée dans laquelle s’insérera précisément le modèle en plâtre.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Cette empreinte nous donne l’espace prothétique avec le plan de montage des dents.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La coulée devra donc être effectuée dans les meilleures conditions possibles afin d’en conserver toutes les qualités requises en positionnant la base sur l’empreinte secondaire et les clefs en plâtre, vestibulaires et linguales, enregistrent ces faces. Ce qui permet de visualiser, après ébouillantage, le site du montage. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Dans le cas d’empreinte effectuée en cire buccale, il est indispensable que celle-ci soit traitée dans les plus brefs délais, du fait de sa modification volumétrique très rapide au contact d’une chaleur même faible. Les cires buccales sont d’un maniement assez difficile au cabinet dentaire pour le praticien et, par conséquent, il en est de même au laboratoire.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Une fois l’empreinte coulée et démoulée, nous obtenons l’espace dans lequel le montage des dents et la finition de la prothèse sera exécuté. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0362.gif"><img alt="clip_image036" border="0" height="167" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image036_thumb2.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image036" width="240" /></a></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>7-LE MONTAGE</u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><i>RECHERCHE DE L’EQUILIBRE DE MONTAGE DE LA PROTHESE BIMAXILLAIRE </i></b><b>: </b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Un bourrelet de stents est élevé à l’intérieur de l’espace des clefs, afin de déterminer un plan de montage prothétique dans l’espace de l’empreinte piézographique. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0382.jpg"><img alt="clip_image038" border="0" height="138" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image038_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image038" width="172" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Il faut aussi repérer ces lignes de crêtes supérieures et inférieures sur les modèles au niveau des secteurs postérieurs de la 4 à la 7, comme indiqué sur la photo ci-après. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Pour des raisons techniques et de visualisation, nous avons collé des morceaux d’allumettes sur le plâtre, afin de tendre des petits fils parallèles aux lignes de crêtes supérieures et inférieures. <b> </b></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0402.jpg"><img alt="clip_image040" border="0" height="139" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image040_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image040" width="226" /></a></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Ces deux repères supérieurs et inférieurs, qui vont se croiser lors de la fermeture de la mandibule, en se rencontrant vont se couper en un point qui sera le point d’appui maximum et qui déterminera donc dans beaucoup de cas l’emplacement de la cuspide mésio-linguale de la 6 supérieure. Ce point ainsi repéré nous donnera donc le départ de construction de la prothèse supérieure. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0442.gif"><img alt="clip_image044" border="0" height="166" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image044_thumb2.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image044" width="240" /></a></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Le montage ainsi entrepris, il faut poursuivre en alignant les cuspides linguales des postérieures-supérieures sur la matérialisation de la crête inférieure, repérée sur la base de stents par une ligne qui situe les fosses des prémolaires et molaires inférieures. La base de stents sert de plan de montage pour la prothèse supérieure. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Il est important que la table occlusale des postérieures soit positionnée dans l’aire de Pound, limitant ainsi la déstabilisation du bas. Le point incisif est conservé d’après le réglage de la base supérieure en bouche, le montage maxillaire est donc achevé au laboratoire.</h4><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0461.jpg"><img alt="clip_image046" border="0" height="192" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image046_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image046" width="189" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">LE MONTAGE INFERIEUR- POSTERIEUR </h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Celui-ci est effectué en contact occlusal avec le montage supérieur. Les clefs en plâtre sont présentées sur le modèle, afin de régler une à une les dents dans le sens vestibulo-lingual de la future prothèse inférieure. <br />
A ce moment-là, il est assez difficile de juger s’il peut être possible d’exécuter le travail entièrement avec des dents en porcelaine car, les dents trop meulées, et donc affaiblies, risquent de se fracturer. </h4><div style="text-align: left;"> </div><table cellpadding="0" cellspacing="0" style="margin-left: 0px; margin-right: auto; text-align: left;"><tbody>
<tr> <td width="96"><br />
</td> </tr>
<tr> <td><br />
</td> <td><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0504.gif"><img alt="clip_image050" border="0" height="156" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image050_thumb4.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image050" width="240" /></a></td> </tr>
</tbody> </table><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Sur ce cas présenté, nous sommes obligés de sculpter une prémolaire et une molaire en cire aux dimensions requises; elles seront coulées en métal, ceci pour des raisons de dureté car, les dents en résine s’abraseraient trop rapidement. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Il est quelquefois préférable d’utiliser cette méthode (dents métalliques) dans les cas où l’espace est trop étroit pour y placer une dent prothétique du commerce. <br />
<a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0522.jpg"><img alt="clip_image052" border="0" height="143" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image052_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image052" width="220" /></a></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">LE MONTAGE ANTERIEUR-INFERIEUR </h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• De même que pour le montage postérieur, il faut se munir de clefs en plâtre afin de visualiser l’emplacement vestibulo-lingual du groupe incisivo-canin. Lors de la mise en place des dents, il est fort possible que la place utilisable soit très étroite et que nous soyons obligés de réduire le volume vestibulo- lingual des incisives et canines; dans ce cas, nous serons donc obligés d’utiliser des dents résine que nous pourrons aisément retoucher. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Une fois ce montage terminé, toutes les dents sont incluses dans l’espace donné par les clefs de la piézographie. Il est aussi possible de réaliser un montage anim~des antérieures, si l’espace de la piézographie vous le permet. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>FINITION DE CIRE</b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Les cires sont achevées en comblant le coffrage de l’empreinte et en respectant les limites des clefs (vestibulaires et linguales) ; ce remplissage permet de respecter le volume enregistré des prothèses lors de l’empreinte piézographique. <br />
Ceci est donc extrêmement important et cette étape doit être respectée rigoureusement.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Le montage ainsi exécuté, cire terminée, peut être présenté au praticien afin d’être essayé en bouche au cabinet dentaire. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Le chirurgien-dentiste contrôle la qualité de la piézographie en faisant prononcer au patient certains phonèmes pour tester la qualité de son empreinte piézographique. Il peut ainsi voir si la prothèse en cire n’est pas déstabilisée lors de l’élocution, puis il vérifie également l’occlusion des prothèses.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0553.gif"><img alt="clip_image055" border="0" height="85" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image055_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image055" width="240" /></a></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">• Au cas où il y aurait une petite différence d’occlusion, celle-ci est reprise et le travail confié à nouveau au laboratoire. A ce stade, lorsque nous recevons les prothèses, il faut donc que les modèles soient repositionnés sur articulateur avec le nouvel enregistrement. Le montage du haut est corrigé, et soumis au nouvel essayage par le praticien jusqu’à ce qu’il obtienne un bon résultat. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;"><u>FINITION DES PROTHESES :</u></h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">PREPARATION DES FINITIONS DE PROTHESES </h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Après avoir été essayées en bouche et lorsqu’elles donnent pleine satisfaction au patient et au chirurgien-dentiste, les prothèses peuvent être terminées. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La prothèse supérieure peut être mise en mouffle après avoir été préparée (faux palais, finition des collets), la compression du post-dam a été préalablement contrôlée en bouche et réalisée sur le modèle en plâtre au cabinet dentaire par le chirurgien dentiste.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La prothèse inférieure est elle aussi contrôlée et collée sur son modèle afin d’être mise en mouffle. Voici ce qu’il faut regarder : <br />
- que chaque dent soit bien à sa place, <br />
- que tous les points d’occlusion soient présents avant la cuisson.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Au cas où une ou plusieurs dents auraient bougé, il est nécessaire de la ou les remettre en bonne position. Une fois ces préparations effectuées, les maquettes des prothèses en cire peuvent être désoclées de l’articulateur, mises en mouffle et cuites. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">EQUILIBRAGE DES PROTHESES </h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Après démoufflage, il est nécessaire de nettoyer les modèles récupérés les prothèses cuites restant sur ces modèles et de les remettre sur les socles d’articulateur, afin de pouvoir équilibrer les prothèses terminées. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>1) équilibrage centré</b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Les prothèses remises en articulateur sont alors équilibrées en relation centrée. Pour ce faire, il faut obtenir sur les postérieures peu meulées les contacts habituels, c’est-à-dire un point sur chaque cuspide de molaire ou trois points au minimum en tout par molaire, deux points par prémolaire.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Lors de la cuisson, les variations de la résine font que des points d’occlusion disparaissent et c’est pourquoi il faut les obtenir en effectuant des meulages sélectifs. </h4><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0591.gif"><img alt="clip_image059" border="0" height="47" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image059_thumb1.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image059" width="240" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>2) diduction droite ou gauche</b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La latéralité doit s’effectuer afin d’obtenir si possible une fonction de groupe: contacts travaillant et non travaillant droite et gauche, afin de stabiliser les prothèses lors de la mastication </h4><div style="text-align: left;"> </div><table cellpadding="0" cellspacing="0" style="margin-left: 0px; margin-right: auto; text-align: left;"><tbody>
<tr> <td width="108"><br />
</td> <td width="163"><br />
</td> <td width="101"><br />
</td> <td width="152"><br />
</td> </tr>
<tr> <td><br />
</td> <td valign="top"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image061.jpg"><img alt="clip_image061" border="0" height="122" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image061_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image061" width="172" /></a></td> </tr>
<tr> <td><br />
</td> <td><br />
</td> <td valign="top"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0622.jpg"><img alt="clip_image062" border="0" height="107" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image062_thumb2.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image062" width="156" /></a></td> </tr>
<tr> <td><br />
</td> </tr>
</tbody> </table><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b>3) Propulsion:</b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Contacts non travaillants droite (nous pouvons remarquer qu’il y a peu de contacts, seules les molaires sont actives à effectuer les contacts travaillants car il n’a pas été possible d’en obtenir plus) <br />
Des rectifications sont exécutées simultanément à droite, à gauche, et sur les antérieures afin de concrétiser des contacts antérieurs et postérieurs. Tout ceci présente des contacts permettant un équilibre des prothèses lors- que la mandibule avance. </h4><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0641.jpg"><img alt="clip_image064" border="0" height="162" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image064_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image064" width="225" /></a> <a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0661.jpg"><img alt="clip_image066" border="0" height="160" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image066_thumb1.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image066" width="224" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><u>FINITION DE LA RESINE </u></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Après une finition parfaite des cires, le grattage consiste à enlever les bavures (s’il y en a) et d’effectuer de petites sculptures en vestibulaire et le granitage, en veillant à laisser les poches de Fisch bien remplies. Nous effectuerons le polissage des prothèses, un essayage en bouche s’ensuivra. Un équilibrage secondaire sera effectué ultérieurement. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La sculpture de la gencive vestibulaire ne doit pas être trop importante, mais bien étudiée, afin de ne pas créer de risque de bourrage alimentaire. Les poches de fish, elles, par contre, doivent être comblées de façon à obtenir un léger bombé qui empêchera toute rétention alimentaire. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Le granitage des surfaces de résine est à l’appréciation de chacun. Les faces linguales sont terminées en fonction de ce que nous a donné la clef, sans effectuer de sculpture, chose impossible dans beaucoup de cas, du fait du peu d’épaisseur de la prothèse à ce niveau. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;"><b><u>8-<a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">CONCLUSION</a></u></b></h3><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La piézographie est une technique de réalisation de prothèse adjointe totale, assez difficile à maîtriser au cabinet dentaire ainsi qu’en laboratoire.</h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n Elle est d’une grande utilité pour des cas exceptionnels que nous pourrons rencontrer; elle permet: <br />
- d’obtenir d’emblée l’espace prothétique sans avoir à modifier les volumes de la prothèse. <br />
- de donner une meilleure stabilité à la prothèse en ménageant la place nécessaire au fonctionnement de la musculature buccale. </h4><div style="text-align: left;"> </div><h4 style="text-align: left;">n La piézographie ne restera certainement qu’une technique de travail employée dans des cas extrêmes en nous offrant un travail de recherche d’optimisation de la prothèse, qui n’est pas sans risque d’erreur. </h4></div>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-86460406697872742032011-04-17T14:06:00.001-07:002011-04-17T14:06:27.699-07:00Introduction à la prothèse conjointe<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2006" rel="bookmark" title="Permanent link to Introduction à la prothèse conjointe"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Introduction-la-prothse-conjointe.jpg"><img align="left" alt="Introduction à la prothèse conjointe" border="0" height="136" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Introduction-la-prothse-conjointe_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Introduction à la prothèse conjointe" width="125" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> conjointe est une forme particulière de l’appareillage prothétique dentaire qui se <br />
caractérise par la conjonction ou des artifices prothétiques des organes dentaires préparés. <br />
<br />
<br />
II Définition <br />
La prothèse conjointe encore appelée prothèse partielle fixée consiste en la restauration ou <br />
remplacement d’une ou plusieurs dents, en prenons pour support les dents naturelles tout en <br />
les conservant. <br />
<br />
<br />
III Notions fondamentales en prothèse conjointe et définition des termes employés <br />
<br />
III.A. Pilier <br />
C’est une dent où la racine naturelle en bouche est utilisée comme support d’une prothèse <br />
fixée, ce pilier peut être extrême lorsqu’il est en regard du segment édenté ou intermédiaire <br />
lorsque l’édentation se trouve de part et d’autre. <br />
<br />
<br />
III.B. Taille <br />
Décortication ou préparation coronaire périphérique, c’est l’élimination de toute la couche <br />
d’émail et d’une plie de la dentine par usure à l’aide d’une instrumentation spécifique. <br />
<br />
III.C. Moignon (préparation) <br />
C’est le reliquat d’une couronne dentaire <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> après préparation coronaire périphérique, <br />
c’est dans le résultat d’une taille, c’est-à-dire ce qui reste à la fin de la dent pilier. <br />
<br />
III.D. Dépouille <br />
C’est l’inclinaison des parois d’une préparation qui en permet la prise d’empreinte et le <br />
démoulage selon un axe sans fracture ni déformation du matériel, on dit que les parois de la <br />
préparation sont convergentes vers la face occlusale, cette convergence ne doit pas être <br />
exagérée, l’angle de ces parois est entre 6 et 10° (pour faciliter l’insertion et la désinsertion de <br />
l’empreinte de l’empreinte et par la suite de la coiffe) <br />
<br />
III.E. Axe d’insertion <br />
C’est la direction selon laquelle une prothèse est mise en place et déposée sans difficulté. <br />
<br />
III.F. Ancrage (couronne prothétique) <br />
C’est le dispositif de la prothèse conjointe qui recouvre le pilier, c’est l’élément de la prothèse <br />
conjointe restaurant une couronne dentaire préalablement préparée, il est utilisé soit comme <br />
restauration unitaire soit comme moyens d’ancrage d’un pont. <br />
<br />
III.G. La travée (la pontique, pontic) <br />
Correspond aux dents artificielles qui remplacent les dents perdues, la travée occupe l’espace <br />
habituel occupé par la dent naturelle et permet de restaurer la fonction. <br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">III.H. Limite cervicale d’une préparation (LC) <br />
C’est la ligne marquant du côté cervical, la fin de la préparation, cette ligne peut revêtir <br />
différentes formes cliniques (simple tracée, congé ou un épaulement), selon le type d’ancrage, <br />
comme cette limite peut être située différemment par rapport à la gencive marginale, elle peut <br />
être supra, juxta ou infra-gingivale. <br />
<br />
III.I. Rapports de l’ancrage <br />
<br />
III.I.a. Avec la préparation <br />
La couronne prothétique doit s’encastrer sur le moignon avec le maximum de précision, cette <br />
précision doit se retrouver au niveau de la limite cervicale où il ne doit exister aucun hiatus, <br />
de plus, la gencive marginale et la papille interdentaire ne doivent être ni agressées ni <br />
comprimées. <br />
<br />
III.I.b. Avec les dents naturelles (adjacentes) <br />
Le point de contact interdentaire doit être rétabli avec les couronnes dentaires adjacentes. <br />
<br />
III.I.c. Avec les dents antagonistes (naturelles ou artificielle) <br />
Il doit y avoir des rapports de force maximales avec ces antagonistes, l’engrainement <br />
fonctionnel et physiologique constitue le but même de toute constitution prothétique (même <br />
les restaurations esthétiques devront satisfaire aux impératifs fonctionnelles) <br />
<br />
III.J. Scellement <br />
Opération de laboratoire qui consiste à fixer de façon intime à l’aide d’un film de ciment, un <br />
ancrage sur sa préparation, il constitue l’ultime étape d’une restauration conjointe, il est <br />
d’abord provisoire puis définitif. <br />
<br />
IV Classification des différents types d’encrages <br />
<br />
IV.A. Ancrages coronaires <br />
<br />
IV.A.a. Couronnes de recouvrement total: couronne de revêtement, ou coiffe <br />
C’est un artifice de restauration et de rétention scellé sur toute la surface d’un moignon <br />
coronaire, ces couronnes reproduisent l’anatomie de la dent en tenant compte de l’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> et <br />
des contacts proximaux (exemple: CIV, couronne coulée, CCM…) <br />
<br />
<br />
IV.A.b. Couronne coulée (CC) <br />
C’est une couronne de revêtement complète en alliage coulé à partir d’une maquette en cire, <br />
elle est peut esthétique, réservée aux dents postérieure pulpées ou non-pulpées, elle constitue <br />
un excellent pilier de bridge. <br />
<br />
<br />
IV.A.c. Couronne à incrustation vestibulaire (CIV) <br />
C’est une couronne de revêtement totale possédant un élément cosmétique vestibulaire en <br />
résine et en céramique destiné a masquer le métal pour des raisons esthétiques, indiquée sur <br />
une dent pulpée ou non, siégeant dans la région antérieure, pour la limite cervicale: c’est un <br />
épaulement vestibulaire et un congé lingual. <br />
<br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">IV.A.d. Couronne Jacket <br />
C’est une couronne de revêtement totale en général en résine ou céramique utilisée comme <br />
restauration unitaire des dents antérieure surtout pour ses qualités esthétiques. <br />
La limite cervicale est un épaulement périphérique (large décortication). <br />
<br />
<br />
IV.A.e. CCM <br />
C’est un couronne de revêtement total sur laquelle par un procédé spécial de cuisson de la <br />
céramique, on masque la face vestibulaire ou la totalité de la couronne, la limite coronaire est <br />
un épaulement ou épaulement+congé. <br />
<br />
IV.B. Couronnes de recouvrement partiel <br />
Ces coiffes respectent les faces vestibulaires des dents, elles contournent les faces linguales, <br />
proximales et occlusales des dents. <br />
<br />
IV.B.a. Les Onlays <br />
(On: sur, Lay: poser) <br />
Couronne 3/4 et 4/5, c’est des couronnes métalliques partielles coulées recouvrant tout ou une <br />
partie de la face linguale (incisive ou canine) et de la face occlusale (molaires et prémolaires) <br />
ainsi que les faces proximales d’une dent en général pulpée en rétablissant des rapports de <br />
contiguïté et d’antagoniste, seule la face vestibulaire est préservée pour des raisons esthétiques <br />
, ces onlays comporte des éléments destinés à accroître leur résistance et leur rétention (Slice- <br />
cut, les rainures, cannelures, tenons dentinaires et épaulement) peuvent être utilisés comme <br />
ancrage de bridge. <br />
<br />
IV.B.b. Les Inlays <br />
Incrustation métallique intra-coronaire, blocs métallique au rapport biface reproduisant la <br />
morphologie de la dent ainsi que ces rapports d’antagonisme et de contiguité. <br />
<br />
IV.C. Ancrages corono-radiculaires <br />
Couronne de substitution car elle se substitue à la couronne dentaire qui n’existe plus. <br />
<br />
IV.C.a. Couronne Davis <br />
En résine ou en porcelaine, s’agrégeant sur une racine par un tenon radiculaire calibré sur <br />
laquelle elle sera scellée, c’est une restauration unitaire sur dents en général antérieures <br />
dépulpés très délabrées. <br />
<br />
IV.C.b. Couronne Richmond <br />
Comporte une infrastructure qui est le tenon radiculaire, de longueur, d’épaisseur et de forme <br />
codifiée et d’une chape sertissant les moignons et une suprastructure représentée par une <br />
facette vestibulaire cosmétique et d’un talon lingual coulé, cette restauration est utilisée <br />
comme restauration unitaire ou ancrage de bridge. <br />
<br />
IV.C.c. Inlays care <br />
L’infrastructure de la couronne Richmond va supporter un moignon métallique qui sera <br />
recouvert par une CIV, CCM ou pas une couronne Jacket. <br />
<br />
IV.D. Bridges <br />
C’est un artifice prothétique qui s’agrège aux organes dentaires visant au remplacement des <br />
dents absentes afin d’assurer la fonction, le pont le plus simple c’est lorsqu’on a absence d’une </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">dent, il doit avoir au minimum deux piliers <br />
Pour pouvoir insérer et désinsérer facilement un pont, il doit exister un parallélisme entre les <br />
différents piliers. <br />
Dans un pont: <br />
• Les dents préparées en vue de supporter le pont sont les points d’appuis ou piliers. <br />
• Les éléments du pont qui viennent s’agréger sur les piliers et les reconstitutions sont les <br />
moyens d’ancrage du pont. <br />
• La travée du pont franchie l’espace édenté et remplace les dents absentes. <br />
• Les dents actifs constituants la travée sont appelées les dents intermédiaires ou <br />
intermédiaires de pont. <br />
• La portée du pont est définie par le nombre d’intermédiaires (courte, moyenne et longue <br />
portée). </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-8925614844377648102011-04-17T14:05:00.001-07:002011-04-17T14:05:01.259-07:00Examen clinique et plan de traitement en prothèse conjointe<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2009" rel="bookmark" title="Permanent link to Examen clinique et plan de traitement en prothèse conjointe"></a></h2><div></div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Examen-clinique-et-plan-de-traitement-en-prothse-conjointe.jpg"><img align="left" alt="Examen clinique et plan de traitement en prothèse conjointe" border="0" height="92" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Examen-clinique-et-plan-de-traitement-en-prothse-conjointe_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Examen clinique et plan de traitement en prothèse conjointe" width="107" /></a></div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">I Examen clinique d’un patient en vue d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> conjointe <br />
Avant de commencer toute construction en prothèse conjointe, il est impératif qu’un <br />
diagnostic soit posé, il se fera grâce à un examen général et à un examen buccal. <br />
<br />
I.A. Interrogatoire ou anamnèse <br />
S’il existe le moindre doute sur l’état général de santé du patient, un médecin doit être consulté <br />
(patient présentant une allergie aux métaux, patient souffrant de trouble cardio-vasculaire, pas <br />
d’adrénaline qui augmente le rythme cardiaque et la pression artérielle) <br />
Il faut évaluer la motivation du patient et son hygiène bucco-dentaire. <br />
Il faut être attentif à ses exigences esthétiques. <br />
Rechercher des troubles de l’ATM. <br />
<br />
I.B. Examen de la cavité buccale <br />
Plusieurs points sont à considérer: <br />
• Hygiène orale du patient, présence de tartre <br />
• Evaluation de l’état général des dents, malpositions, rotations, caries, mobilités à rechercher. <br />
Toute influence doit être révéler, l’état parodontal, le parodonte sera examiner de près <br />
(recherche de poches parodontale), recherche la présence de récession gingivale <br />
• Testes de vitalité pulpaire, examen des obturation et des reconstitution (les maintenir ou les <br />
refaire) <br />
• Zones ou segment édenté doivent être palpés et examinés <br />
• Les rapports des arcades entre-elles seront noté, étudier les rapports occlusaux (recherche <br />
des facettes d’usure ou abrasion) <br />
Cet examen buccal, sera complété par un examen radiographique. <br />
<br />
II Bilan radiographique <br />
L’examen radiographique complet est indispensable, il permet de mettre en évidence: <br />
• Les caries proximales récidivantes sous obturations. <br />
• Présence de lésion apicale. <br />
Toute pathologie péri-apicale doit être traitée et stabilisé avant la taille. <br />
• Apprécier la qualité du traitement endodontique. <br />
• Le niveau osseux est apprécié surtout autour des dents supports. <br />
• Le volume, la forme, la longueur et l’orientation des racines (une racine courte est contre <br />
indiquée comme pilier) <br />
• Le volume et l’emplacement de la chambre pulpaire (s’il est important: risque de perforation <br />
pulpaire lors de la taille) <br />
• Présence éventuelle de dents incluses, de racines, de fragments radiculaires. <br />
• Appréciation des tissus de soutien, élargissement de l’espace desmodontal est à relier à un <br />
contact prématuré ou à un trauma occlusal. <br />
<br />
III Plan de traitement <br />
Il est fonction de l’examen clinique, certaines décisions seront réservées en attendant le <br />
résultat du traitement préprothétique. <br />
<br />
III.A. Etude des moulages de diagnostic <br />
Les modèles sont indispensables pour avoir une vue d’ensemble sur les possibilités </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">thérapeutiques, ils sont réalisés à partir d’empreinte fidèle à l’alginate, mais les surfaces <br />
occlusales ne doivent pas comporter de bulles. <br />
<br />
III.B. Traitement préprothétique <br />
<br />
III.B.a. Amélioration de l’état buccal <br />
Informer le patient des méthodes et des règles d’hygiène bucco-dentaire, faire un détartrage. <br />
<br />
III.B.b. Les traitements chirurgicaux <br />
Extraction pour les racines résiduelles, régularisation des crêtes édentés, exérèse des exostoses <br />
si elles sont douloureuses et épineuses. <br />
<br />
III.B.c. Traitements endodontiques <br />
Traitement de toutes les dents cariées, reprise de traitement endodontique douteux, traitement <br />
canalaire des dents mortifiées, reconstitution des dents dépulpées et délabrés. <br />
<br />
III.B.d. Traitement orthodontique <br />
En général, il s’agit de traitement mineur, réduction des dents mobiles. <br />
<br />
III.B.e. Equilibration pré-prothétique <br />
<br />
III.C. Traitement préprothétique proprement dit <br />
Il doit passer par l’évaluation des dents supports, tout élément prothétique doit pouvoir <br />
supporter les forces occlusales constantes auxquelles il est soumis surtout lorsqu’il s’agit de <br />
réaliser un bridge car les contraintes s’exerçant au niveau des dent absentes sont transmises <br />
aux points d’appui par l’intermédiaire des connections et des moyens d’encrage. <br />
Lorsqu’on aura à réaliser un pont ou un bridge de courte, moyenne, ou longue portée (bridge <br />
polygonal), ce pont peut être entièrement métallique (coulé), peut être mixte avec des <br />
éléments cosmétiques en résine ou céramique, <br />
On doit: <br />
<br />
III.C.a. Déterminer le nombre de dents support <br />
Le nombre de dents support est fonction de leur situation sur l’arcade, l’augmentation du <br />
nombre de pilier améliore l’équilibre et la rétention du bridge. <br />
Pour ROY, il existe 5 plans, <br />
un plan incisif (2 centrales et 2 latérales) <br />
2 plan canin et <br />
2 plans prémolo-molaires <br />
Dans le cas d’une reconstitution conjointe, l’immobilité des dents dépend de l’utilisation des <br />
piliers choisis dans divers plans de ROY. <br />
<br />
III.C.b. Choix des dents supports <br />
Se fait en fonction du coefficient masticatoire, des dents absentes et des dents piliers. <br />
Loi de Duchange: "la somme des coefficient masticatoires des dents piliers doit être supérieur <br />
ou égale à la somme des coefficient masticatoire des dents absentes" <br />
<br />
Coefficients 2 1 4 3 3 6 6 4~5 <br />
A.supérieure 1 2 3 4 5 6 7 8 <br />
<br />
A.inférieure 1 2 3 4 5 6 7 8 </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Coefficients 1 1~2 4 3 3 6 6 4~5 <br />
<br />
III.C.c. Valeur du pilier <br />
- Elle est fonction de sa hauteur coronaire, une dent courte est plus rétentive qu’une dent haute <br />
- La valeur du pilier est fonction de la forme de la racine, une racine large dans le sens <br />
vestibulo-lingual est aplati dans le sens mésio-distal est plus favorable qu’une racine à section <br />
circulaire. <br />
Pour les pluri-radiculés, une dent à racine divergente est préférable et constitue un meilleur <br />
encrage qu’une dent dont les racines sont fusionnées. <br />
- La valeur du pilier dépend aussi du rapport corono-radiculaire, il concerne la longueur <br />
coronaire extra-osseuse d’une part et la longueur radiculaire intra-osseuse d’autre part <br />
Le rapport couronne-racine le plus favorable pour une dent devant servir d’appui pour un <br />
bridge est de 2/3 (la racine doit être 2 fois plus longue), le rapport 1/1 est le minimum <br />
acceptable. <br />
- La hauteur prothétique au niveau du segment édenté doit être suffisante en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> pour la <br />
travée du bridge. <br />
<br />
III.C.d. Type d’ancrage <br />
L’ancrage est la partie du bridge qui se scelle sur la dent pilier ou le moignon, l’ancrage est <br />
choisi en fonction de la dent support qui peut être pulpée (onlays) ou dépulpée. <br />
Pour les dents pulpées, ancrage à recouvrement partiel onlays <br />
Pour les dents délabrées: ancrage intra-coronaire, type inlay, couronne ou Richmond. <br />
L’indication ou la contre indication dépend de: <br />
La morphologie <br />
La rétention exigée par le bridge <br />
De la vitalité pulpaire <br />
De l’importance du secteur édenté <br />
De la situation de la dent sur l’arcade au niveau antérieur ou postérieur. <br />
<br />
IV Différents temps de l’exécution d’un bridge <br />
• Recherche de l’axe d’insertion. <br />
• Préparation d’une prothèse provisoire conçue en fonction des décortications. <br />
• Taille des dents piliers suivant l’axe d’insertion choisi et suivant le choix de l’ancrage. <br />
• Prise d’empreinte des préparations à l’aide d’élastomère. <br />
• Mise en place des prothèses provisoire pour maintenir le niveau d’occlusion et pour éviter <br />
les agressions thermiques et chimiques des moignons. <br />
• Coulée de la couronne métallique. <br />
• Mise en articulateur semi-adaptable pour sculpture de l’armature en cire. <br />
• Essayage de l’armature en bouche: vérifier l’ajustage cervical au niveau des la limite <br />
cervicale, sa rétention et son occlusion. <br />
• Mise en place du revêtement cosmétique au laboratoire (résine ou céramique) <br />
• Essayage en bouche du bridge terminé. <br />
• Scellement provisoire. <br />
• Scellement définitif si tout va bien. <br />
<br />
V Les implants dentaires <br />
Actuellement, ils replacent les bridges, d’implantologie enveloppe tous se qui ne peut être <br />
réaliser par les méthodes classiques <br />
<br />
V.A. Indications </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">• Stabilisation des prothèses complètes <br />
• Obtenir des points d’appuis postérieurs chez l’édenté <br />
• Disposer d’un pilier supplémentaire lorsqu’un bridge de longue portée ne peut être réalisé <br />
<br />
V.B. Contre-indications : sont d’ordre médical <br />
• Diabétique <br />
• Cardiopathe <br />
• Tares sanguines <br />
• Psychopathes <br />
<br />
VI <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> <br />
En prothèse conjointe, il ne s’agit pas uniquement de remplacer les dents perdues mais de <br />
conserver les dents naturelles restantes. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-48402349328589866162011-04-17T14:03:00.001-07:002011-04-17T14:03:35.114-07:00La couronne coulée: étapes cliniques<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2012" rel="bookmark" title="Permanent link to La couronne coulée: étapes cliniques"></a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-couronne-coule.jpg"><img align="left" alt="La couronne coulée" border="0" height="219" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-couronne-coule_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="La couronne coulée" width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La couronne coulée ou couronne métallique de revêtement est un artifice prothétique qui <br />
consiste à recouvrir entièrement la partie coronaire d’une dent préalablement taillée à l’aide <br />
d’une instrumentation spécifique afin de lui redonner une morphologie adaptée à ses besoins. <br />
<br />
II Concept actuel de la couronne coulée <br />
Historiquement, le concept de la couronne coulée a connu une évolution très lente (près de <br />
deux siècles) avant d’aboutir à la forme actuelle. <br />
De nos jours la technique rigoureusement codifiée, obéit à des règles claires et suit des étapes <br />
<a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a>s et de laboratoire simples et est de mise en oeuvre facile. <br />
Cette relative facilitée est le résultat d’une meilleure connaissance des principes biologiques et <br />
mécaniques et des progrès dans la technique des matériaux et du matériel. <br />
<br />
III Avantages et inconvénients <br />
• Un seul inconvénient: inesthétique (métal) <br />
Par contre, de nombreux avantages: <br />
• Résistante, solide <br />
• bien tolérée par la gencive marginale <br />
• Peu mutilante pour les tissu dentaire <br />
• Coût peu élevé <br />
• Construction au laboratoire facile <br />
<br />
IV Indications et contre indications <br />
La couronne coulée est indiquée aussi bien sur les dents pulpés que sur les dents dépulpés <br />
<br />
IV.A. Indications <br />
- Principalement indiquée pour protéger les tissus dentaires reconstituées avec des parois <br />
fragile (cavités complexes) <br />
- Améliorer la fonction occlusale sur une dent postérieur dont la face occlusale n’engrène pas <br />
physiologiquement avec les antagonistes (malposition) <br />
- Indiquée comme support de crochet en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> partielle adjointe à titre préventif dans une <br />
bouche sensible à la carie <br />
- Pour restaurer la face occlusale des dents égressées dont la hauteur doit être réduite <br />
(rétablissement d’un plan d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>) <br />
- Indiquée comme moyen d’ancrage de ponts (Bridge) et comme support d’attachement intra- <br />
ou extra-coronaire dans le cas de liaison avec des prothèses adjointes. <br />
<br />
IV.B. Contre-indications <br />
- Lésions apicales ou péri-apicales difficiles à traiter et à stabiliser <br />
- Lésions intra-radiculaires (furcations) surtout maxillaire car à la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a>, l’hémisection de <br />
la dent permet de garder l’une des deux racines. <br />
- Lyse osseuse diminuant le rapport couronne clinique-racine. <br />
- Parodontolyse non stabilisée. <br />
- Reconstitutions importantes sur des racines faibles ou courtes. <br />
- Fractures radiculaires en bec de flûte (pointue) absence de l’herméticité. <br />
- Dans le cas d’une hauteur coronaire faible au sein d’une occlusion serrée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Dans le voisinage d’une dent incluse en évolution ou surnuméraire. <br />
<br />
V Facteurs cliniques <br />
<br />
V.A. Examen clinique <br />
Minutieux et complet, il permettra de noter: <br />
• La résistance et le volume des parois résiduelles (si la dent est cariée) <br />
• Les rapports de la dent sur l’arcade avec les dents adjacentes et antagonistes, en occlusion de <br />
convenance et lors des mouvements excentrés (latéralité et protrusion) <br />
• Le degré de mobilité de la dent et la qualité de la sertissure (manchon) gingivale <br />
périphérique (gencive marginale) <br />
• La position de la dent sur l’arcade (égression ou version, usure) <br />
<br />
V.B. Examen radiographique <br />
Un cliché rétro-alvéolaire demeure obligatoire car il nous informera sur la relation couronne- <br />
racine, sur la qualité des obturations canalaires éventuelles si la dent est dévitalisée, des zones <br />
apicales et péri-apicales, la furcation, sur la disposition et le volume de la chambre pulpaire <br />
Cette radiographie nous renseigne également sur la présence de dents incluses, de racines <br />
résiduelles, de fractures radiculaires, de niveau de la longueur des racines ainsi que sur la <br />
trabéculation de l’os alvéolaire (la qualité). <br />
<br />
V.C. Examen des modèles d’études <br />
Les modèles d’étude permettront d’affiner le protocole opératoire, de juger le parallélisme de <br />
l’axe d’insertion de la ou des couronnes, le niveau et la forme des collets et surtout la <br />
morphologie de la dent considérée. <br />
La mise en occlusion des deux modèles entre les mains, nous renseigne sur la qualité de <br />
l’engrainement au niveau de la dent concernée surtout du côté lingual. <br />
<br />
VI La préparation clinique <br />
La préparation (la taille) consiste à réduire les surfaces coronaires cliniques d’un certain <br />
volume de tissu (émail, dentine) afin de les séparer des dents adjacentes et antagonistes pour y <br />
interposer l’élément prothétique. <br />
Pour la couronne coulée, cette réduction est économe (alliages beaucoup plus résistant sous de <br />
faibles épaisseurs) <br />
La technique de préparation actuelle résulte de l’évolution actuelle, des progrès dans la <br />
technique des instrument, en effet, le remplacement des instrument diamantés de forme <br />
cylindriques par des fraises diamantée coniques et en carbure de tangstène (fraises à finir ou à <br />
polir) a été le facteur déterminant de la rigueur et de la facilité de la technique, la conicité des <br />
ces fraises prédétermine la dépouille de la préparation. <br />
Ajoutant à cela que les fraises nouvelles sont présentes pour réaliser des limites cervicales <br />
oblongue en congé tout en respectant la gencive marginale grâce à leurs tailles et leur profil. <br />
Ce congé ogival permet d’obtenir une restauration de forme régulière bien adaptée (par <br />
rapport à la gencive marginale) sans créer de sur contour. <br />
<br />
VI.A. Technique de taille de la dent <br />
Nous prenons la molaire inférieure comme modèle, l’instrumentation sera citée selon la phrase <br />
de la taille et de la face considérée. <br />
• Si la dent est vitale, une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/anesthesie" rel="external" title="anesthésie">anesthésie</a> locorégionale est pratiquée tout au long de la taille. <br />
Il faut travailler selon l’axe d’insertion choisis sous refroidissement par eau pulsé pour éviter <br />
de nuire à la santé des tissus surtout pulpaires (risque de nécrose) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> <br />
VI.A.a. Réduction des faces proximales <br />
La qualité d’un moignon réside surtout dans la préparation de faces proximales (rétention), ces <br />
faces proximales ne doivent pas être trop de dépouille (3 à 5°) <br />
La taille consiste à supprimer les point de contacts avec les dents voisines ainsi que les <br />
bombés anatomiques de ces faces. <br />
Pour ce faire, une frase, tronconique fine montée sur turbine amorce la réduction verticale <br />
dans un sens vestibulo-lingual puis dans un sens linguo-vestibulaire jusqu’à la suppression du <br />
point de contact mésial puis distal. <br />
En aucun cas, les dents voisines ne doivent être touchées sinon, protection par une matrice <br />
métallique. <br />
Une fraise conique plus grosse donnera ensuite l’orientation générale des faces mésiales et <br />
distales en augmentant la séparation avec les dents adjacentes et en fixant le degré de <br />
convergence vers la face occlusale (dépouille) de 3 à 10° en fonction de la hauteur coronaire. <br />
<br />
VI.A.b. Réduction de la face occlusale <br />
A pour objectif de désengréner cette face occlusale en créant un espace suffisant, 1mm par <br />
rapport aux dents antagonistes pour l’épaisseur du métal. <br />
On peut utiliser pour cette réduction, une meulette (fraise ____) diamontée sera dirigée vers le <br />
centre de la face occlusale (sillon mésio-distal) en respectant l’inclinaison des cuspides (pente <br />
cuspidienne), les passages successifs de la fraise mésio-distalement, du côté vestibulaire et du <br />
côté lingual doivent aboutir à une réduction uniforme qui garde l’apparence générale de <br />
l’inclinaison concave de la face occlusale. <br />
<br />
VI.A.c. Réduction des faces vestibulaires et linguales <br />
Les angles de raccordement vestibulo-mesial et vestibulo-lingual et les angles linguo-mésiales <br />
et linguo-distales sont arrondis à l’aide de la fraise conique à bout rond réunissant ainsi les <br />
faces vestibulaires et linguales au faces proximales. <br />
<br />
VI.A.d. Chaufrainer des bords externes de la face occlusale <br />
Le bord périphérique de la face occlusale, la réunissant au faces latérales (VL, MD) sera <br />
chaufeiner et arrondi à l’aide de la fraise conique à bout arrondi, le chaufrein sera plus large <br />
sur le versant externe des cuspides d’appui (vestibulaires pour la molaire inférieure) ceci pour <br />
avoir une morphologie correcte de la couronne coulée. <br />
<br />
VI.A.e. Finition de la limite cervicale <br />
La fraise conique à bout rond ou une fraise conique oblongue à bout arrondi permettront de <br />
finir la limite cervical sous forme de congé (ou quart de rond) à un niveau juxta-gingival du <br />
côté vestibulaire (si la hauteur coronaire est suffisante) du côté vestibulaire, linguale et au <br />
niveau des faces proximales ainsi le congé sera périphérique d’une largeur comprise entre 0.4 <br />
à 0.6mm. <br />
<br />
VI.A.f. Polissage du moignon <br />
Les surfaces taillées sont rugueuses (tirage lors de la prise d’empreinte). Leurs polissage est <br />
indispensable et se fera avec des fraises à finir en carbure de tangstène multilame, puis à l’aide <br />
de cônes et de meulettes en caoutchouc ou en silicone (sur contre angle) utilisée sans <br />
refroidissement. <br />
<br />
VI.B. Couronne provisoire <br />
Le moignon qu’il soit pulpé ou non, doit être protégé par une couronne provisoire qui </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">protégera les tissus dentaire meurtrit (agressée) du milieu salivaire, et qui évitera les <br />
mouvements des moignons et des dents voisines, qui maintiendra les limites gingivales à leurs <br />
niveau et même les comprimes légèrement pour everser la gencive marginale et permetre dans <br />
une séance ultérieure (2 à 3 jours après) une empreinte précise de la limite cervicale. <br />
Cette protection provisoire s’obtient: <br />
• à l’aide de couronne métallique préfabriquée (ION-3M) en alliage Sn-Ag. <br />
• à l’aide de couronne en résine polycarboxylate préformée. <br />
<br />
VII Prise d’empreinte <br />
Les matériaux à empreinte actuels de la famille des élastomères (polyéthers, Thiocols <br />
silicones) permettent d’obtenir d’excellentes empreinte dans la précision et la stabilité <br />
dimensionnelle, sachant que l’empreinte à pour but de fournir une bonne définition et une <br />
bonne lecture des limites et des formes cervicales. <br />
Nous ne citerons comme technique d’empreinte que la WASH-TECHNIC ou technique de <br />
l’empreinte rebasée, dans une séance de prise d’empreinte directe globale, de l’arcade <br />
inférieure comportant le moignon, puis une empreinte de l’arcade antagoniste aux alginates. <br />
<br />
VII.A. Empreinte globale directe (WASH-TECH) <br />
Après dépose de la couronne provisoire, il faut nettoyer soigneusement le moignon et le <br />
sulcus si l’éversion gingivale par la couronne provisoire est insuffisante, le positionnement <br />
d’un fil imprégné d’une solution astringente et hémostatique au fond du sillon gingival <br />
dentaire permet d’obtenir en deux minutes, cette élargissement du sulcus permettra au <br />
matériaux à empreinte de fuser au delà de la limite cervicale (congé) pour donner une réplique <br />
exacte. <br />
<br />
<br />
VII.B. Empreinte rebasée (OPTOSIL-COLTOFLAX) <br />
Le principe de l’empreinte rebasée est simple. <br />
Une première empreinte à l’aide d’un élastomère de haute viscosité, chargé dans un porte <br />
empreinte de série est effectuée. <br />
Après prise complète, l’empreinte est retirée, elle est rincée, contrôlée puis ses bords sont <br />
raccourcis. <br />
La <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a>tte marginale gingivale du moignon est éliminée au bistouri et des évents <br />
(ouvertures) latéraux d’évacuation sont créés en partant des faces vestibulaires et linguales de <br />
la préparation. <br />
Le moignon et l’empreinte sont séchés, puis l’élastomère de basse viscosité ou fluide ou light <br />
(type Xantopren bleu ou Delicron) est d’abord injecté à l’aide d’une seringue spéciale dans <br />
l’empreinte puis sur le moignon en bouche et autour des limites cervicales (méthode pour <br />
injection) <br />
De nouveau, l’empreinte est replacée en bouche et centrée avec précision sur l’arcade, elle sera <br />
maintenue par une pression digitale assez forte pendant quelques secondes. <br />
La prise d’empreinte du matériau de rebasage dure 4 à 6 minutes. <br />
L’empreinte sera alors retirée, rincée puis séchée. <br />
<br />
VII.C. L’empreinte antagoniste <br />
Une empreinte de l’arcade antagoniste est prise à l’alginate, elle permettra de construire au <br />
laboratoire la couronne coulée en position occlusale physiologique aussi bien en PIM qu’en <br />
excentrée. <br />
<br />
VIII Scellement </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La couronne coulée, après essayage en bouche est retouches éventuelles, doit être scellée <br />
d’abord provisoirement à l’aide de ciment provisoire (ZnO, TEMP-BOND) durant une <br />
semaine. <br />
ﮦ l’issue, le scellement définitif peut intervenir grâce à un ciment aux verres ionomères enrichi <br />
au fluor qui actuellement est le matériau de choix pour la fixation définitive des ancrages sur <br />
les moignons surtout pulpés (et dépulpés) </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-76916777209563360062011-04-17T14:02:00.001-07:002011-04-17T14:02:25.931-07:00La couronne coulée: étapes de laboratoire<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div> </div><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2015" rel="bookmark" title="Permanent link to La couronne coulée: étapes de laboratoire"></a></h2><div style="text-align: left;"> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="La couronne coulée étapes de laboratoire" border="0" height="115" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/La-couronne-coule-tapes-de-laboratoire_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="La couronne coulée étapes de laboratoire" width="154" />I Coulée de l’empreinte rebasée <br />
<br />
I.A. But <br />
Comprenant le moignon, son but doit conduire à l’obtention d’un modèle précis d’où il est possible de détacher un modèle po <br />
pour les français) correspondant à la préparation. <br />
Celui ci, exactement positionné par rapport aux dents adjacentes et antagonistes pourra être détaché du modèle global <br />
facilitant ainsi la sculpture en cire de la couronne surtout au niveau des faces proximales et des limites cervicales. <br />
<br />
I.B. Technique <br />
Du plâtre dur (Vel-Mix-Stone) est coulé dans l’empreinte sur un vibreur, il est de consistance épaisse, pour permettre de lui <br />
adjoindre immédiatement une tige de positionnement en métal ou en plastique appelée (Dowel-PIN ou PIN) dans l’axe du <br />
moignon, on coule ainsi la moitié de la hauteur de l’empreinte en dépassant les collets des dents de 2 à 3mm. <br />
Avant que le plâtre ne durcisse, on place des morceaux de trombones dans cette première partie du socle. <br />
Après durcissement, on verni au regard du moignon et on termine la coulée du socle proprement dite jusqu’à dépasser le <br />
sommet du PIN recouvert d’une boule de cire. <br />
La taille du socle se fera jusqu’à apparition de la cire qu’on éliminera, on sépare alors le MPU du modèle à l’aide d’une scie <br />
fine, on pousse alors sur l’extrémité du PIN pour libérer le MPU. <br />
<br />
II Coulée de l’empreinte antagoniste <br />
Elle est coulée en plâtre dur sur un vibreur afin d’éliminer toutes les bulles d’air. <br />
Le modèle antagoniste doit être net sans irrégularités de surface surtout au niveau des faces occlusales engainantes avec le <br />
MPU. <br />
<br />
III Sculpture de la maquette en cire <br />
Par la technique de la cire ajoutée, permet d’obtenir une reproduction anatomique et fonctionnelle parfaite de la face occlusa <br />
Le DIE sortit de sa logette est verni et la maquette est sculptée face par face avec de la cire à Inlay type II, jusqu’à reproducti <br />
supérieure à savoir: le point de contact mésial et distal, crêtes marginal, face occlusale, bombés latéraux, l’engrainement avec <br />
en OIM qu’en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> excentrée. <br />
La limite cervicale périphérique (congé) sera l’objet d’une attention particulière. <br />
La maquette est ensuite soigneusement lissée et dégraissée (avec l’alcool ou au mercryl laurylé). <br />
Une tige de coulée (en plastique, en cire ou en métal) est fixée sur le sommet d’une cuspide linguale. <br />
La maquette est retirée du MPU pour être mise en revêtement. <br />
<br />
IV Mise en revêtement <br />
<br />
IV.A. Préparation du cylindre <br />
La couronne coulée sera confectionnée en alliage Ni-Chrome, de ce fait, la mise en revêtement utilisera un revêtement à lian <br />
vide. <br />
La maquette en cire est fixée sur un socle métallique ou en cire et la tige de coulée est placée dans une cavité ménagé à la pa <br />
du cylindre est tapissée d’une feuille de matériau élastique qui servira d’amortisseur contre lequel le revêtement vient s’appuy <br />
Le socle est placé à la partie inférieure du cylindre, la maquette en cire se retrouvant au centre du cylindre. <br />
<br />
IV.B. Coulée du revêtement <br />
Le revêtement est préparé, de préférence sous vide en respectant les proportions eau/poudre indiqués sur le mode d’emploi, l <br />
vibreur. <br />
<br />
IV.C. Coulée du métal </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après durcissement total du revêtement (2 à 3h) le cylindre est déshydraté dans un four froid au départ et dont on fait monte <br />
près. <br />
On laisse déshydrate environ 2h à cette température afin d’éliminer toute trace de cire et en préchauffant le cylindre en même <br />
La coulée métallique proprement dite, peut être faite et s’effectuer de préférence sur une fronde a induction sous vide. <br />
<br />
V Finition et polissage <br />
La couronne coulée est dégagée du revêtement puis passée à la sableuse pour éliminer toutes les particules de ce revêtement <br />
Elle est surfacée a l’aide de meulettes en résine de couleur différente et de fraises fines pour les sillons occlusaux, des meule <br />
d’obtenir un près polissage. <br />
Le brillant final est obtenu à l’aide de petites bossettes et feutre ou en peau de chamois. <br />
<br />
VI <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> <br />
Depuis plus de 100 ans, la couronne coulée a traversé le temps avec l’assurance d’un ancrage solide et résistant, son coût peu <br />
fonctionnelles pérennes en font jusqu’à nos jours une coiffe de choix. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-90476672218684922322011-04-17T14:00:00.001-07:002011-04-17T14:00:12.218-07:00L’occlusion en Prothèse Partielle Adjointe<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="bookmark" title="Permanent link to L’occlusion en Prothèse Partielle Adjointe"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" alt="image" border="0" height="244" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb57.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="image" width="165" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Tout traitement prothétique doit être envisagé comme un traitement préventif ou curatif de </strong><strong>l’équilibre occluso-articulaire, le but d’une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> idéale étant, selon Lauritzen, de </strong><strong>conserver une parfaite santé du système « odonto-stomatognathique ». C’est pourquoi </strong><strong>l’étude de l’occlusion fait partie de l’examen <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> de tout nouveau patient, en particulier </strong><strong>lorsqu’il a besoin d’un traitement prothétique, puisque les éléments observés influencent les </strong><strong>différentes étapes du plan de traitement et leur chronologie.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’occlusion :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Pour Batarec:</span></em></strong><strong> les rapports de contacts entre dents </strong><strong>antagonistes qui limitent l’élévation molaire.</strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;"> </span></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Pour Chaput:</span></em></strong><strong> Etat statique mandibulaire obtenu </strong><strong>par des rapports de contacts entre les </strong><strong>surfaces occlusales des arcades dentaires </strong><strong>quelque soit la position mandibulaire.</strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;"> </span></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Pour Ash et Ramfjord:</span></em></strong><strong> l’ensemble des relations </strong><strong>fonctionnelles et dysfonctionnelles dans une </strong><strong>structure composée de dents, d’éléments de </strong><strong>soutien, d’articulation et d’éléments </strong><strong>neuromusculaires.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’articulé</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong> glissement des dents les unes </strong><strong>contre les autres, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong> contact dynamique entre les </strong><strong>dents, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong> désigne le passage d’une </strong><strong>occlusion à une autre.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le plan d’occlusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est un plan imaginaire passant par les bords libres des incisives centrales </strong><strong>mandibulaires et le sommet des cuspides disto-vestibulaires des deuxièmes molaires </strong><strong>mandibulaires</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La courbe de Spee</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">courbe de Compensation </span></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>décrit une courbe sagittale </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>passant par l’extrémité de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la canine mandibulaire aux </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspides distovestibulaires </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>de la deuxième molaire </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>mandibulaire. Elle ne </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>comprend pas les dents </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>antérieures et peut être </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>décrite séparément pour </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>chaque côté de la bouche. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La courbe de Willson</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est une courbe </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>transversale, à </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>convexité inférieure, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>passant par la </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>surface des dents </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspidées </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>homologues de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>chaque côté de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>l’arcade mandibulaire</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Occlusion de convenance</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Ou </em></strong><strong><em>occlusion de confort,</em></strong><strong><em> </em></strong><strong>elle correspond : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*Soit à l’occlusion centrée :</strong><strong> pas d’interférences dentaires </strong><strong>sur le trajet de fermeture </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*Soit à une occlusion où le patient présente des</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Interférences </strong><strong>et là: </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>le système proprioceptif manducateur </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>compensation <img alt=":o" class="wp-smiley" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-includes/images/smilies/icon_surprised.gif" /> </strong><strong>cclusion équilibrée ou </strong><strong>occlusion compensée </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>pas</strong><strong> </strong><strong>de compensation:</strong><strong> </strong><strong>occlusion de convenance, </strong><strong>déséquilibrée avec troubles </strong><strong>du système manducateur.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Position d’inter cuspidation maximale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>occlusion centrée</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong> c’est l’état d’inter cuspidation maximale des dents avec la </strong><strong><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> en position de fermeture maximale. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong>Cette occlusion peut, chez des patients à denture saine : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>coïncider avec la RC </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>ne pas coïncider avec la RC : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>(chez 10% des malades) </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*l’existence d’une aire de </strong><strong>tolérance: </strong><strong>long centric</strong><strong>, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*PIM est en avant de la RC </strong><strong>(1.25mm </strong><strong>±</strong><strong> 1mm ) </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>occlusion habituelle. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Relation centrée</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est la position de la mandibule : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Les condyles sont dans la position la plus </strong><strong>haute et la plus reculée dans leurs cavités </strong><strong>glénoïdes. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est une position constante de référence que </strong><strong>le sujet peut obtenir par lui-même après </strong><strong>entraînement ou que le praticien peut retrouver </strong><strong>en guidant la mandibule du patient. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Relation importante parce qu’elle est </strong><strong>reproductible donc utilisable </strong></div><div style="text-align: left;"> <blockquote><strong>une position de référence par excellence</strong></blockquote></div><div style="text-align: left;">Axe charnière</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est l’axe transversal </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>condylien autour duquel </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>s’effectue la rotation de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la mandibule. Cet axe </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>est stable, on peut trouver </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>sa localisation très </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>précisément à l’aide de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>certains appareils, ou bien </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Le repérer </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>approximativement </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>(axe charnière arbitraire). </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pente incisive</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>influence des faces palatines des incisives </strong><strong>maxillaires sur les mouvements </strong><strong>mandibulaires </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>peut être exprimée en degré par rapport </strong><strong>au plan de référence horizontal.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pente condylienne</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Ce terme se rapporte au parcours qu’effectue l’axe bi condylien horizontal au cours </strong><strong>d’un mouvement normal d’ouverture mandibulaire. Il se meure en degré par </strong><strong>rapport au plan de Francfort.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dimension verticale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>= </strong><strong>la hauteur inférieure de la face </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>= </strong><strong>la distance qui sépare le point sous nasal </strong><strong>et le point gnathion. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Il existe deux types de DV : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong> </strong><strong>DVR </strong><strong> </strong><strong> </strong><strong> </strong><strong>DVO </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>C’est la position de référence de la </strong><strong>fermeture mandibulaire. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’espace libre d’inocclusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>= </strong><strong>la différence entre la DVR et la DVO. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>= </strong><strong>2mm, mais très variable en fonction de la </strong><strong>tension, l’âge, le type constitutionnel </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>Impératif biologique qui doit être </strong><strong>respecté. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Prématurités et interférences</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Prématurité : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>contact inter dentaire se produisant avant l’inter </strong><strong>cuspidation lors du mouvement de fermeture. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>∑ plusieurs contacts simultanés </strong><strong>/</strong><strong> successifs. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>Interférence :</strong><strong> contact dentaire modifiant le trajet de la </strong><strong>mandibule. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>Interférence non travaillante : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>contact du CNT </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la désocclusion des dents du CT </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la mobilisation d’une dent du CNT </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>Interférence travaillante :</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>contact occlusal du CT empêchant les mouvements </strong><strong>de glissement à frottement doux du côté travaillant.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les déterminants de l’occlusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’articulation temporo-mandibulaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>L’ATM comprend : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong>un compartiment inférieur </strong><strong>/</strong><strong>articulation condylo-méniscale </strong><strong> </strong><strong>des mouvement de rotation. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>&.</em></strong><strong>un compartiment supérieur </strong><strong>/</strong><strong>articulation temporo-</strong><strong>méniscale</strong><strong> </strong><strong>des mouvements de </strong><strong>translation. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>L’ATM est le mode d’union structural liant </strong><strong>la mandibule au crâne : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*</strong><strong> d’un point de vue dynamique__________ point d’appui. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*</strong><strong> d’un point de vue cinétique__________ guidage et limitation </strong><strong>des mouvements proposés </strong><strong>par le système </strong><strong>neuromusculaire </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le système neuromusculaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Les muscles masticateurs sont :</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>* Temporal :</em></strong><strong> </strong><strong>orientation de la mandibule</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>mouvement d’élévation.</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Masséter :</em></strong><strong> </strong><strong>élévation mandibulaire, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>actif lors de la propulsion pure + mouvements </strong><strong> </strong><strong>latéraux extrêmes.</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Ptérygoïdien externe :</em></strong><strong> </strong><strong>la propulsion du condyle.</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*Ptérygoïdien interne :</em></strong><strong> </strong><strong>l’élévation de la mandibule </strong><strong>+mouvements latéraux lors de la mastication.</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>* Le digastrique :</em></strong><strong> </strong><strong>l’abaissement de la mandibule </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>ventre antérieur. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Le système neuromusculaire anime la </strong><strong>mandibule, amené à des conditions </strong><strong>d’équilibre physiologique on peut espérer </strong><strong>qu’il procure le rapport de référence </strong><strong>cherché. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>La relation est une relation fonctionnelle, </strong><strong>parfois appelée myocentrée ou occlusion </strong><strong>myodéterminée. On pouvait également dire </strong><strong>physio-déterminée car c’est l’activité </strong><strong>neuromusculaire qui est sollicitée et non le </strong><strong>muscle en tant que tissu.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Tous les élément de la face occlusale des dents </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>interviennent à des tiers divers dans l’occlusion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>*</em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>Face occlusale du groupe incisivo-canin</em></strong><strong> :</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>il y a l’intervention : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Du bord libre et de la face palatine des </strong><strong>incisives maxillaires ; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Du bord libre des incisives mandibulaires ; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>De la face linguale et des crêtes mésiale et </strong><strong>distale des canine maxillaires. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>De la face vestibulaire et des crêtes mésiale et </strong><strong>distale des canines mandibulaires.</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>* </strong><strong><em>Face occlusale des dents cuspidées :</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Versants internes des cuspides </strong><strong>vestibulaires et les des cuspides linguales </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Les cuspides antagonistes s’articulent </strong><strong>avec les crêtes marginales ou avec les </strong><strong>faces.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Les cuspides se répartissent en 2 groupes :</strong><strong><span style="text-decoration: underline;"> </span></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><span style="text-decoration: underline;">* Cuspides de soutien :</span></strong><strong> </strong><strong>ce sont : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les cuspides vestibulaires des PM et M </strong><strong>inférieures </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la pointe cuspidienne de la canine, le </strong><strong>bord libre des incisives inf </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les cuspides palatines des PM sup. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong><span style="text-decoration: underline;">*Cuspides de guidage :</span></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspides linguales des PM et M inf </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspides vestibulaires des PM et M </strong><strong>sup.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les mouvements mandibulaires<br />
Dans le plan sagittal</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Si l’on fixe un crayon aux </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>incisives lors des </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>mouvements d’ouverture, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>de fermeture, de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>propulsion et de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>rétraction, on obtient une </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>enveloppe des </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>mouvements limites </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>représentée par: </strong><strong>« l’enveloppe des mouvements limites » </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image58.png"><img alt="image" border="0" height="244" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb58.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="image" width="149" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>lors du mouvement d’ouverture </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*la mandibule est maintenue en rétraction : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les incisives inférieures : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>mouvement de rotation de </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>CR </strong><strong>à </strong><strong>B </strong><strong>sur une distance allant de </strong><strong>2 à 3cm. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Si on augmente le mouvement d’ouverture au-delà du </strong><strong>point </strong><strong>B</strong><strong>, le mouvement devient un mouvement de </strong><strong>translation, le point inter incisif se déplace vers le </strong><strong>point</strong><strong> E</strong><strong>. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*En élevant la mandibule en propulsion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>le point inter incisif passe </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>de </strong><strong>E</strong><strong> à </strong><strong>F </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>le condyle mandibulaire entre en </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>contact avec le condyle temporal. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Lorsque les dents postérieures entrent en contact, </strong><strong>la fermeture en propulsion s’arrête en </strong><strong>F</strong><strong>. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Le passage en F à la position </strong><strong>CO</strong><strong> est déterminé </strong><strong>par le rapport occlusal des 2 arcades . </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Occlusion centrée :</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>contact entre la cuspide linguale de la 1ère </strong><strong>PM sup avec la crête marginale mésiale de la </strong><strong>2ème PM inf, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la cuspide linguale de la 2ème PM sup entre </strong><strong>simultanément en contact avec la crête marginal </strong><strong>distale de la 2ème PM + la crête marginale </strong><strong>mésiale de la 1ère M<. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Les cuspides mésio-linguales des molaires </strong><strong>sup entrent en contact avec la fosse centrale des </strong><strong>molaires inf </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les cuspides disto-linguales des molaires sup </strong><strong>entrent en contact avec les crêtes marginales des </strong><strong>molaires inf </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans le plan horizontal</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*Un mouvement latéral à partir de la relation </strong><strong>centrée: </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>le dentalé décrit le trajet allant de </strong><strong>CR</strong><strong> à </strong><strong>D</strong><strong>. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du point </strong><strong>D</strong><strong>, la mandibule peut se déplacer en avant </strong><strong>vers le point </strong><strong>F</strong><strong> situé sur la ligne sagittale médiane. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> Un tracé similaire peut être obtenu du côté </strong><strong>opposé du point </strong><strong>CR</strong><strong> au point </strong><strong>E</strong><strong>. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>*Lorsque la mandibule se déplace du CT: </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les cuspides vestibulaires des dents < s’opposent </strong><strong>aux cuspides vestibulaires des dents> et à leurs </strong><strong>versants. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En même temps, du CNT les cuspides et versants </strong><strong>vestibulaires des dents <entrent en relation avec les </strong><strong>cuspides et les versants linguaux des dents > </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans le plan frontal</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>§</strong><strong> </strong><strong>pente condylienne : la partie postérieure de la </strong><strong>mandibule se dégage plus rapidement de l’influence </strong><strong>des dents maxillaires, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>*</strong><strong> la concavité des faces linguales des cuspides prothétiques </strong><strong>maxillaires au fur et à mesure que la pente </strong><strong>condylienne </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>§</strong><strong> </strong><strong>propulsion pure, le degré des surplombs horizontal et </strong><strong>vertical de même que l’inclinaison des dents </strong><strong>antérieures sont en rapport avec la hauteur cuspidienne </strong><strong>des dents postérieures. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>* </strong><strong>Plus l’ovejet plus les cuspides postérieures doivent </strong><strong>être raccourcies pour éviter tout contact postérieur. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>* </strong><strong>Ovebite : moins il est accentué plus les cuspides doivent </strong><strong>être raccourcies pour éviter tout contact postérieur. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Concepts occlusaux</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Critères de l’occlusion optimale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Celle qui nécessite le moindre effort d’adaptation</strong><strong>. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Appuis établis sur toutes les dents lorsque les </strong><strong>condyles sont dans leur position la plus haute </strong><strong>et la plus postérieure ; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Désocclusion des dents postérieures en </strong><strong>propulsion ; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Lors des excursions des dents postérieures en </strong><strong>propulsion, le guidage occlusal doit se situer </strong><strong>du CT et désocclusion du CNT; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Glissement doux et sans contraintes de </strong><strong>l’occlusion en RC à l’occlusion centrée. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Concepts occlusaux prothétiques</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Concept de l’occlusion mutuellement </span></em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;">protégée:</span></em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>≈ </strong><strong>l’occlusion balancée bilatérale en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> </strong><strong>totale. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>En relation centrée : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>toutes les dents sont en contact </strong><strong>postérieures /antérieures </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les contacts : cuspide-crête marginale</strong>.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En propulsion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Contact du groupe incisivo-canin et </strong><strong>simultanément un contact molaire en dents </strong><strong>cuspidées. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>On peut avoir au minimum un contact </strong><strong>molaire qui se fait par la cuspide mésio-</strong><strong>palatine de la dernière molaire > qui va </strong><strong>glisser et toucher les crêtes marginales de </strong><strong>la dernière molaire<. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En latéralité : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CT</strong><strong> __</strong><strong>Contact entre le </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>versant interne des </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspides </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>vestibulaires </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>sup et le versant </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>externe de la </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspide </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>vestibulaire inf</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CNT___c</strong><strong>ontact entre le versant interne de la cuspide </strong><strong>palatine sup et le versant interne de la cuspide </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>vestibulaire inf.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">conclusion</a> : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>ce concept d’occlusion mutuellement </strong><strong>protégée est indiqué en prothèse </strong><strong>partielle de grande étendue c à d la </strong><strong><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="classe">classe</a> </strong><strong>I</strong><strong> et la classe</strong><strong> II</strong><strong>.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Concept du contact canin</span></em></strong><em><span style="text-decoration: underline;"> :</span></em> <strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>= </em></strong><strong>concept gnathologiste</strong><strong> de: </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>« Mac Collum, Stuart et Stallard ». </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>En relation centrée : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>coïncidence de RC avec la PIM </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>antérieurement les contacts sont légers, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>postérieurement on note des contacts </strong><strong>assez fermes. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En propulsion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les 6 dents antéro- inférieures glissent </strong><strong>sur les concavités palatines des dents </strong><strong>antéro-supérieures, </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>au niveau des dents cuspidées: </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>pas de contact ___</strong><strong>séparation </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En latéralité : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CT :l</strong><strong>e seul contact existant se fait entre les canines </strong><strong>par les face Vest. de la canine inférieure qui </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>glisse sur la face Palat. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>de la canine supérieure</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CNT:</strong><strong>Aucun contact </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En conclusion</strong> :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>ce concept est choisi lorsque le </strong><strong>support parodontal canin est </strong><strong>résistant.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Concept du contact groupe</span></em></strong><em><span style="text-decoration: underline;"> :</span></em></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>c’est l’école des </strong><strong>fonctionnalistes </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>« Pankey, Mann et Schuyler ». </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>En relation centrée :</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>la </strong><strong>PIM</strong><strong> est antérieure à la</strong><strong> </strong><strong>RC</strong><strong>, mais tolère </strong><strong>des déplacements sans augmentation de </strong><strong>la </strong><strong>DVO</strong><strong>. Toutes les dents sont en contact, </strong><strong>c’est le type d’occlusion cuspide-crête </strong><strong>marginale. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En propulsion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>les 6 dents antéro-inférieures glissent </strong><strong>sur la concavité palatine des dents </strong><strong>antéro-supérieures. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>des dents cuspidées : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>pas de contact séparation. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En latéralité :</strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CT :l</strong><strong>e contact se fait entre </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>le versant interne des </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>cuspides vestibulaires </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>supérieures et le versant </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>externe des cuspides </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>vestibulaires inférieures</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>du CNT :</strong><strong>pas de contact </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>En conclusion : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Cette fonction est indiquée : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>recouvrement incisif faible ; </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>le contexte parodontal exige une bonne </strong><strong>répartition des forces occlusales ; </strong><strong>avec un support canin affaibli.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Programmation de l’articulateur semi-adaptable</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">l’enregistrement de l’arc facial</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Localisation de l’axe charnière à l’aide d’un arc facial ou d’un localisateur d’axe charnière. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Mettre de la cire sur le plan de morsure<br />
</em></strong><strong><em>(ou fourchette<br />
</em></strong><strong><em>occlusale), et l’appliquer sur les dents maxillaires</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Enlever la fourchette d’occlusion et refroidir la cire. On doit voir l’empreinte des cuspides </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Remettre la fourchette occlusale en bouche et on demande au patient de serrer doucement mais </em></strong><strong><em>fermement en propulsion légère. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Mettre en place l’arc </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>facial sur la fourchette d’occlusion et centrer sur </em></strong><strong><em>la tête l’arc facial avec ou sans embouts </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>articulateur. Le bloquer dans cette position. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">transfert de l’arc facial</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Transfert de l’arc sans embouts </em></strong><strong><em>auriculaires :</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Régler la pente condylienne de </em></strong><strong><em>l’articulateur à 0° et l’angle de BENNET à </em></strong><strong><em>0°et bloquer les boules condyliennes </em></strong><strong><em>contre les butées en centre</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>centrer les tiges condylienne de l’articulateur sur </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>l’axe de l’articulateur, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>la moyenne de </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>centrage est de 6,5. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>l’arc facial est monté jusqu’à ce que les bords </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>incisifs des dents maxillaires soient au même </em></strong><strong><em>niveau que les repères. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Transfert avec embouts auriculaires :</em></strong><strong><em>Régler la pente à 70° et l’angle BENNET à 0°.</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>serrer les vis de blocage des boîtiers </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>condyliens</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> vérifier que la tige incisive affleure la surface </em></strong><strong><em>supérieure de l’articulateur, faire des rétentions </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>avec un couteau . </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>fixer la plaque de montage à la plaque </em></strong><strong><em>supérieure. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Poser le modèle maxillaire dans les </em></strong><strong><em>indentations de la </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>cire sur la fourchette occlusale et fixer </em></strong><strong><em>le modèle avec du </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>plâtre à empreinte</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Enregistrement de la relation centrée</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Préparer 3 plaques de cire rose de la forme du maxillaire. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Placer la cire ramollie sur les dents et </em></strong><strong><em>guider la </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>mandibule sur la cire sans contact des </em></strong><strong><em>dents puis la refroidir. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Refaire le même </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>enregistrement en propulsion. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Positionner le modèle mandibulaire par </em></strong><strong><em>rapport au modèle maxillaire à l’aide de la </em></strong><strong><em>clef occlusale.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> Baisser la tige de 2 à 3mm pour tenir </em></strong><strong><em>compte de l’épaisseur de la clef puis régler </em></strong><strong><em>la pente à 25°.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> Fixer avec du plâtre à empreinte et enlever </em></strong><strong><em>la clef .</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> Relever la tige incisive puis mettre les </em></strong><strong><em>modèle en RC et régler de la pente et </em></strong><strong><em>l’angle de BENNET. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">montage du modèle mandibulaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Desserrer les verrous des butées condyliennes et </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>tourner à 1mm dans le sens inverse des aiguille </em></strong><strong><em>d’une montre puis resserrer.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong><strong>¶</strong><strong><em> Glisser une cale de métal ou de plastique entre </em></strong><strong><em>la butée </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>et la boule condylienne. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Resserrer le verrou condylien en gardant la boule </em></strong><strong><em>en contact avec le cale.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> Positionner le modèle mandibulaire sur le </em></strong><strong><em>modèle maxillaire en OC.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>¶</strong><strong><em> Fixer le modèle à la branche inférieure de </em></strong><strong><em>l’articulateur avec du plâtre à empreinte. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Après la prise du plâtre, remettre la butée à </em></strong><strong><em>0. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>L’écart entre la RC et OC est de 1mm. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Enregistrements fonctionnels</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Enregistrer en propulsion à l’aide de cire </em></strong><strong><em>ramollie en effectuant le mouvement </em></strong><strong><em>plusieurs fois </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>et sans contact </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>dentaire. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Réglage de la pente condylienne et de </em></strong><strong><em>l’angle de BENNET :</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong><em>D</em></strong><strong><em>esserrer la vis du guide condylien </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>et les vis de blocage. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong><em>R</em></strong><strong><em>elever la branche supérieure de </em></strong><strong><em>l’articulateur et mettre la cire </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>d’enregistrement en propulsion sur </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>modèle mandibulaire. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>D</em></strong><strong><em>éplacer la branche supérieure jusqu’à ce </em></strong><strong><em>que le modèle maxillaire aille dans </em></strong><strong><em>l’enregistrement en propulsion.</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>La distance entre la boule et la butée doit être prés </em></strong><strong><em>équivalente des deux cotés.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong></strong><strong><em>La tige incisive bien centrée, les pentes doivent </em></strong><strong><em>être semblables. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>L=H/8 +12 </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>L : </em></strong><strong><em>pente condylienne latérale ou angle de </em></strong><strong><em>BENNET </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>H: </em></strong><strong><em>pente condylienne.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong></strong><strong><em>Desserrer la vis de réglage et tourner jusqu’à </em></strong><strong><em>atteindre le réglage calculé. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’analyse occlusale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen des contacts occlusaux</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Examen de la PIM</em></strong><strong><em> et déterminer les </em></strong><strong><em>contacts. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Examen du chemin de fermeture</em></strong><strong><em> qui peut </em></strong><strong><em>être dévié </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Examen des faces occlusales</em></strong><strong><em> : connaître </em></strong><strong><em>l’anatomie de l’occlusion en PIM :</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>normoclusion CL I </em></strong><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong>þ</strong><strong> </strong><strong><em>distoclusion CL II</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong>þ</strong><strong> </strong><strong><em>mésioclusion CL III </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Examen des courbes occlusales : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>de SPEE dans le plan sagittal</em></strong><strong><em>, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>de WILSON dans le plan frontal</em></strong><strong><em>. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>* Examen des contacts en rétrusion : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>à partir de la PIM, la mandibule peut </em></strong><strong><em>effectuer un mouvement de </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>rétrusion et la relation </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>établie est la </em></strong><strong><em>RELATION CENTREE</em></strong><strong><em>. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>La relation centrée :</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>le plus souvent elle est en arrière de la </em></strong><strong><em>PIM et le mouvement de fermeture est </em></strong><strong><em>interrompu par un contact sur une ou </em></strong><strong><em>plusieurs dents. A partir de ce contact, </em></strong><strong><em>la mandibule glisse pour rejoindre la </em></strong><strong><em>PIM et c’est ce qu’on appelle le </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>«</em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>SLIDE IN CENTRIC »</em></strong><strong><em>, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*Ce glissement doit se faire sans heurts. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*Examen des contacts en protrusion :</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Mouvement fonctionnel de la mandibule lorsque </em></strong><strong><em>les incisives inférieures glissent sur les faces </em></strong><strong><em>palatines des incisives supérieures depuis la </em></strong><strong><em>PIM jusqu’en bout à bout ce trajet est </em></strong><strong><em>déterminé par le </em></strong><strong><em>guide incisif</em></strong><strong><em>. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>En occlusion normale, le guide incisif présente : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> une désocclusion immédiate et totale des </em></strong><strong><em>dents postérieures. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> pouvoir conduire la protrusion en trajet </em></strong><strong><em>rectiligne. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>* Examen des contacts en latéralités : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>les surfaces sur lesquelles glissent les </em></strong><strong><em>cuspides support inférieures sont les </em></strong><strong><em>surfaces de guidage </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong> </strong><strong><em>faces palatines de la canine, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> versant interne des cuspides </em></strong><strong><em>vestibulaires supérieures, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> versant interne des cuspides </em></strong><strong><em>linguales inférieures. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>En occlusion normale lorsque la mandibule se </em></strong><strong><em>déplace latéralement il y a un coté travaillant et </em></strong><strong><em>un coté non travaillant qu’il faudra bien </em></strong><strong><em>examiner : </em></strong><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong><strong>J</strong><strong>. </strong><strong><em>du coté travaillant :</em></strong><strong><em> on aura soit </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*une fonction canine :</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>la canine inférieure conduit le mouvement depuis </em></strong><strong><em>la PIM et provoque la désocclusion immédiate et </em></strong><strong><em>totale toutes les autres dents. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*une fonction groupe :</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>plusieurs dents y compris les canines guident </em></strong><strong><em>la fonction latérale et assurent en outre la </em></strong><strong><em>désocclusion du coté non travaillant. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>J</strong><strong>.</strong><strong><em> du coté non travaillant :</em></strong><strong><em> aucun contact</em></strong><em>. </em></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Etude du plan d’occlusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Compléte l’examen clinique de l’occlusion. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>*Ce plan est souvent </em></strong><strong><em>±</em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>perturbé: </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>une élongation des dents qui ont perdu leur </em></strong><strong><em>antagonistes: </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Simples meulages troubles pas trop </em></strong><strong><em>accusés </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Réalisation de couronnes cas plus </em></strong><strong><em>sévères.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>des version dues à la perte des dents voisines, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>une orthopédie mineure en rétablissant l’axe </em></strong><strong><em>des dents.</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong>þ</strong><strong><em> </em></strong><strong><em>la prothèse sera réalisée selon un schéma </em></strong><strong><em>occlusal donné, conforme au cas traité. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Thérapeutique occlusale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Quand faut-il restaurer le plan d’occlusion ?</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Lorsque le plan d’occlusion n’existe </em></strong><strong><em>plus : édentations terminales ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Lorsque le plan d’occlusion est </em></strong><strong><em>perturbé : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>dysharmonies inter arcades ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Lorsque le plan d’occlusion engendre </em></strong><strong><em>une occlusion de convenance pathogène </em></strong><strong><em>(spasmes, bruxisme, SADAM, …)</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pourquoi faut-il restaurer le plan d’occlusion ?</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>Rétablir une fonction masticatrice </em></strong><strong><em>normale, une DVO convenable, un </em></strong><strong><em>courbe de Spee et de Wilson correctes ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> Supprimer les contraintes occlusales ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> Rétablir un schéma occlusal ou </em></strong><strong><em>s’inscrire dans un nouveau schéma. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Quel schéma occlusal choisit-on ?</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Quelle relation inter maxillaire peut-</span></em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;">on adopter ?</span></em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Dépend de certains paramètres (patient): </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>Une DV d’occlusion indésirable ;</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>Un plan d’occlusion ne nécessitant </em></strong><strong><em>aucune modification ;</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>Une absence complète de pathologie au</em></strong><strong> </strong><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>articulaire, musculaire et parodontal. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> </em></strong><strong><em>Il est tout à fait possible d’appareiller en </em></strong><strong><em>occlusion centré habituelle. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> <blockquote><strong><em>Par contre, dans tous les cas où il existe une pathologie, dans tous les cas où il convient de </em></strong><strong><em>restaurer la DV et le plan d’occlusion, dans tous les cas où l’occlusion habituelle n’est ni </em></strong><strong><em>stable ni reproductible au cours des différentes phases du traitement, </em></strong></blockquote></div><div style="text-align: left;"><strong><em>le retour à la relation centrée devient </em></strong><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>indispensable.</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Comment choisir un schéma occlusal ?</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><em></em><strong><em>Dans le cas où il n’existe pas de </em></strong><strong><em>pathologie, nous gardons le schéma </em></strong><strong><em>occlusal existant du patient et nous </em></strong><strong><em>inscrivons la prothèse dans l’occlusion </em></strong><strong><em>habituelle. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Dans le cas où il existe une pathologie, </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>le choix va être un peu plus délicat et nous </em></strong><strong><em>allons tenir compte de certains</em></strong><strong> facteurs : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Le type bio morphologique du sujet : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<strong><em>détermine le surplomb sagittal </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<strong><em>détermine le recouvrement vertical </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<strong><em>la courbe de Spee et la courbe de Wilson ;</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Il faut donc agir au niveau antérieur par un traitement </strong><strong>orthopédique soit par contention soit par des bridges. </strong><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>Le facteur dento-ostéo-muqueux : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Ce facteur va déterminer le degré de résistance de la dent </em></strong><strong><em>et du parodonte, il serait illusoire et même criminel de </em></strong><strong><em>confier la désocclusion à une canine qui aurait une </em></strong><strong><em>couronne clinique ou une racine défavorable, mobile et </em></strong><strong><em>atteinte de parodontolyse. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>L</em></strong><strong><em>’</em></strong><strong><em>absence ou la pr</em></strong><strong><em>é</em></strong><strong><em>sence de canine </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>La classe d</em></strong><strong><em>’édent</em></strong><strong><em>ation </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>La nature de la </em></strong><strong><em>prothès</em></strong><strong><em>e qui se </em></strong><strong><em>trouve à</em></strong><strong><em> l</em></strong><strong><em>’</em></strong><strong><em>arcade </em></strong><strong><em>antagoniste </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Quel concept occlusal choisit-on ?</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>1-</strong> <strong><em>Si on a une prothèse totale à l’arcade antagoniste :</em></strong><strong><em> on </em></strong><strong><em>choisi un schéma occlusal totalement balancé </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>2- Edentation postérieure :</em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>on choisi la protection canine ou antérieure </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>3- Edentation intercalée :</em></strong><strong><em><span style="text-decoration: underline;"> </span></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En l’absence de pathologie</span></em></strong><strong><em> :</em></strong><strong><em> l’occlusion </em></strong><strong><em>habituelle est le meilleurs type d’occlusion </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em><span style="text-decoration: underline;">En présence de pathologie </span></em></strong><strong><em>: </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>si le facteur dento-ostéo-muqueux est favorable :</em></strong><strong><em> </em></strong><strong><em>il faut rechercher une protection canine. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>si le facteur dento-ostéo-muqueux défavorable : </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>il faut rechercher une fonction groupe </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>4-Edentation distale et facteur dento-ostéo-muqueux</em></strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong><strong><em>défavorable :</em></strong><strong><em> il faut rechercher une fonction groupe. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Conséquences d’un mauvais choix d’occlusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Avant d’entreprendre tout acte de </strong><strong>restauration prothétique:</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>il faut s’assurer que les rapports occlusaux </strong><strong>du patient sont corrects et méritent d’être </strong><strong>conservés. </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>dans les restaurations défectueuses, les </strong><strong>parodontopathies ou la perte des dents </strong><strong>prédisposent et aboutissent souvent à des </strong><strong>rapports occlusaux perturbés.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Dans certains cas, les éléments fonctionnels de l’occlusion </em></strong><strong><em>d’un patient ne comportent aucune interférence </em></strong><strong><em>occlusale, alors que d’autres dents ne participent </em></strong><strong><em>nullement à la fonction :</em></strong><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em>Elles ont migré, se sont versées ou se sont égressées du </em></strong><strong><em>fait de la perte des dents antagonistes, dans ce cas </em></strong><strong><em>l’occlusion doit être corrigée avant que ne s’établissent </em></strong><strong><em>de nouveaux rapports entre les futures prothèses et les </em></strong><strong><em>dents résiduelles. </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>Un mauvais choix de l’occlusion va entraîner des troubles </strong><strong>fonctionnels et parodontaux, par exemple :</strong><strong><em> </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> Egression, version dentaire et </em></strong><strong><em>rotation dentaire ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> Abrasion des surfaces </em></strong><strong><em>occlusales ; </em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em> Propulsion de la mandibule.</em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong><em></em></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Conclusion</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<strong>Le souci de l’équilibre occluso-articulaire </strong><strong>conditionne le plan de traitement quelle que soit </strong><strong>la restauration prothétique projetée et que </strong><strong>l’étude attentive et systématique de l’occlusion </strong><strong>est une part décisive de l’examen clinique et de </strong><strong>l’analyse des modèles d’étude. L’équilibre </strong><strong>restauré par la prothèse adjointe partielle doit </strong><strong>être fonctionnel, harmonieux et durable. </strong></div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-47826978737584543092011-04-17T13:55:00.001-07:002011-04-17T13:55:51.162-07:00Thérapeutique Prothétique<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div> </div><div style="text-align: left;"> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les concepts en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> partielle amovible ont subi des changements importants à cause du progrès de la science dans les domaines de la plaque, de la carie, des maladies péridentaires et du rôle du stress. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La P.P.A.C. comme appareil biomécanique est construite en coopération par le dentiste est responsable du résultat final. Toute fois, le technicien de laboratoire dentaire doit assumer à un second degré sa part de responsabilité en exécutent la coulée de la pièce métallique selon des directement du dentiste. Les connaissances acquisses par la recherche chimique doivent être partagées autant par le dentiste et le technicien, chacun d’eux comprenant et acceptant sa part de responsabilité </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">II- Définition d’ une PPAC</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’idée en « prothèses amovible à crochets » </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est la restauration d’une arcade partiellement édentée par un système matériel adapté à l’arcade résiduelle pour la compléter dans ses multiples fonctions et reposant sur des tissus estéo-muqueux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La forme c’est celle d’une armature métallique composée de selles de barres, d’entretoises, d’ailettes ou de prolongements digités s’agrippant sur les dents supports à l’aide de crochets et se complétant d’une superstructure cosmétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Une prothèse est dite <u>s</u>quelettée quand l’utilisation le taquets occlusaux sur de nombreux piliers permet d’alléger l’armature métallique dans ses bases et entretoises.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>III- Indications et contre – indication </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>1- indications : Pourquoi une P.P.A.C. ?</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">I) Pour stabiliser et assister l’articulation temporo-madiculaire dans ses fonctions </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2) Pour maintenir, stimuler et supporter les dents restent dans leur propre position ou pour prévenir un déplacement additonnel et une détérioration de la condition présente. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3) Pour améliorer ou restaure l’esthétique </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">4) Pour aider à rétablir la mastication </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">De toutes ces raisons, la première est la plus importante. L’absence de support occlusal ou d’arrêt postérieur peut à la longue être dommageable pour l’A.T.M.. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les patients peuvent souvent sans P.P.A.C. , mastiquer leurs aliments convenablement ne pas avoir de soucis d’ esthétique, ni être ennuyés par les déplacements inévitables des dents restantes, il faut les informer des risques que court leur articulation temporo-mandibulaire à long terme. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2- Contre indication </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Quand ne pas faire une P.P.A.C. ? </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La relation qui existe entre les maxillaires ou entre les dents restantes ne peut pas toujours être améliorée par une pièce de prothèse amovible partielle amovible coulée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1- Dans certains cas de rétrognatisme, il se peut que les molaires inférieurs soient absentes et que les deuxièmes prémolaires en <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> dépassent la limite distale des molaires supérieures dans un tel ces, une P.P.A.C n’a pas sa raison d’être. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2- Lorsque les dents inférieures en place sont toutes alignées lingualement aux supérieures. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3- Lorsque les dents de l’une ou l’autre arcade sont en extrusion touchent et même blessent la muqueuse de la crête édentée antagoniste. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">4- Lorsque les crêtes édentée des arcades antagonistes se touchent ou sont presque en contact. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">5- Absence d’hygiène. On ne devrait jamais faire de P.P.A.C. dans une bouche ou l’hygiène dentaire est négligée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>IV- Traitement prothétique proprement dit </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>I- Prise D’empreinte Primaire </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>A- LES MATERIAUX A EMPREITE </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">I) Les Hydrocolloïdes </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) Réversible </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) Irréversible ( alginate) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2) Les silicones </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3) Les élastoméres de synthèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les alginates sont des produits à empreintes les plus fréquemment utilisés en raison de leur préparation qui est simple et permettent d’obtenir des empreintes précises.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>B- CHOIX DE PORTE EMPREINTE</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Porte empreinte préfabriqué pour alginate </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- En vérifiant la longueur et la largeur. Au besoin, plier les extensions linguales pour une meilleure adaptations </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Ajouter de la cire rigide ou de la pâte thermoplastique s’il est trop court au distal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- une galerie de cire molle est ajoutée aux bords externes et postérieurs du porte empreinte supérieur et aux bords linguaux du porte empreinte inférieur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>C- TECHNIQUE D’EMPREINTE ET QUELQUES OBSERVATIONS SUR LES </b><b>ALGINATES:</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’alginate se détériore rapidement à température élevée. IL vaut mieux ne pas avoir des réserves pour plus d’un an, et les conserver dans un endroit sec et frais. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Un temps de spatulation trop court au trop long peut également donner de mauvais résultats. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Il faut respecter les mesures telles que spécifiées par chacun des manufacturiers. Les récipients ne sont pas interchangeables. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Une empreinte d’alginate ne devrait pas être retirée de la bouche avant 2 à 3 mn après que le gel s’est formée ni après 5 mn, dans les deux cas, il y a distorsion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’empreinte d’alginate doit être retirée de la bouche d’un mouvement sec et rapide pour éviter la distorsion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La stabilité dimensionnelle du gel de l’alginate est influencée à la fois par le synérèse et l’imbibition. En conséquence, il faut couler le modèle immédiatement après la prise d’empreinte. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’épaisseur idéale d’alginate dans un porte empreinte de 3mm </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Une répartition uniforme du matériau réduit les risques de distorsion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Ne pas oublier de masser délicatement les régions périphériques pour obtenir une meilleure adaptation pour l’empreinte au maxillaire inférieur faire placer la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a> au dessus du porte empreinte avant la poussé totale vers le bas. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Ne pas écraser les tissus mous. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>D- LA COULEE DES MODELES</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La coulée des modèles peut intervenir soit immédiatement, soit 10 mn après. L’empreinte est rincée, séchée à. 1′air une petite dose de plâtre fluide est déposée sur l’empreinte en la </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tapotant pour éviter les bulles d’airs, jusqu’à-ce que le porte empreinte sera remplit de plâtre. Ensuite nous préparerons les socles. Après durcissement du plâtre, nous séparerons le modèle de l’empreinte et nous obtiendrons ainsi notre modèle primaire ou modèle d’étude.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2- TRANSFORMATION DES MODELS SUR ARTICULATEUR : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) Placer Le modèle maxillaire sur la branche supérieure de l’articulateur à laide d’un arc facial dans une position repérée par trois points pris sur le massif cranio-facial de l’axe de rotation bicondylien et le point sous-orbitaire. La situation de deux points latéraux peut être déterminée par un enregistrement graphique ou à partir d’une situation approché. Cette approximation selon « NEINBERG » entraîne une erreur minime dans les contacts occlusaux si la cire d’enregistrement de la R.C. est très mince. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) La position du modèle mandibulaire est choisie en fonction des objectifs de la reconstruction. C’est la R.C. ou la position d’intercuspidation<i> </i>maximale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3- ANALYSE DES MODELES :</b><b><i> </i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>a) analyse de l’occlusion a l’état statique et a l’état dynamique</i></b><b>:</b>L’étude se fait en R.C qu’en P.I.M. on doit étudier tous les rapports occlusaux et voir l’intensité de ces rapports à l’aide de la cire verte ou de papier à articuler il faudra étudier la position des incisives par rapport aux autres ainsi que celles des canines et des molaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><table border="1" cellpadding="0" cellspacing="0" style="margin-left: 0px; margin-right: auto; text-align: left; width: 600px;"><tbody>
<tr> <td width="140"> <b>Sens</b><br />
</td> <td width="158"> <b>Incisives</b><br />
</td> <td width="161"> <b>Canines</b><br />
</td> <td width="139"> <b>Molaire et </b><b>prémolaire</b><br />
</td> </tr>
<tr> <td width="140"> sens vertical<br />
</td> <td width="158"> Over bite ou recouvrement<br />
</td> <td width="161"> Recouvrement<br />
</td> <td width="139"> </td> </tr>
<tr> <td width="140"> sens sagittal<br />
</td> <td width="158"> Over jet ou sur plomb<br />
</td> <td width="161"> <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="classe">Classe</a> d’angle<br />
</td> <td width="139"> Classe d’angle<br />
</td> </tr>
<tr> <td width="140"> sens transversal<br />
</td> <td width="158"> Coïncidence des points inter incisives<br />
</td> <td width="161"> Surplomb<br />
</td> <td width="139"> <br />
</td> </tr>
</tbody> </table><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Le papier à articulé montre des contacts prématurés anormaux d’où la nécessité d’une coronoplastie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La non coïncidence entre la relation intermaxillaire centrée et la position d’intercuspidation actuelle, est toujours la première révélation importante de l’analyse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La relation axiale terminale sera choisie comme relation inter-occlusal à rétablir dans les cas suivants : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Lorsqu’une bruxomanie diurne ou nocturne a été mise en évidence. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Lorsqu’une manifestation pathologique musculaire, articulaire ou parodontale aura motivée une consultation de notre patient et que seul un blocage de l’occlusion centrée en relation axial terminale peut être considéré comme le moyen thérapeutique idéal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Lorsqu’on se trouve en présence d’une classe II division II d’angle ou d’une classe III. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Lorsqu’on a des facettes de rétrusion </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Lorsqu’une réhabilitation occlusale importante est envisagée.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>ANALYSE DYNAMIQUE DE L’OCCLUSION :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le <u>bout à bout :</u> l’Analyse de l’occlusion dynamique se fait ici en suivant le déplacement de la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> jusqu’au bout à bout, ceci nous permettra de détecter les interférences occlusales lors de ce trajet, lorsqu’il existe des points de contact postérieur : on parlera d’interférences protrusives non travaillantes et lorsque ces interférences se situent antérieurement on parlera d’interférences : protrusives travaillantes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>EN LATERALITE</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">l’Analyse de ce mouvement se fait suivant 1e guidage dent effectue. Si on a un<i> </i>guidage canin ou groupe avec des contactes dentaires du côté non travaillant, On parlera d’interférence non travaillante en latéralité. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’Étude de l’occlusion peut se faire directement en bouche ou sur articulateur. Le repérage des contacts occlusaux se fera à l’aide du papier à articuler ou à l’aide de cire<b> </b>d’occlusion<i>.</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut évaluer une différence qui existe entre la dimension verticale d’occlusion en. Intercuspidie maximale et celle d’ occlusion en relation centrée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les contactes interocclusaux : doivent être répartis de la façon suivante : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>- En propulsion</b> : Contacts inter incisifs doublés d’une disclusion symétrique, équivalente au niveau des molaires et des prémolaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- <b>En latéralité</b> : Protection canine prévenant toute para fonction ou bruxomanie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* Toute contact prématuré du côte non travaillant sur noté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque le patient envisage une harmonisation de sa morphologie occlusale par meulage, les contacts prématurés en relation centrée seront corrigés sur les modèles en plâtre montés sur l’articulateur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les premiers contacts qui sont supprimés devront correspondre aux versants cuspidiens responsables du glissement mandibulaire, hors de la relation axiale terminale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au terme de la coronoplastie en relation centrée, toutes les interférences prématurées occlusales doivent être éliminées. La répartition des contacts doit être faite sur le maximum de dents antagonistes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour rétablir aussi une occlusion équilibreé chez le patient partiellement édenté il faut maintenir une dimension verticale non altérée si non il n’y aura pas un plan esthétique caractérisé par un effondrement de l’étage inférieur de la face et une béance labiale, aussi une perturbation du plan fonctionnel, caractérisé par la perte d’efficacité masticatoire, l’abrasion des dents antérieurs. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut vérifier le plan d’occlusion qui est déterminé par rapport au plan de camper qui passe par le dentalé et la cuspide distale de la deuxième molaire. Aménagement du plan d’occlusion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au niveau antérieur une maquette d’occlusion est indispensable, son réglage est basé sur le paralléliseur avec la ligne bipupillaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au niveau postérieur : le plan d’occlusion est réalisé sur une maquette réglée en fonction su plan de camper. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En présence des dents égréssées, le plan d’occlusion est réalisé sur les modèles montés sur articulateur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>b) analyse des indices biologiques positifs et négatifs </i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>- définition</i></b><i> :</i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les indices biologiques sont des éléments anatomiques ou physiologiques ayant des propriétés particulières en relation directe ou indirecte avec le traitement prothétiques. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On appelle indices positifs l’ensemble des éléments anatomiques et physiologiques favorables à la conception de notre prothèse. C’est à dire favorisant la sustentation, la stabilisation et la rétention de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On appelle indice négatifs tous les éléments anatomiques et physiologiques défavorables, à éviter ou à décharger, dans la tracer les indices positifs sur les modèles en vert et en rouge pour les indices négatifs.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>1- les éléments anatomiques et physiologiques positifs de l’arcade supérieur </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents résiduelles : Deux éléments anatomiques doivent être retenus :<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Le relief des couronnes dentaires</b> : – mobilité nulle </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Bonne position </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Hauteur couronnaire Importante </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les dents convexes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le point de contact : situé à l’union du tiers vestibulaire et des .2/3 linguaux de la face proximale de la dent, il se trouve également à 3 l’union de 1/3 occlusal et des 2/3 cervicaux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Tissus de revêtement des surfaces d’appui :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Surface d’appui primaire aux tissus de revêtement fermes et adhérents : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Zone rétro-incisive </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Rebord alvéolaire dans leur portion palatine. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’infrastructure osseuse sous-jacente favorable à l’adhésion de la base prothétique.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>sommet de la ligne faîtier</b> : le sommet de rebord alvéolaire doit être adhérent.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Versant vestibulaire du rebord alvéolaire avec une crête large et ferme (indice +) </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Tubérosité et sillon pterygo maxillaire</b> : ils assurent la stabilisation de la prothèse dans le plan horizontal et sagittal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La ligne de réflexion du voile pouvant servir de joint postérieur dans les cas de larges édentements.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La limite entre palais dur et palais mou (indice +) </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2) les éléments anatomiques et physiologiques négatif de l’arcade supérieure</b> : ils seront marques en rouge . </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La papille rétro-incisive . </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La suture intermaxillaire saillante (à décharger) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Zone de Schroéder. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les insertions musculaires et ligamentaires : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* Les freins médians et latéraux </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* Le ligament ptérygo-maxillaire </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* Les insertions des muscles myrtiformes, buccinateurs et…. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les saillants osseux : ils seront éliminés au stade prothétique du traitement pour stabiliser notre prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3- les éléments anatomiques et_ physiologiques positifs de l’arcade </b><b>inférieure</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Relief des couronnes dentaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le point de contact. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Ligne faîtière de la crête </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Rebords alvéolaires peu résorbés et le versant vestibulaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Tubercule rétromolaire </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Surface d’appui secondaire.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4- Les éléments anatomiques et physiologiques négatifs de l’arcade </b><b>inférieure</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le frein lingual </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La ligne oblique interne. (à décharger)<b><i> </i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>c) travail au paralleliseur</i></b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>a) définition</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">le paralléliseur est un instrument de diagnostic et de traitement prothétique au laboratoire. Il permet : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1) le choix du plan d’insertion et d’enlèvement le Plus acceptable. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2) la sélection des surfaces des dents destinées à servir de plans guides. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3) La localisation et la mesure des zones rétentives des dents. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">4) L’évaluation des zones d’interférence. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">5) L’analyse de différents plans d’insertion en fonction de l’esthétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">6) La détermination des dents à restaurer au cours de la préparation de la bouche. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">7) Le tracé de la ligne de contour sur les dents piliers. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> <img alt="8)" class="wp-smiley" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-includes/images/smilies/icon_cool.gif" /> L’enregistrement-t de la position du modèle selon le plan d’insertion choisi </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>b) procédure</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1) fixer d’abord le modèle d’étude sur la table de paralléliseur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2) Etablir la position de départ à l’œil, garder le plan occlusal aussi près que possible de la position horizontal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3) Incliner le modèle délicatement jusqu’à ce que les surfaces proximales soient parallèles et les zones de rétention égales. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">4) Ne pas tenir compte de l’inclinaison exagérée d’une seule dent alors d’alignement, mais suivre plutôt l’orientation du modèle dictée par les autres dents piliers qui sent mieux alignées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">5) Vérifier lez zones rétentives des crêtes ostéo-muqueuses . Une rétention exagèrée peut occasionner des interférences. Dans ce cas, changer l’orientation du modèle ou penser à la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/chirurgie" rel="external" title="chirurgie">chirurgie</a>. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La tige d’analyse du paralléliseur nous aide à trouver les plans guides et les zones rétentives. Les tiges calibrées nous aident à mesurer ces zones de rétention. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Donc, pour obtenir un plan de modèle parallèle au plan d’occlusion il faut marquer trois points tout autour du socle : un antérieur, situé au milieu de la papille rétro incisive et deux points postérieurs situés sur le sillon ptérygo maxillaire. Nous déterminants la hauteur du socle au point antérieur de coté vestibulaire à l’aide d’un Compa ensuite on la rapporte au niveau des deux points marqués. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En fin, on taille le modèle et obtient la base de modèle parallèle au plan d’occlusion.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>NB </b>: Le paralléliseur comporte : un plan de base, une potence mobile, un axe vertical à crémaillère, table porte modèle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- <b>Montage des modèles sur articulation</b>. : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ces modèles vont nous permettre de : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Déterminer si les corrections du plan d’occlusion sont nécessaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Déterminer les problèmes orthopédiques </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- D’étudier au paralléliseur les corrections à apporter en bouche pour obtenir une insertion correcte de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- On marque toutes les retouches sur le modèle avec un crayon et à l’ordre de la cire bleu toutes les modifications à réaliser </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>ex</b> : inlay et couronne </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut déterminer tous les points ou surfaces de contact des extrémités rétentives des crochets. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les barres coronaires, cingulaires, les entretaises les taquets coronaires, les potences, les limites des bases et les selles décolletées doivent être tracées avec soin en respectant tous les principes de la stabilisation.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>ETUDE DE PLAN D’OCCLUSION</b> : Ce plan d’occlusion est plus ou moins perturbé selon les cas et se traduit par une élongation des dents qui ont perdu leurs antogonistes. Ce sont dés troubles qu’il est possible de les corriger par un simple meulage lorsqu’ils ne sont pas trop accusés ou par la réalisation de couronnes dans les cas plus sévères. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il arrive parfois qu’il y est une discordance entre la P.I.M. et R.C. ceci </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">est dû à des prématurités qu’il faut les disparaître avant d’entreprendre la restauration . Par contre si le passage est libre , il n’y a pas lieu d’intervenir ; la prothèse sera réalisée selon un schéma occlusale conforme aux cas traité. Quel schéma occclusal choisit-on ? Ce choix est guidé par la valeur du secteur carin par la classe d’ édentement du maxillaire, appareille, par la classe d’édentement du maxillaire autogoniste et enfin par l’ordre du priorité des prothèse ces différents facteurs nous amènent à définir des occlusions particulières occlusion habituelle ( P.I.M. différente de la R.C. ). L’occlusion totalement balancée (contact maximum dans toute les positions ) Fonction groupe bilatérale ou unilatérale et la fonction canine bilatérale ou unilatérale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- S’il n’y a pas de pathologie s nous garderons lu schéma occlusal du patient (occlusion habituelle). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-S’il y a pathologie : nous inscrivons la prothèse dans l’un des schémas cités précédemment (canin, groupe …) en tenant compte de certains facteurs (présence ou absence du canine, valeur de facteur D.O.M.) : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Exp : Pour une édentement intercalée sans pathologie l’occlusion habituelle est la meilleure type d’occlusion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Avec pathologie + fauteur D.O.M. favorable, on doit rechercher une protection canine , si le facteur canin est défavorable, on cherche une protection groupe. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour une édentement terminale même principe général chaque fois que le facteur D.O.M est défavorable, il faudra répartir les charges occlusales sur un groupe de dents et non à la canine seulement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le plan d’occlusion sera donc restauré lorsqu’il n’existé plus (édentement terminale). Lorsqu’il est perturbé : (existence de dysharmonies et 1′orsqu’il engendre une occlusion de convenance pathogène (spasme, bruxisme). On les restaure afin de rétablir une fonction masticative normale, une D.V.0. Correcte et une courbe de spce de wilson correcte . </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Choix de type de prothèse : c’est celui que l’on Jure le plus adéquat </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">pour le patient.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>5- Choix de l’axe d’insertion de la prothèse</b> : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Quant l’axe d’insertion a été déterminé, le tracé de la ligne guide est exécuté. Une mine de plombagine fixée sur mandrin inscrit sur le modèle la ligne de plus grand contour des dents supports de crochets. Le déplacement de la mine doit être appliqué tangentiellement à la couronne et parallèlement à l’axe d’insertion déterminé.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>6)</b>- <b>Dessin des</b><b><u> </u></b><b>lignes guides des dents piliées </b>: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les lignes guides peuvent être classées en trois catégories qui déterminent le degré de rétention qui sort réalisées grâce à des Janges. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La ligne guide N° 1 correspond à 1/3 de mm plus près de collet. Elle convient au crochet 1 de NEY.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La ligne guide N° 2 correspond à 2/3 de mm très proche de la face occlusale. Elle convient au crochet N° 2 de NEY.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La ligne guide N° 3 correspond à 1 mm très de la surface occlusal. Elle convient au crochet en fil façonné à la pince. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Donc, il est possible après le tracé des lignes guides de déssiner les crochets, des barres coronaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>7)- La </b><b><u>coronoplastie</u></b><u> </u>: Il faut meuler toutes les dents prématurées destinées à recevoir les crochets et les taquets occlusaux. La coronoplastie à trois finalités : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1) Elle sert à établir les plan de guidage parallèles à l’axe d’insertion de la prothèse pour faciliter le bras actif du crochet franchit la ligne guide lors de la<i> </i>pose ou la dépose de la prothèse évitant toute action scoliodontique des dents pliées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2) Elle est nécessaire pour la rectification de la morphologie de la dent sur les faces vestibulaires ou proximales pour créer une zone rétentives. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3) Sert à préparer des logettes pour les taquets occlusaux. Région anatomique ou doivent s’effectuer les coronoplasties. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Plan guide; on meule les faces linguales et les versions mésiales et distales. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Rétention vestibulaire : Il est possible de créer </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">par meulage une légère zone rétentives soit en augmentant la contre dépouille soit en créant une gouttière ou viendra se loger l’extrémité du bras actif de crochet. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les taquets occlusaux : (voir séchémas) : Ils s’opposent aux forces verticales et horizontales s’exerçant sur la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Dessin de chassi avec les lignes de plus grand contour sur les dents piliers. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- On nomme le type de la position du grand connecteur, de chacun des appuis et des reteneurs directs.<b> </b>On indique les plans guides et le genre de base. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- On décrit le degré de rétention, zones critiques pour l’occlusion, espaces à combler. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b> <img alt="8)" class="wp-smiley" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-includes/images/smilies/icon_cool.gif" /> </b>- <b>ESSAI DE CHASSI</b> : Après avoir que le chassi est coulé, il doit être essayé en bouche pour contrôler les appuis occlusaux et la stabilité du chassie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Vérifier les zones de l’occlusion sur les appuis ou les bras réciproques, corriger et polir le métal.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>9)</b>- <b>EMPREINTES FONCTIONNELLES</b> : Dans le cas de classe I et II.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On appelle empreinte secondaire anatomo-fonctionnelle, toute empreinte capable simultanément : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- de reproduire, aussi fidèlement que possible, les différents éléments anatomiques ostéomuqueux et dentaires remarquables destinés à supporter la future restauration. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- D’apprécier les différences de dépressibilité des tissus de support,</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- D’enregistrer et de libérer le jeu des organes paraprothétiques. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Objectifs : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Obtenir un ou plusieurs modèles de travail sur lesquels seront élaborées les restaurations prothétiques amovibles, </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Refléter aussi fidèlement que possible toutes les caractéristiques fondamentales de la surface d’appui prothétique, </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Permettre d’apprécier les pertes de substances alvéolaire ou osseuse, à compenser.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Contribuer à l’étude des relations interarcades sur un articulateur adaptable ou semi-adaptable. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Techniques : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’importante variété des cas d’étentement à traiter et la disparité tissus à mouler ne nous permettent pas d’espérer qu’une technique d’empreinte omnivalente pourra résoudre, avec succès, toutes les situations imposées à l’opérateur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Plusieurs techniques s’offrent à l’étudiant ou au praticien. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La technique la plus simple, met en œuvre un porte-empreinte individuel espacé au niveau des dents, ajusté au niveau des elles ( Fig. 520 à 523) et muni de deux bourrelets d’occlusion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ces bourrelets sont réglés de telle sorte, que la hauteur de l’étage inférieur du visage corresponde à la dimension verticale de repos (Fig. 524-525) et ce, pour deux raisons : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’une est que les dents antérieures n’ayant aucun contact, la charge occlusale est reportée au niveau des unités triturantes (Fig. 526-527), </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’autre, que la force des muscles élévateurs de la mandibule est maximale à ce degré de séparation intermaxillaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La libération des insertions musculaires et ligamentaires est ensuite réalisée d’une façon classique, afin que la base du porte-empreinte individuel soit stable au cours des principaux déplacements des organes périphériques. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un alginate du type « Algihard » ou « Zelgan » est préparé en réduisant légèrement la dose d’eau prescrite. Après malaxage ,l’intrados du porte empreinte est garmi, avec excès, du matériau ainsi préparé (Fig. 528), alors que le patient est prié de déplacer ses commissures en arrière, en simulant l’émission du « i », puis en avant,en simulant l’émission, en simulant l’émission du « i », puis en avant ,en simulant l’émission du « u ». </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’empreinte doit être lavée soigneusement, immergée 10 mn dans un bain de So4K2 et coulée immédiatement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>10)- CHOIX ET MONTAGE DES DENTS :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque la relation centrée a été correctement enregistrée et transférée sur un articulateur adaptable ou semi adaptable lorsque le sourire dentolabial de notre patient a été restauré, il reste encore à assurer une répartition harmonieuse, statique et dynamique de la charge occlusale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est important de souligner que c’est à ce stade fondamental, du choix et du montage des dents postérieures que l’équilibre et l’équilibration de la future restauration prothétique doit se créer et qu’il doit obéir à un concept occlusal précis. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Trois facteurs conditionnent le choix des postérieures : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le matériau. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La teinte. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les dimensions. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Trois concepts occlusaux s’offrent à l’opérateur soucieux de l’équilibre de la future restauration prothétique et de la préservation de l’intégrité tissulaire </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-montage généralement équilibré au cours de toutes les occlusion centrées et excentrées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Montage en disclusion postérieure </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Montage mixte. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Motivation à l’hygiène – L’insertion de la prothèse Les conseils patient – Le contrôle du traitement prothétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>11)- Mise en moufle et polymérisation </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>IV- Pronostic </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il dépend : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">De l’état général, santé actuelle, régime alimentaire plus ou moins judicieux et adapté à l’age de l’édenté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Attitude mentale du patient à l’égard de sa future prothèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Aptitude réelle du sujet à intégrer une prothèse amovible, soit en raison de son âge, soit en raison de son adresse manuelle et de sa capacité de l’insérer et à la désinsérer sans cirspation ni anxiété </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>V- <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- L’examen <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> est fait dont but de rassembler tous les éléments généraux et locaux nécessaires à l’établissement d’un traitement préprothétique et prothétique et également relation praticien patient.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La restauration prothétique amovible d’une édentement partielle a longtemps été sous-estimée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle a plus souvent été comprise par le patient et conçue par son praticien comme une prothèse transitoire, destinée a assurer l’acheminement inéluctable vers l’édentement totale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En réalité, elle constitue le traitement prothétique le plus complexe, le plus difficile. Elle nécessite une connaissance parfaite e l’anatomie, de la physiologie, de l’histologie, et de toutes les notions fondamentales de prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-13170403800172649872011-04-17T13:53:00.001-07:002011-04-17T13:53:37.483-07:00Plan de traitement en prothèse partielle adjointe coulee<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2758" rel="bookmark" title="Permanent link to Plan de traitement en prothèse partielle adjointe coulee"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><img align="left" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/Rebasage-en-prothse-totale_thumb.jpg" style="display: inline; float: left;" /></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le rôle de toute <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a>, en particulier des prothèse amovible restaurant une arcade partiellement édentée est d‘être un complément anatomophysiologique plus d‘une création originale ce qui exige de l‘opérateur des connaissances étendus et précoces et un recyclage permanent dans toutes les disciplines majeurs tells que l‘endodontie, la periodontie, l‘orthodontie et les prothèses fixées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>A -Définition de la P PAC</u></b> :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C‘est une thérapeutique qui a pour objet la restauration prothètique de toute édentation partielle par l‘intermédiaire d‘un appareil amovible constitué principalement par un châssis et un ensemble de crochets entièrement coulés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> La P.PAC permet une meilleurs répartition de forces occlusales entre les dents piliers et les surfaces ostéo – muqueusses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> La conception, la réalisation et la mise en œuvre de la P.PAC constituent un problème ainsi bien technique que biologique, c‘est pour cela que la connaissance : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- des matériaux utilisés </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-d‘une classification des différentes édentations. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Des problèmes biomécaniques posés par les différents éléments de cette prothèse est nécessaire pour la réussite de notre thérapeutique prothétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>B</u></b><u> – </u><b><u>Buts de la P.P.A.C</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le traitement de l‘édentation partielle ne consiste pas seulement à remplacer les dents absentes, a fin de restaurer l‘esthétique, et la phonation son objectif est multiple: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">compenser en tout point les pertes de substance alvéolaire ou osseuse </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">remplaces les organes musculaires para prothétique dans leur position physiologique la plus harmonieuse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Assures le rétablissement de position et mouvement mandibulaires symétriques primitifs. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Préserver et améliores le jeu des articulations mandibulo-temporales </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Conserver l‘intégrité tissulaire ainsi bien des tissus de revêtement que du substrateur osseux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>C – Avantages</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La prothèse partielle adjointe coulée permet le traitement de tous les cas d‘édentation partielle Elle est bien tolérée ; car elle est peu encombrante, hygiénique et économique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle permet le rétablissement de l‘esthétique et de la phonation. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>D- inconvénients</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La prothèse partielle amovible en résine présente plusieurs inconvénients: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">le tassement de l‘appareil dû à l‘absence de taquets occlusaux au niveau des crochets qui deviennent traumatisants et entraînent un délabrement muqueux ou osseux </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">la mauvais tracé de la prothèse partielle amovible entraîne souvent des tumeurs hyperplasique (ex: épulis…..) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les appareils en résine sont nocifs et ne sont envisagés qu‘en prothèse provisoire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Classification des édentations partielles </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Toute classification possède un caractère arbitraire ; elle doit </b><b>cependant obtenir aux impératifs suivants:</b><b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-Etre simple</b><b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-Permettre une visualisation immédiate du cas considéré, </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-Assurer, lorsque les éléments anatomiques ont d‘égale valeur </b><b>intrinsèque et extrinsèque, la standardisation des tracés ; des </b><b>bases prothétique et des moyens de rétention. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-l‘édentation postérieure constitue a toujours l‘élément de terminant </b><b>dans le choix d‘une <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="classe">classe</a>. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-L’absence d’une troisième molaire sans antagoniste ne devant pas </b><b>être remplacée, n‘intervient jamais dans l‘établissement d‘une </b><b>classification. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-La classification de Kennedy reste la plus didactique à enseigner et </b><b>la plus aisée à retenir, elle comprend six classes : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>* </b><b><u>Classe I</u></b> : tous les cas d‘édentation distales bilatérales </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image116.png"><img alt="édentation distales bilatérales classe l" border="0" height="120" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb94.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="édentation distales bilatérales classe l" width="156" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>Classe II</u></b> : Groupe les édentations distales unilatérales .Le traitement de ces deux classes pose les problèmes spécifiques de la prothèse partielle adjoints coulée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image117.png"><img alt="édentations distales unilatérales classell" border="0" height="97" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb95.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="édentations distales unilatérales classe ll" width="133" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>*</b> <b><u>Classe III</u></b> : Groupe les cas d‘édentations bilatérales intercalées </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image118.png"><img alt=" Classe III édentations bilatérales intercalées " border="0" height="176" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb96.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title=" Classe III édentations bilatérales intercalées " width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>*Classe IV</u></b> : Groupe les cas d‘édentation antérieures intercalées </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image119.png"><img alt="Classe IV édentation antérieures intercalées " border="0" height="185" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb97.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Classe IV édentation antérieures intercalées " width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>*</b> <b><u>Classe V</u></b> : Groupe les cas d‘édentation bilatérales intercalées dans lesquelles la canine a été perdue d‘un côté </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image120.png"><img alt="Classe V Groupe les cas d‘édentation bilatérales intercalées dans lesquelles la canine a été perdue d‘un côté " border="0" height="175" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb98.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Classe V Groupe les cas d‘édentation bilatérales intercalées dans lesquelles la canine a été perdue d‘un côté " width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>*</b><b><u>Classes VI</u></b> : Groupe les cas d‘édentation unilatérales intercalées deux classes complémentaires sont décrites par Kennedy: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image121.png"><img alt="Classes VI Groupe les cas d‘édentation unilatérales intercalées deux classes complémentaires sont décrites par Kennedy:" border="0" height="193" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb99.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Classes VI Groupe les cas d‘édentation unilatérales intercalées deux classes complémentaires sont décrites par Kennedy:" width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>*Classe I</u></b>, <b>modification1</b>:Edentation distale bilatérales combinée à une édentation antérieure intercalés </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image122.png"><img alt="Classe I, modification1Edentation distale bilatérales combinée à une édentation antérieure intercalés " border="0" height="185" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb100.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Classe I, modification1 Edentation distale bilatérales combinée à une édentation antérieure intercalés " width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>*Classe II</u></b>, <b>modification1</b>: groupe les cas d‘édentation unilatérales distales combinées une édentation intercalées de l‘autre coté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image123.png"><img alt="Classe II, modification1: groupe les cas d‘édentation unilatérales distales combinées une édentation intercalées de l‘autre coté" border="0" height="188" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb101.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="Classe II, modification1: groupe les cas d‘édentation unilatérales distales combinées une édentation intercalées de l‘autre coté" width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Plan conceptuel du traitement global </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement préprothètique</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Nous appelons temps préprothètique l’ensemble des actes de la pensée ou de la main que Le praticien doit accomplir pour mieux connaître, puis préparer le terrain bucco-dentaire </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sur lequel il doit construire son appareillage afin que le pronostic d’un sucées de la prothèse sera augmenté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Remise en état de la cavité buccale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Traitement prophylactique (préventif):</b><b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est l’apprentissage et motivation à l’hygiène bucco-dentaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Traitement parodontal :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-c’est le détartrage et polissage soigneux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-curetage des poches parodontales. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2428" rel="external" title="gingivectomie">gingivectomie</a>. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-contention par ligature pour solidariser les dents mobiles. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Traitement chirurgical:</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- éliminer les chicots (racine). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-extraire les dents irrécupérables. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-éliminer tous foyers inflammatoires (kystes…). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-régularisation des crêtes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-freinectomie (couper le frein). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Traitement endodontique :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traiter toutes les cavités de carie. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Traitement orthodontique :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Repositionner les dents en mal position (rotation) grâce à une thérapeutique amovible ou fixe. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Couronoplastie</b><b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La rétention , une grande partie de stabilisation et de la sustentation sont assurées par des crochets qui encerclent un certain nombre de dents sur l’arcade leur faisant supporter l’essentiel des forces masticatrices , ainsi chaque partie du crochet doit trouver au niveau de la dent un siège adapté qui lui permet de jouer efficacement son rôle mais sans trop de contraints biologiques d’où la nécessité des interventions plus spécifiques à la P.P.A.C coronoplastie (c.a.d des retouches des dents piliers) à trois finalités : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Elle sert à établir des plans de guidage parallèles à l’axe d’insertion de la prothèse qui vont permettre d’obtenir une insertion plus facile. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Elle est nécessaire à la rectification de la morphologie de la dent pour créer une zone rétentive. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Elle sert à préparer des logettes pour taquets occlusaux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Etude des moulages :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Etude sur paralléliseur </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après avoir pris l’empreinte, qui constituent un préalable indispensable à l’établissement d’un diagnostic d’un pronostic et d’un plan de traitement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On procède a la coulée des models d’étude, en effet sur ce model d’étude qu’ont été déterminées l’axe d’insertion, le type de crochets, la position des divers appuis occlusaux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est donc souhaitable de reproduire sur le model définitif ce qui a été dessiné sur le paralléliseur pour contrôler le choix d’axe d’insertion et dessiner la ligne de plus grand contour sur les dents piliers et on trace le châssis tel qu’on désire le recevoir du laboratoire </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Rétablissement de l’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a>: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-orientation du plan d’occlusion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-analyse occlusale sur articulateur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-analyse de l’axe des dents sur paralléliseur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Deux cas peuvent se présenter: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1)-cas simple: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Absence de problèmes occlusaux c’est-à-dire : PO – RC – PIM -DV sont respectés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cet état se fait par la recherche des points de contact grâce au papier articulé en PIM et autres positions. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2)- cas complexe: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-On fait une analyse sur articulateur pour déterminer les contacts prématurés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-On les élimine afin d’obtenir une occlusion stable et idéale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans le cas ou le patient présente des douleurs musculaires ou articulaires : il faut réaliser une gouttière occlusale ou un plan de morsure rétro incisif pour la mise en condition neuromusculaire et neuro-articulaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une prothèse provisoire rebasée par un matériau de conditionnement à prise retardée permet une mise en condition des tissus en contact direct avec la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Choix de l’axe d’insertion</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’insertion ou la désinsertion d’une prothèse partielle amovible doit obéir aux impératifs suivants : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Etre possible quelles que soit les malposition dentaire ou le degré d’ouverture de la cavité buccal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Respecter au maximum les points de contacts. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Ne provoquer aucune pression ni aucun pincement au niveau du segment édenté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-N’exercer aucune action nocive sur les dents restantes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Assurer la rétention de la future prothèse.<u> </u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La détermination de l’axe d’insertion peut se faire de deux manières soit qu’il soit vertical c.à.dire perpendiculaire au plan d’occlusion ou bien une résultante des axes des dents supports de crochets. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Lignes de plus grand contour :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est la ligne obtenue en joignant tous les points les plus extérieurs de tout objet en particulier d’une dent maintenu parallèlement à son grand axe longitudinal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lignes guides : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On appel lignes guides les lignes du plus grand contour obtenu par les déplacements d’une mine appliquée tangentiellement à la couronne d’une dent. Le déplacement de cette mine s’effectuant toujours parallèlement à l’axe déterminé préalablement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Tracé du châssis</u>: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-les selles : sont les parties à appuis muqueux de la prothèse </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*sur la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> : elles recouvrent les crêtes jusqu’à les limites des attaches musculaire et s’étendre en arrière jusqu’à y compris l’espace retromolaire en avant contre la dernière dent naturelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* au maxillaire : s’étendent vestibulairement jusqu’à la limite de la fibromuqueuse et recouvre les tubérosités comme le ferait une prothèse totale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-la conjonction principale : représentée par une plaque palatine. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-appuis direct : placées sur la face occlusale de la dernière dent naturelle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-appuis indirect : on les situe aussi loin que possible de l’axe de rotation de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-crochets : leur buts est de stabiliser ce type de prothèse sans surcharge des dents piliers. le crochet le plus utilisé est le : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-crochet Nally-Martinet avec un taquet mésial et un bras unique qui assure le ceinturage de la dent, la réciprocité et la rétention </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>Dessin du châssis pour la classe I </u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Chacun des éléments que l’on dessine avoir une raison d’être et doit exister dans un but précis.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>* </b><b><u>pour le dessin de la classe I inférieure</u></b><b> : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un crochet NallMartinet : appui occlusal direct et mésial, et conjonction secondaire mésiale en plus appui indirect. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image124.png"><img alt="crochet NallMartinet" border="0" height="179" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/image_thumb102.png" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="crochet NallMartinet" width="244" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* <b><u>Pour le dessin de la classe I supérieure</u></b><b> :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Présence d’une palatine qui s’appuie largement sur la voûte palatine. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Crochet « Nally-Martinet » </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Appui direct </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Avantage du crochet « Nally –Martinet » </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pas d’effet de rotation distale sur la dent support </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pas d’effet de rotation vestibulo-linguale lors du retrait de la prothèse </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Effet vertical sur la dent moins important que dans un « Ackers » le taquet occlusal évite le risque de version distal de la dent. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>Dessin du châssis pour la classe II </u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* <b><u>pour la classe II inférieure</u></b><b> :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’importance des appuis indirects est diminuée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour équilibrer la selle unilatérale, on utilise un crochet du côté opposé (crochet double de Bonwil) on le situe le plus souvent sur la 2éme PM et la 1ere M l’appui indirect est inutile de se côté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>* </b><b><u>pour la classe II supérieure</u></b><b> : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une plaque palatine et un crochet de Bonwil du côté opposé à l‘édentation. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Châssis de classe I modification: </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Essayer de restaurer l‘édentation antérieure par une prothèse fixe et on retombe dans la classe I classique qui sera appareillée par la prothèse partielle amovible. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>Châssis de classe II modification 1</u></b><b>:</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Dans ce cas une prothèse partielle amovible avec les mêmes </b><b>principes pour la salle distale et du côté oppose équilibrer la </b><b>prothèse par une selle distalée. On met 2 crochets </b><b>« Ackers »qui sont placés sur les dents qui limitent le </b><b>segment édenté intercalé du côté de l‘édentation distale un </b><b>crochet“Nally-Martinet“ plus un appuis indirect au </b><b>maxillaire inférieur </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement prothétique</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>1-préparation des arcades résiduelles :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">* d’ abord une préparation des dents piliers qui doivent être : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-parallélisées suivant l’axe d’insertion pour facilité l’insertion et la désinsertion de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-stabilisés par contention, équilibration et rétention </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*puis une préparation des tissus gingivo muqueux : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">par des bains de bouche ou des applications de pâtes préalables doit être recommandés et exécutés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>2-réalisation des empreintes et des modèles de </u></b><b><u>travail</u></b><b> :</b><u> </u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Empreintes primaires</u> : ce sont les empreintes qui permettent de reproduire sur un modèle de plâtre dur les arcades résiduelles, les zones édentées et les tissus de soutien avec le maximum de précision pour permettre au technicien de tirer un « Duplicata » ce modèle à l’aide d’un matériau à empreinte également très précis. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>3-Réalisation du duplicata :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On n’utilise pas le model de travail pour modeler la maquette de cire de l’armature métallique et la coulée mais par contre un duplicata de ce model construit en revêtement spécial identique à celui qui servira à enrober la maquette .il est évident que ce duplicata doit être la réplique absolument exacte du model pour assurer l’adaptation parfaite de l’armature d’où le soin nécessaire à sa préparation et donc la réalisation se fait par une prise d’empreinte qui est assez complexe suivie de la préparation proprement dite du duplicata et enfin une finition de la maquette pour être modeler. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>4-Réalisation du châssis :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après le tracé du châssis, la réalisation de l’armature comprend trois temps qui doivent être exécuté au laboratoire : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-le modelage de l’armature : se réalise en appliquant sur le duplicata des cires ou des résines « préformées » selon les dimensions standarisées. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-la coulée de l’armature : qui se fait en trois étapes : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*la mise en revêtement de la maquette. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*l’élimination de la cire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*la fusion de l’alliage et la coulée proprement dite ( le métal le plus populaire s’est révélé être un groupe d’alliage à base cobalt chrome </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-finition de la pièce métallique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>5-Essai su châssis:</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lorsque le châssis est coulé, il doit être essayé en bouche à ce stade il faut contrôler que les appuis occlusaux soient parfaitement en place et que la stabilité du châssis soit absolue lorsque on exerce une pression sur ces appuis si ces côntrols sont favorables on peut poursuivre le travail si non il faut revoir un nouveau châssis. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>6-Realisation du model de travail définitif et mise en </u></b><b><u>articulateur:</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le premier model de travail risque de ne pas être absolument intact, il est recommandé d’en fabriquer un autre modèle définitif non seulement précis dans la reproduction des arcades résiduelles, mais harmonisé dans les zones édentés. pour obtenir ce dernier modèle on commence par une préparation sur le premier modèle de selles en résine autopolymérisable retenue par les grilles métalliques de l’armature avec les selles est placée en bouche après que l’intrados de celles-ci ont été revêtue par un matériaux plastique durcissable . </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Et enfin on fait la coulée de l’empreinte pour qu’on passe à la construction des maquettes d’occlusion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Avant de transférer les models sur articulateur (semi adaptable) un certain nombre d’opération doivent être accomplis : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Prise d’occlusion centrée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le réglage de l’arc facial sur le patient. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Préparation de l’articulateur et transfert de l’arc facial sur articulateur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Fixation du model mandibulaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Recherche et fixation des rapports occlusaux excentrées </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>7-Montages des dents :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après le modelage des maquettes d’essai par une épaisseur suffisante de cire molle on passe au montage en commençant par les dents antérieurs qui doivent s’harmoniser esthétiquement avec les dents de l’arcade résiduelle sans oublier les mouvement de protrusion et diduction c’est une opération délicate qui permet un meilleur montage des dents postérieur. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour devenir un appareil prêt à installer dans la bouche du patient la maquette doit subir deux opérations successives : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-au cabinet : un essayage en bouche. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-au laboratoire : la transmutation de la cire en résine acrylique (mise en moufle). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement postprothétique</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une prothèse même parfaitement exécuter au labo n’est pas nécessairement parfaitement adaptée, trois actes sont nécessaires pour parfaire cette adaptation : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–une première installation par le patient pendant 24H à 48H. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–l’équilibration occlusale définitive où le praticien doit corriger tout ce qu’il lui apparaît comme imparfait (l’occlusion, les limites avec les muqueuses et les dents). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–la livraison de l’appareil avec les conseils d’ordre général : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*apprendre au patient à insérer et désinserer la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*choix des aliments facile à mastiquer </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*manger longtement lors des premiers repas. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*nettoyage de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*si une apparition de douleurs au niveau des dents supports-muqueuses-gencive avec ulcération doit consulter le plus tôt possible </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Contrôle de la prothèse pendant 6 mois </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-85305483129764967512011-04-17T13:51:00.001-07:002011-04-17T13:51:54.794-07:00Traitement des classes I et II en prothèse partielle adjointe<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div class="byline" style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le rôle de <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/prothese" rel="external" title="prothèse">prothèse</a> partielle adjointe ne s’agisse pas seulement de combler les brèches mes aussi de protéger et de conserver les crêtes alvéolaires, muqueuses, os et dents contre les actions nuisibles afin de maintenir une intégrité esthétique et fonctionnelle a long terme. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Depuis le début du siècle, les auteurs se sont penchés sur le problème de la reconstitution prothétique partielle adjointe les plaques métalliques estampés, à recouvrement maximale sont encombrantes et nuisibles pour les tissus, pour le parodonte marginal et le confort du patient. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sous l’impulsion de Kennedy, 1927, puis Cummer, la plaque est remplacée par des barres métalliques étroites coulées appelées : barres transpalatines, moins encombrantes placées suivant une direction qui s’oppose a la bascule de prothèse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i>2-Définitions: </i></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•La prothèse amovible partielle est par nature une prothèse dentaire amovible destinée à compenser des édentements partiels. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Une prothèse amovibles partielle de qualité est constituée par : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Un châssis métallique rigide, (âme de la prothèse) se châssis prend appui d’une manière plus ou moins étendue sur les dents persistantes et sur les tissus mous. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Des dents artificielles ancrées directement sur le châssis ou solidarisées à celui-ci par l’intermédiaire de selles de résine acrylique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>Classification : </i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="classe">Classe</a> I : </b>elle regroupe les cas d’édentement bilatéral postérieur.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe I modification 1 : </b>édentements bilatéral postérieur compliqués d’un édentement encastré au niveau de l’arcade résiduelle.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe I modification 2 : </b>édentement bilatéral postérieur doublé de deux segments édentés antérieurs.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II : </b>édentement distal unilatéral.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II modification 1 :</b> édentement distal unilatéral compliqué par un édentement encastré de l’autre coté de l’arcade.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II modification 2 : </b>édentement distal unilatéral à laquelle s’ajoute deux segments encastrés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ce type d’édentements peut entraîner des désordres importants tels que : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Au maxillaire supérieur : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Diminution de la dimension verticale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Trouble de l’ATM. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Égression des dents antagonistes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>A la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Étalement des glandes sub –linguales. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Augmentation du volume de la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a>. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3-Généralité :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Dans le traitement des édentements distaux (classe I et classe II), la prothèse prendra appuis à la fois sur un support muqueux –osseux, donc l’appui sera MIXTE. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•La construction des prothèses de ce type d’édentement est très délicate, il s’agit d’harmoniser le comportement d’élément prothétique avec celui des tissus dont les réactions biomécaniques (élasticité, compressibilité) sont diverses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Au niveau des dents, la prothèse ne doit pas engendrer des nouvelles caries et cela par un dessin adéquat des crochets et du châssis et par des mesures d’hygiène rigoureuses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Au niveau de l’os, il faut obtenir par la prothèse une stimulation qui renforce sa structure et éviter toute source d’atrophie (résorption osseuse). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au niveau des dents, la prothèse ne doit pas engendrer des nouvelles caries et cela par un dessin adéquat des crochets et du châssis et par des mesures d’hygiène rigoureuses. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au niveau de l’os, il faut obtenir par la prothèse une stimulation qui renforce sa structure et éviter toute source d’atrophie (résorption osseuse). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Trois moyens concourent à cette fin : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1.Etendre au maximum les selles, afin de répartir la pression masticatoire sur la plus grande surface possible. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2.Assurer le calage de la prothèse qui limite au sens axial la direction des forces qu’elle transmet à la crête. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3.Les appuis occlusaux des crochets permettent de soulager les tissus osseux (obligatoire) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4-Le problème de la dualité </b><b>tissulaire : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le traitement des édentements postérieurs (classe I et classe II) par la PPA à toujours posé des problèmes du point de vue mécanique et physiologique, et a conduit à des échecs, ceci comme il a été prouvé est du, non seulement à la conception du châssis mais aussi au terrain sur lequel repose ce châssis. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La visco –élasticité du desmodonte confère aux dents un déplacement axial physiologique de 0.1mm. Par contre la muqueuse gingivale recouvrant les crêtes édentées peut subir une déformation de 0.4mm à 2 mm. En plus se comportement bien qu’il soit visco élastique au niveau du desmodonte, est différent à celui de la fibromuqueuse ne peut donc nier que le traitement des édentements distaux pose des difficultés aux praticiens. Trois écoles se sont penchées sur ce problème en proposant des techniques différentes les unes des autres, mais leurs but étant le même c’est-à-dire, une répartition équitable des forces pour soulager et protéger les tissus de soutien. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Ce sont : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<b>L’école américaine « Ancienne ». </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<b>L’école européenne. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<b>L’école américaine « Moderne ». </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4-1-L’école américaine ancienne :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>A cette époque la nature de la fibromuqueuse a été décrite </b><b>comme étant élastique c’est-à-dire qu’elle se déforme sous </b><b>l’application d’une charge et quand la force cesse, elle revient </b><b>a son état initial. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La prothèse devient alors une plaque issue d’une empreinte </b><b>unique avec un appui occlusal coulé. Mais après certain temps </b><b>les prothèses deviennent afonctionnelles et aboutisses à des </b><b>échecs et pour régler ce problème on a deux possibilités : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Soit en garde l’appui occlusal et on change la technique de la </b><b>prise d’empreinte. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Soit en garde l’empreinte unique et en supprime l’appui </b><b>occlusal </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Technique de Maclaen :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour assurer la bonne répartition des forces il préconise : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Une empreinte des crêtes édentées avec les selles porte empreintes sans pression. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Une empreinte globale pour avoir les rapports. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Crochets avec appui occlusal. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Technique de Hindels :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Même technique que la précédente ; mais lors de la première empreinte les maquettes sont maintenues sans pression. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ces prothèses on conduit vers des résorptions osseuses et mobilité dentaire : prothèse abandonné. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4-2-L’école européenne :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est la prothèse décolletée caractérisée par un tracé dégageant l’anneau gingival, tout en ménageant un large surface d’appui cette école à deux particularités : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle utilise une empreinte unique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle proscrit l’utilisation des appuis occlusaux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En prothèse décolletée le tracé de la plaque constitue la principale préoccupation, les selles les barres les ailles de stabilisation participent à la répartition des efforts tandis que le nombre de crochets est diminué elle assure la stabilisation d’abord puis la rétention (le crochet le plus utilisé T de Reach). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Donc le problème n’a pas été résolu puis qu’on aboutissait à la longue à : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une résorption des tissus ostéo –muqueux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une mobilité des dents piliers. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Remarque :</b><b> </b>les échecs été dus au fait que les constructions prothétiques ont été conçus sur la base d’une fibromuqueuse gingivale élastique. Donc on revient encore à cette notion de non élasticité de la fibromuqueuse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les recherches publier en 1965 par Turk, puis confirmées en 1970 par Pillerie, Cimassoni et Nally ont démontrer l’absence de fibre élastique au niveau de la fibromuqueuse </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4-3-L’école américaine moderne :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La prothèse équilibrée proposée par Rigolet, en Europe fut </b><b>largement utilisée par cette école, elle respecte deux </b><b>principes : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ø<b> L’utilisation de l’empreinte anatomo –fonctionnelle. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ø<b> L’indication des taquets occlusaux. La préparation se fait </b><b>au niveau de l’émail donc le risque de carie est diminué. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ø<b>L’idée de surcharge des dents est rejetée puisque les dents </b><b>contenus est les selles sont élargie (répartition des charges). </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Pour les américains de la génération moderne une prothèse </b><b>sous appui occlusal ressemble au prothèse en résine, dont les </b><b>crochets sont rapidement désadaptés, la prothèse devient </b><b>alors traumatisante pour les tissus de soutient dentaire et </b><b>ostéo –muqueux </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>5-L’examen <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Examen exobuccal : </b>il doit comprendre : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">*<b>Interrogatoire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•L’age </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">• Sexe </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">• Profession </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Attitude physique et sociale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<b>Forme du visage.</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<b>Symétrie faciale.</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<b>Egalité des étages. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Examen endobuccal :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–<b>L’arcade supérieure :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Analyse de la forme de l’arcade. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Répartition des segments dentés et édentes (classification de Kennedy) </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Valeur des dents restantes (forme de couronne, dimension, délabrement, carie, perte de substance, vitalité, valeur et volume de la pulpe etc.). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•La valeur anatomique et physiologique des tissus muqueux et osseux. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe I : </b>crêtes idéale hautes larges parallèles entre elles, tubérosité favorable a la stabilité et la sustentation voire la rétention sans contre dépouille la voûte la plus favorable est large, vaste et étendue.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II : </b>les crêtes sont caractérisées par une perte de substance imputable à une résorption centripète même dans les cas les plus favorables, tubérosité en voie de disparition, voûte palatine de valeur prothétique est suffisamment large. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•<b>L’arcade inférieure : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Forme générale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Répartition des segments dentés et édentés. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Analyse des dents restantes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe I : </b>la valeur prothétique excellente avec procès alvéolaire peu résorbé convexe sans exostose, trigones éminemment favorable a la stabilisation et la sustentation.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II : </b>de valeur moyenne avec crêtes plus réduites, trigone moins favorable a la sustentation et la stabilité. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est important de note la valeur de la région rétro –incisive. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØPour les arcades inférieures : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§Les éléments anatomiques et physiologiques seront considérer. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§La distance séparant le collet des dents a la ligne de réflexion muqueuse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§La forme et la position de l’insertion di frein de la langue. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§En enfin un examen radiologique si nécessaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>6-Intervention pré –prothétique :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La phase pré –prothétique comporte bien sur le traitement des pathologies, mais aussi des interventions pro –prothétiques destinées à améliorer le pronostic du traitement. Correction des structures anatomiques.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1.<b>Structure périphérique :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a.Suppression chirurgicale d’une bride ou d’un frein gênant. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b.Approfondissement de vestibule.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2- Structure gingivo –osseuse : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a.Amélioration de l’état de la fibromuqueuse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b.Elimination chirurgicale d’hyperplasie –muqueuse des crêtes flottantes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">c.Régularisation d’une crête à relief tourmenté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">d.Suppression d’exostose ou de surplombs osseux empêchant l’insertion prothétique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3- Structure dento –parodontale :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Augmentation de la hauteur d’une couronne clinique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Augmentation de la hauteur de gencive attachée (détartrage, surfaçage, motivation à l’hygiène). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Redressement des axes dentaires par des dispositifs orthodontiques fixés ou amovibles. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">–Les soins des caries. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>E – Coronoplastie :</i></b><b><i> </i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Visant à modifier la forme d’une couronne dentaire, les coronoplasties peuvent être additives : onlays, couronnes. ou soustractives : meulages. Les coronoplasties soustractives ne doivent en aucun cas mettre la dentine a nu une évaluation comparative de l’épaisseur de l’émail et de l’importance de la modification nécessaire oriente le choix soit vers une améloplastie (préparation partielle dans l’épaisseur de l’émail) soit vers la réalisation d’un élément de prothèse conjointe présentant la forme requise. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>7-L’empreinte primaire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Est réalisée par la technique classique au moyen d’alginate l’empreinte de l’arcade supérieure doit toujours être prise après l’inférieur de cette façon le patient est plus préparé a la demi obstruction de la cavité buccale la prise d’empreinte primaire comporte : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØEssai et correction des portes d’empreinte. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØPréparation du matériau a empreinte. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØTechnique d’empreinte proprement dite. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØCoulée du modèle d’étude.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b> L’examen des modèles : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Analyse d’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/2033" rel="external" title="occlusion">occlusion</a> en cas de trouble d’occlusion, des corrections sont indispensable à effectuer. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’axe d’insertion verticale présente la facilité d’insertion et de désinsertion il présente aussi des inconvénients réels tels que : décollement postérieur des plaques supérieur dues à la mastication, serrage des crochets pour cela et en 1918 l’intervention du paralléliseur mettre en évidence une détermination de l’axe d’insertion bissectrice c’est la résultante de tout les axes des dents supports de crochets. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour les classe I et II on préfère un axe oblique avec basculement antérieur du modèle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>L’étude sur paralléliseur permet aussi : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>De déterminer la ligne guide : la ligne de plus grand contour obtenue par </b><b>déplacement d’une mine appliqué tangentiellement à la couronne </b><b>d’une dent, le déplacement de cette mine s’effectue toujours </b><b>parallèlement à l’axe d’insertion. Les jauges permettent d’apprécier le </b><b>retrait de ces zones retentives. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La jauge est un accessoire du paralléliseur elle permet la détermination </b><b>et la localisation idéale de la partie retentive du crochet. Elle est </b><b>composée d’une tige et un disque placé a l’extrémité libre de la tige. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Pour les jauges du paralléliseur de Ney ou Jelenko : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°01→ retrait de 0.25mm. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°02→ retrait de 0.50mm. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°03→ retrait de 0.75mm. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Pour le paralléliseur de Devin : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°01→ retrait de 1/3mm. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°02→ retrait de 2/3mm. </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Jauge N°03→ retrait de 1mm </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>8-Les éléments fondamentaux des tracés </b><b>de plaque : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>8-1-Décolletage de la zone cervicale : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’anneau gingival sera respecté le tracé débute par le décolletage avec une pointe très fine. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le départ d’un trait assuré mais léger s’effectue perpendiculairement à l’angle de la face proximale de la face linguale d’une dent limitant le segment édenté. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après 1 ou 2mm rectilignes, le dessin devient courbe et parallèle à l’anneau gingival à protéger. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cette portion circulaire se trouve distante de : 5 à 6mm pour la dent antérieure ou une prémolaire, de 6 à 7mm pour une molaire. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>8-2-Les ailles de stabilisation : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle ne devrant pas avoir d’action sécante ni en raison de leur forme ni en raison de leur position. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">A cet effet, elles ne se termineront jamais ni au sommet d’une papille, ni immédiatement après ce sommet. Elles devront plutôt se terminer soit entre deux papilles soit au début d’un versons ascendant. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>8-3-La barre corono –cingulaire : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle complète l’action des ailles de stabilisation. En forme de demi –jonction, elle a une épaisseur de 1mm et une largeur de 2mm, elle s’appui sur le cingulum des dents antérieures sur la face linguale ou même triturante des dents postérieures. Elle doit être dessinée légèrement au dessus de la ligne guide, si cette précaution n’était pas prise, le tassement de la prothèse risquerait de provoquer un déplacement des dents sous –jacentes </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>8-4-Le recouvrement intégral des </b><b>tubérosités : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le tracé englobera la totalité de la tubérosité, en ménageant néomoins un libre jeu aux </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ligaments ptérygomaxillaires et aux muscles paratubérositaires </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>-Tracé idéal du châssis</b> :<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe I : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-<strong>Maxillaire supérieur : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Connexion principale: </b>Pour satisfaire une répartition des forces sur une surface aussi étendue que possible nous réalisons une plaque pleine. Postérieurement cette plaque peut se terminer a 1mm suivant les conditions anatomiques. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Antérieurement la plaque doit être largement découpée derrière les dents restantes afin de ménager le trou palatin antérieur et la papille médiane. S’il existe un torus palatin prévoir une décharge de 0.2 à 0.3mm.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Connexion secondaire ou potence :</b> on les situe de préférence dans les espaces inter dentaires de telle sorte qu’elles soient le moins perceptibles par le patient.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Appui occlusaux indirects (A.O.I) : </b>vue la présence d’une plaque qui s’appuis largement sur la voûte palatine, leur nombre diminue et l’en peut les placer sur la connexion secondaire du crochet. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Crochet :</b> sur chaque dent bordant l’édentement, on réalise un Nally –Martinet, qui présente d’avantage d’avoir A.O.D en mésial, ce qui réduit considérablement le risque de version distale de la dent, et une connexion secondaire en mésial, permettant dans une certaine mesure le libre jeu de la selle.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Grille de rétention :</b> ne doivent pas être en contacte de la fibro –muqueuse, et sont situer en avant des tubérosités.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La mandibule : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La connexion principale :</b><b> </b>barre linguale quand les impératifs cliniques le permettent, mais si l’espace séparant le plancher buccal des collets des dents et réduit le bandeau linguale trouve son indication.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Les crochets :</b> Nally –Martinet sur chaque dent.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Appui occlusaux indirecte :</b> sont indispensable et seront d’autant plus efficace, s’il se situeraient loin des A.O.D donc en avant de l’arcade. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Classe II : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-<strong>Maxillaire supérieur : </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Connexion principale :</b><b> </b>plaque palatine pleine, largement décolletée antérieurement et au niveau des dents restantes du coté denté nous devons respecter le principe de décolletage de Housset qui sera de 6mm au minimum afin d’éviter tout risque de diapneusie.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Crochets :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§Coté édenté Nally –Martinet. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§Coté denté pour équilibré la selle unilatérale, il faut prendre un ancrage efficace et résistant. Le crochet double de Bonwill est particulièrement indiqué et pour des raisons esthétiques il sera placé entre la 1er et la 2em molaire supérieure.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Appui occlusaux indirecte :</b><b> </b>le calage de la plaque palatine et la rigidité du crochet Bonwill permettent de les supprimés.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong></strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La mandibule : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Connexion principale :</b><b> </b>barre linguale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§Coté édenté : une portion du tracé de la classe I, K.A. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§Coté denté : crochet double de Bonwill situé entre la 2em prémolaire et la 1er molaire ce qui correspond a la ½ selle </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Appui occlusaux indirecte :</b><b> </b>indispensable de coté édenté, et supprimé de coté denté.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Les grilles de rétention :</b> les grilles ne sont pas en contacte avec la muqueuse et sont situés en avant des tubérosités et des trigones rétro –molaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>10-Les crochets :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le crochet coulé se compose des parties suivantes :<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§<b>Un bras de calage :</b><b> </b>se situe au dessus de la ligne guide, il assure la stabilisation l’insertion et la désinsertion atraumatique du crochet.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§<b>Un bras de rétention :</b> se situe au dessous de la ligne guide son intrados est largement aplatie, sont extrémité est relativement élastique.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">§<b>Un appui occlusal, épaule du crochet :</b> assure trois rôles : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Transmettre les forces de mastication s’exerçant sur la prothèse aux dents piliers. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Eviter les rotations autour d’un axe sagittal et vertical. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Immobiliser la prothèse au niveau des dents pilier et empêcher les déplacements sagittaux et transversaux.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>- </b><b>La potence :</b><b> </b>joue un rôle de jonction entre la prothèse et le crochet elle transmis sur le crochet et de là sur la dent pilier les force occlusales qui s’exercent sur les selles prothétiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2 -Les différents crochets : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1)<b>Crochet à action postérieur</b><b> : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a.<b>Définition :</b><b> </b>actuellement appelé crochet Nally Martinet il présente une potence mésiale, permettant dans une certaine mesure la désolidarisation de la selle, il porte un taquet d’appui occlusal mésial il peut être associé a un taquet d’appui indirecte placé sur une dent plus antérieure ou même lui être raccordé par un élément de barre coronaire.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b.<b>Les avantages :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Extension de la selle terminale vers le coté mésial. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Appui occlusal mésial stabilisant la dent pilier, même dans le cas d’une version distale. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Il assure une stabilisation optimale de la prothèse contre les forces de désinsertion. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3- Crochet de Bonwill :</b><b> </b>également appelé crochet cavalier c’est un crochet double présentant deux bras vestibulaires élastiques. Il franchit occulusalement le coté denté de l’arcade et est issu d’une barre coronaire rigide, il nécessite une amélo plastie de la surface occlusal. Il est indiqué pour les édentements unilatéraux et pour classe II et IV de faible étendue. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Crochet « équi –poise » :</b><b> </b>se crochet ne présente pas de bras vestibulaire se qui lui donne sont intérêt esthétique il occupe les faces : linguale et distale de la dent support et exploite la rétention de la zone disto –vestibulaire il nécessite un système intra -coronaire qui est constitué par un tenon axial portant un taquet d’appuis est logé dans une mortaise ménagée dans une couronne prothétique. Indiqué sur les dents visibles, peut être utilisé pour une selle en extension. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4-Crochet en T issus du système de Roach :</b> ils sont constitués d’une partie linguale rigide et d’une partie vestibulaire en T ou en Y indépendante du reste su crochet. Une potence longue et flexible est reliée au centre de la selle indiqué le plus souvent aux édentements postérieurs de grandes étendue et présentant un facteur ostéo –muqueux défavorable. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>11-L’empreinte secondaire (Anatomo </b><b>fonctionnelle) :</b><b> </b>deux grand schéma de travail sont classiquement proposés.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Empreinte sous pression digitale :</b><b> </b>après la réalisation du châssis sur l’empreinte globale et sont essayage a nu et let corrections éventuelles on passe aux étapes suivantes : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØReport du châssis sur le modèle et adjonction de selle port –empreinte en résine (un espacement de 0.5mm est généralement conseillé). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØContrôle intrabuccal de l’extension des selles marginage éventuel (joint périphérique). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØEmpreinte des zones édentées avec un matériaux de viscosité moyenne, le châssis étant fermement maintenue au contacte des logettes d’appui. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØElimination des crêtes édentées sur le modèle primaire afin de permettre un repositionnement du châssis sans interférence. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ØSolidarisation du châssis au modèle au moyen de cire collante, coffrage de l’empreinte et coulé </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le matériaux initialement proposé pour ce type d’empreinte cire Korecta N°04 de Kerr, celle-ci à rapidement été accuser de procéder une viscosité trop élevée a la température buccal et fut remplacée par des élastomères de synthèse et des pâtes oxyde de zinc –eugénol (ZOE). </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Empreinte sous pression occlusale :</b><b> </b>des bourrelets d’occlusion sont adjointe aux selles. <br />
Détermination de la dimension verticale et enregistrement de l’occlusion, puis prise d’empreinte sous pression occlusal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>12-Réalisation de l’armature métallique : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Préparation du modèle :</b><b> </b>la préparation du modèle peut alors s’effectuer : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Au niveau des dent support du crochet : la suppression des zones de contre –dépouille par la cire cette cire s’étend du bord marginal de la gencive jusqu’à la limite inférieur du crochet. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La réalisation des zones de décharges : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Au niveau de la barre linguale : il est préférable de prévoir une décharge de 0.4mm pour éviter les ulcération. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Au niveau des plaques palatines : la décharge se fait au niveau du torus, papille rétroincisives. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">-Au niveau des selles : création d’un espace entre les selles métalliques et le modèle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Réalisation du modèle en matériaux réfractaire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Cette étape nécessite l’utilisation d’un moufle a duplicata.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Le modèle est placé sur le socle du moufle et fixé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·L’ensemble est placé dans l’eau à 25 à 30° l’eau est saturé en sulfate de calcium pour éviter les réactions chimiques (10minutes).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Le modèle est séché à l’air comprimé et la gélatine fluide est alors coulée dans le moufle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Confection de la maquette :</b><b> </b>des éléments dénommés préformés sont commercialisés en cire ou en matières plastiques ces derniers prennent actuellement le pat sur les éléments en cire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les étapes de la réalisation sont :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Remplissage des traits occlusaux a la cire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Mise en place des différents crochets.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Mise en place des grilles de rétention.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">·Finition éventuelle du squelette à la cire sans créer des points de faiblesses.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Fixation des tiges de coulées :</b><b> </b>les tiges placées sur les parties les plus épaisses de prothèse de préférence au voisinage des crochets convergent vers le cone du collée placé au centre du modèle. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>La coulée du métal :</b><b> </b>le métal utilisé est le cobalt chrome la coulée sera réalisée par différente technique.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Finition de la pièce :</b><b> </b>par un polissage mécanique ou électrolytique pour terminer il faut vérifier la bonne adaptation du pièce sur le modèle de départ. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ce travail trouvera sa <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">conclusion</a> lors de l’essayage du squelette en bouche la plaque devra s’adapter sans la moindre retouche. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>13-Traitement mixte ou attachement : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Définition :</b><b> </b>c’est un dispositif mécanique qui se compose d’au moins de deux pièces dont la fonction est d’unir une prothèse amovible aux dents restantes, la rétention est obtenu par le glissement de ces deux pièces. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Prothèse adjointe en extension (classe I et II) : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">rappelons qu’il est aujourd’hui généralement admis qu’une selle en extension dont être relier au élément prothétique a appui dento –parodontal par une potence mésial, le taquet occlusal étant lui même situé mésialement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les glissières, qui établissent une liaison strictement rigide ne sont donc pas indiquées, à moins qu’on ne puisse les situer mésialement. Mais le manque de hauteur et la nécessité de dégager les embrasures cervicales limitant les possibilités. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a.<b>Conjoncteur extra –coronaire (Ceka Revax, </b><b>Dalbo) : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">la pièce femelle solidaire de la prothèse amovible, comporte un cylindre creux fendu. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La pièce male, soudée a la prothèse conjointe</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Barre de conjonction (Dolder, Ackermann) : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">la pièce male est une barre métallique extracoronaire, reliant des racines (chapes à renons radiculaires parallèles) en franchissant un espace édenté. Selon que sa section est rectangulaire, ou ovalaire, ou ronde, la liaison qui s’établit est rigide ou articulée. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La pièce femelle est une gouttière (unique –Dolder –ou en cavalier) incluse dans l’intrados de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une barre de conjonction améliore la rétention de la prothèse. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a.<b>Bouton –pression (Dalla Bona, Gerber) : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">la pièce male, intracoronaire et axiale, est soudée sur le plateau occlusal d’une chape à tenon radiculaire. Selon qu’elle prend la forme d’un cylindre ou d’une sphère, la liaison est rigide ou articulée.La pièce femelle est un cylindre creux inclus dans l’intrados prothétique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Le choix d’un attachement :</b><b> </b>dépend donc de facteurs cliniques mécaniques et matériels : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Hygiène, psychisme et possibilités du patient. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Valeur des dents restantes. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Volume disponible. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Type de l’édentement. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">•Etat de l’arcade antagoniste</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>14-Montage et polymérisation : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Choix : </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Matériaux :</b><b> </b>afin de maintenir les rapports occlusaux, les dents en porcelaine sont indiquées. Elle nécessite cependant une hauteur suffisante si un attachement est utilisé la première dent prothétique est le plus souvent en résine.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Teinte :</b><b> </b>moins saturée que celle des canines la teinte des dents cuspides rappelle celle des incisives centrale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Forme :</b><b> </b>l’angle cuspidien des molaires et prémolaires intervient dans l’efficacité masticatrice. Néanmoins, trop élevé il peut être déséquilibrant il doit d’harmoniser avec celui des dents antagonistes et avec les autres déterminants de l’articulé en fonction du schéma occlusal choisi.<b> </b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>Dimensions :</b><b> </b>afin que la pression sur les crêtes ne soit pas trop importante et pour éviter tout risque de basculement postérieur de la selle les dimension des dents prothétiques sont réduites. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><br />
</div></div>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-55989022145659175662011-04-17T13:50:00.001-07:002011-04-17T13:50:05.276-07:00Les adénopathies cervico-faciales<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/409" rel="bookmark" title="Permanent link to Les adénopathies cervico-faciales"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les ADP en général et les ADP cervico-faciales en particulier représentent une pathologie extrêmement diverse, elles se rencontrent dans les affections multiples : bénignes ou malignes, éphémères ou chronique, locales ou générales, soit chez l’enfant ou l’adulte ; elles sont motifs de et nécessite consultation un bilan rigoureux ou elles peuvent être une donné essentiel d’un examen <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> pouvant orienter le DGC.</div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">I. Généralités :</h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.1 </strong>Architecture d’un ganglion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les lymphonœuds sont des organes réniformes situés à la ramification des vaisseaux lymphatiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ils présentent trois (3) régions :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone corticale : lymphocytes B responsable de l’immunité humorale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone para-corticale : lymphocytes T et cellules représentative de l’ag.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone médullaire : macrophages et plasmocytes.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un réseau vasculaire : artères de type terminales traversent le ganglion vers la capsule et se termine dans la corticale ou s’anastomosent avec les artères péri-ganglionnaires et se résoudre en capillaires et veinules qui gagnent le hile.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un réseau lymphatique fait de lymphatiques afférents. Pénètrent dans le ganglion par la zone sous-capsulaire traversant les différentes zones puis sortent par les lymphatiques efférents.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Convergeant vers le canal thoracique qui se jette dans la V. sous Clavière gauche ou dans la grande V. lymphatique droite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un capsule qui enveloppe le tous.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.2 </strong>Définition d’une ADP.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C’est l’augmentation du volume du ganglion témoignant d’une augmentation de nombre de cellules qui peuvent être due :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð D’un afflux d’élément :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· D’origine sanguine : éléments réactionnelle de défense vis-à-vis d’une infection (polynucléaire et monocytes)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Cellules tumorales ayant empreinte les voies lymphatiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð A une multiplication importante de certaine cellule ganglionnaire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Immunoblastes => réaction immunitaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Histiomonocytes => infection granulomatose.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Cellule tumoral => lymphome malin.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Association des deux mécanismes :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><span style="text-decoration: underline;">Remarque </span>: l’augmentation de volume est rarement due à :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une stase lymphatique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Congestion vasculaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Augmentation de nombre de cellules.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Présence de substance anormale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><span style="text-decoration: underline;">Rappel anatomique des aires ganglionnaires cervico-faciales :</span></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">De face :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Ganglions géniens :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· En avant de l’angle infra-antérieur du masséter.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Face externe du buccinateur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Dans la région sous-orbitaire et sous malaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Dans le sillon naso-génien.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Ganglions de la région parotidienne :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Superficielles : devant le tragus.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Moyen : dans l’épaisseur de la parotide sous l’aponévrose.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Profond : dans l’épaisseur de la parotide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ils drainent la lymphe de la glaude et celle des paupières.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Étage sous-mandibulaire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Les GGL sous-mentaux : (2-3) entre les deux vautres antérieurs du digastrique. Drainent la lymphe du peu, menton, lèvre inferieur et planché buccal antérieur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Les GGL. Sous-mandibulaire : appendus au bord basilaire mandibulaire siègent au contact des V<sub>(x)</sub> faciaux et au bord inferieur de la glaude. Drainent la lymphe des paupières, nez joue, lèvres et planché buccal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le cou :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Quatre zones :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone antérieure :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La chaine jugulaire antérieure : accompagne la V. jugulaire antérieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· 1-2 ganglions pré trachéaux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Chaine récurrentielle suit le N. récurent.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ils drainent la lymphe de la thyroïde, trachée et l’œsophage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone latérale :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La chaine jugulaire interne : suit la V. jugulaire Int.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Le ganglion S/gastrique (dit de kutteur). Au contacte du bord inferieur du digastrique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Le ganglion sous-Omo-hyoïdien (dit de poirier).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Des ganglions inconstant à la terminaison de la chaine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle draine la lymphe de la partie antérieure de la tète et du cou et se termine dans le confluent jugula-sous-clavier ou dans la V. lymphatique à droite ou le canal thoracique à gauche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La chaine spinale : accompagne la branche extérieure de N. spinal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle draine la lymphe des ganglions occipitaux et mastoïdiens.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La chaîne cervicale transverse aux dessus de la clavicule, et elle réunit l’extrémité postéro externe de la chaîne spinale soit au confluent jugula sous clavier soit à l’un des collecteurs de la base de cou.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Dans la zone de post :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un groupe occipital : draine la lymphe de la partie post du cuir chevelu et de la nuque.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un groupe mastoïdien : draine la lymphe de pavillon de l’oreille du CAE et la partie temporale de cuir chevelu.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La zone retro laryngée : deux ganglion latéraux S/ la base de crane devant les masse latérale de l’atlas. draine la lymphe des fasses nasals, trompe d’eustache, face sup du voile, rhino larynx dans la chaine jugulaire interne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">II. Formes anatomo-pathologiques :</h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.1 </strong>Adénite aigue.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Stade congestif :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Inflammation importantes, volume augmenté, douleurs, ganglion recouvert d’une peau chaudée et érythémateuse, péri adénite, se manifeste par une induration et fixation au plans profonds.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Stade suppuré :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Augmentation de douleur, apparition d’une fluctuation qui évolue vers la fistulisation ou l’adenophlegmon.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.2 </strong>Adena phlegmon.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Signe locaux et généraux aggravés, diffusion de l’infection hors le ganglion cliniquement, il y a un empattement mal limité.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.3 </strong>Adénite subaigüe et chronique : apparition leute et</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>II.4 </strong>L’ADP de l’enfant :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">À la naissance les ganglions ne sont pas palpables ils atteignent les pics ne du développement vers quatre à huit ans puis régressent après.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’enfant présente une hyper plasie ganglionnaire pluies importantes et une réponse plus rapide ne à la simulation ont hygiénique.</div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">III. DGC + :</h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>IV.1 </strong>Interrogatoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Nom, prénom, l’âge, adresse, profession.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">État général de patient : (asthénie, fièvre, amaigrissement, insomnie, manque d’appétit……..).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La tuméfaction : date et circonstances d’apparition.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Son caractère (isolés ou associés à des troubles).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Son évolution dans le temps.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Antécédents médicaux et chirurgicaux (TBC, syphilis, radiothérapie).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">État sérologique et vaccinal, transfusion sanguine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Hygiène et mode de vie : alcool, tabac, toxicomanie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>IV.2 </strong>Examen clinique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen local :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Inspection :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Apprissiez la tuméfaction (siège, volume…………).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’état des téguments eu regard. (Etat inflammatoire, une cicatrice, fistule, pigmentation,</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Palpation : elle se fera après relâchement musculaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Région sous mental et sous mandibulaire : palper bi manuel index intra-buccal refoule les parties molles vers la bas, tandis que les doigts de l’autre main palpent les ganglions éventuels</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Pour la région sous mandibulaire, on peut placer les doigts au crochet et faire remonter les parties molles ou les appliquant contre l’os basale</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Région jugula-carotidienne est explorée ou se plaçant devant puis en arrière du patients, les tètes étant fléchit du coté examiné et en légère rotation</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Région sous claviculaire : IDEM, en faisant tousser le patient au besoin</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð L’examen permet de noter :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Le nombre de ganglion aperçus.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Caractère uni ou bilatéral</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Volume, consistance, limite</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Douleur et sensibilité</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Aspect de la peau en regard (couleur, ulcération, fistule…………)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Mobilité par rapport au plan de voisinage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen locorégional.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il convient en fonction d’éléments d’orientation de poursuivre l’examen du patient soit dans la perspective d’une maladie générale soit dans celle d’une affection régional. L’examen recherchera notamment :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð D’autre ADP dans les autres principales aires ganglionnaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Une hépato splénomégalie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð De l’éruption cutanée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Troubles hémostatiques (purpura, épistaxis, gingivorragie……..</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On peut avoir recours a l’examen des autres appareils.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut rechercher aussi une lésion ou porte d’entrée infectieuse ou néoplasique (rougeu, ulcération, bourgeonnement……………) sur la peau, la tête, le cou, dans CV bucco-pharyngée, fosses nasales Cavum et cuire chevelu.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>IV.3 </strong>Examen para clinique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen biologique :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">FNS, VS, fibrinogène : dépistage d’un processus infectieux ou hémopathie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sérologie: MNI-toxoplasmose, HIV, syphilis, IDR à la tuberculine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen bactériologique :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Culture au laboratoire après ponction ganglionnaire (proscrire au niveau du tissu et salivaire).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Examen histologique :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cyto-ponction ou ponction l’aiguille fine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Adénectomie en cas de suspicion d’affection maligne où homéopathie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Endoscopie sous ag :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Réalisé chez les patients âgés de plus de 40 ans alcoolo tabagique dans le cas d’un bilan d’extension ou de concert.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle permet l’inspection de la moqueuse pharyngée, Pharynx, Cavum et elle permette également de faire une biopsie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Imagerie médicale :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Échographie : c’est la technique de choix, elles permettent la détection de ggl. Infra clinique, apprécié le volume, le rapport avec les éléments voisins et ne permette pas d’apprécier le caractère bénin en malin d’une masse ganglionnaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð TDM avec injection : moins performant que l précédente, elle permet de visualiser les ggl. profonds et leur rapport topographique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð IRM: elle permet de distinguer les ADP par rapport aux muscles vaisseaux sanguins.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Angiographie cervicale : recherche une compression ou l’envahissement vasculaire par une ADP cervicale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La lympho-scintigraphie : consiste à un repérage anatomique des ganglions.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong> </strong></div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">IV. DGC différentiel :</h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>V.1 </strong>Région sus mandibulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Kyste dermoide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Kyste du tractus thyreo-glosse fixe à l’os hyoïde.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>V.2 </strong>Région sous mandibulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Présence d’ADP froide :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La grande corue de l’os hyoïde.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· TM de la glande sous-maxillaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Sous maxillite chronique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Noyau d une cellulite résiduelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En cas d’adénite aigue :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Cellulite sous-mandibulaire fait corps avec la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a>.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sous maxillite aigue d’origine lithiasique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>V.3 </strong>Région jugula carotidienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’apophyse transverse de l’atlas.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Kyste amygdaloïde.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un lymphangiome kystique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un bulbe carotide athéromateux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un anévrisme.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Tm. Du pole inferieur de la parotide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Tm. Du corpuscule carotidien.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Tm. Nerveuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>V.4 </strong>Région cervicale antérieure.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Nodule thyroïdien.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une laryngocel dans l’espace thyro-hyoïdien.</div><div style="text-align: left;"> </div><h3 style="text-align: left;">VI. DGC étiologique :</h3><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.1 </strong>ADP d’origine bactérienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tuberculose :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : Micro bactéries en tuberculosis hominis surtout.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Micro bactéries en tuberculoses bavis parfois.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· IDR à 10 unités qui peut être moins. Prélèvement par ponction ganglionnaire, crachats, tubage, gastrique, l’examen met à mot en évidence les bacilles acides alcoolo résistants (BAAR) présent dans la lèpre et l’actinomycose.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Coloration.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Histologie (adénectomie) retrouve follicule géantes et cellule epitheloide sous nécrose caséeuse initiale puis formation de caséum par la suite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Tel thorax de face et de profil est systématique mais moral dans 50% des cas.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Formes clinique:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP chronique: se manifeste +/- longtemps après la primo-infection en 1 jour elle peut évoluer vers un mode subaigüe, se ramollisse et se fistulise laissant sourdre un pus grumeleux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elles sont fermés, indolores, taille inégale, sans per-adénite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP satellite d’un chancre d’inoculation: lésion primaire, petite ulcération sur le collet de la dent, dans un pli de la muqueuse parfois sur la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/langue" rel="external" title="langue">langue</a>, face interne des joues ou sur l’amygdale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP en générale, sous mandibulaire, mono ou poly ganglionnaire indolore, mobile puis +/- fixée par le péri adénite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’évolution se fait vers le ramollissement et émission d’un pus verdâtre et grumeleuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP satellite d’une ulcération tuberculeuse: forme exceptionnelle les ulcérations au niveau du CV bucco-pharyngée ou larynx (TBC pulmonaire) s’accompagne volontiers d’ADP cervicale satellite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP calcifiée : signe une guérit fortuitement découverte sur une radiographie de la région cervicale souvent sous mandibulaire et les aires jugula-carotidiens.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Traitement médical : quatre ATB pendant plusieurs mois (isoniazide, rifampicine, ethambutand, pyrazinamide).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Traitement chirurgical : en cas d’échec ou de l’ADP suppurée, ablation d’un simple ganglion un mais parfois par un évidemment d’une loge bien entendue, si qui intervention conservatrice des éléments nobles. À l’année intervention délicate à cause de la fibrose dans les ADP chronique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Syphilis :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sexuellement transmissibles.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : tréponème pallidum (Spirochète).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La période primaire : incubation en 20 jours.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Chancre siège aux lèvres, langues, amygdale (ulcération muqueuse à fond induré).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un ou plusieurs ganglions sous maxillaire de taille inégale dont un est volumineux, fermes, mobiles, sous péri-adénite, ne suppurent jamais.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Persistent après disparition de chancre deux à quatre mois avec traitement et un à deux ans sans traitement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Mise en évidence du germe dans le produit de racolage du chancre ou dans celui de la ponction ganglionnaire qui révèle :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une hyper-plasie folliculaire prédominante.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Plasmocytose intense au niveau des zones périfolliculaire et médullaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Image oblitérant, fibrose capsulaire importante.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o VDRL-TPHA est immunofluorescence directe (fluorescent tréponème anti body FTA)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Au stade secondaire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">micro-poly-adénopathie, généralisée, fermes indolores et disséminés surtout dans les airs ganglionnaires post. Associé à des troubles différents : roséole, arthralgie, alopécie……………</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement : pénicilline thérapie si allergie tétracycline.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tularémie:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe: anthropzoonose rare du a Francisella Tulareusis, Cocco-bacille aerobie strict Gram (-).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Contamination : de pecage du gibier contaminé (lièvre, la pin)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ingestion de viaude contaminée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Piqure d’insecte vecteur.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Contacte cutané.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les bouchers, chasseurs, cuisiniers sont les plus exposés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Porte d’entrée siège sur un doigt au conjonctif, multiplication des germes => bactériémie après assenage ganglionnaire avec atteinte viscérale (poumons et système lymphatique).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Apparition des signes généraux (fièvre, frissons…..) après quatre jours d’incubation</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Chancres d’inoculation apparaît parfaits et comme ulcération légèrement congestive recouverte d’une croutelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Localisation ganglionnaire due au contact avec des doigts souillés, conductivité purulente plus lymphangite avec ADP satellite et ADP prétragienne qui évolue en quelques semaines vers la suppuration.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Localisation oropharyngé due à une contamination par voie orale, amygdalite sévère. erythematopultacée unilatéral avec ADP satellite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Contamination pulmonaire et possible par voie aérienne (toux sèche et douleurs pleurales).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : mise en évidence du germe dans le ggl par ponction ou grattage d’une lésion en cutané.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">hemo culture ou examens des selles</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">sero diagnostique et l’IDR à la tularine + des deuxième semaine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : tétracycline ou</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Aminoside en monothérapie : gentamycine 2mg/kg 3x/j pendant sept jours en IV ou IM.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Drainage chirurgical si ADP suppuré.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Maladie des griffures du chat :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : chlamydia.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Suit à griffures de chat ou piqûre d’épine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Signé généraux discret, pas de modification de la formule sanguine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP satellite inflammatoire a subaigüe. Douloureux au début, mobile de taille variable avec péri-adénite qui évolue vers suppuration peu abondante, le pus est verdâtre à jaune stérile en milieu de culture usuelle, l’ADP siège sous l’aisselle ou l’epitrochlée, parfois dans les régions sous maxillaire jugula carotidiens ou sus claviculaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Notion de présence d’animal familier.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Les griffures (cicatrisent après apparition de l’ADP).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· IDR a l’ag de la maladie préparée à partir des pus diluées et tyndalisé => réaction plus en 48 heures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La réaction des fixations du complément.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· cycline et macrolide.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Elle peut évoluer spontanément vers la guérison.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Incision et drainage si ADP suppuré.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La pasteurellose:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : pasteurella mutocida.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Contamination : morsures de chiens, chats ou excoriation souillée de terre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Dans la forme aigue : douleur vive</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· En 48 heures, la vision ne devient rouge chaude et œdémateuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Apparition de quelques gouttelettes de pus autour de la lésion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP cervicale aigue sans ramollissements n’y fistulisation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’isolement du germe à partir d’une porte d’entrée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· IDR a l’ag de REILLY.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : tétracycline, macrolide ou peni G.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Actinomycose:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : actinomycose bacille Gram moins anaérobie strict.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La porte d’entrée eudo buccal (soin dentaires, HBD mauvaise………….).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">l’ADP et si nous mandibulaires, douloureuse, la peau très inflammatoire rouge violacée, ligneuse et adhérentes aux plans profonds.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La fistulisation se fait par la peau.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le plus contient des grains caractéristique actinomycosiques jaune dit graine sulfurée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : examen direct du pus, les grains jaune et les filaments.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La culture en milieu enrichi d’anaérobie stricte.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La listériose :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : listeria-monocytogène, Bacille Gram +.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Maladie responsable des avortements et les manifestations cephalo meninggique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Contamination se fait par ingestion de légumes et viandes contaminés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Les femmes peuvent contaminer leurs fœtus par l’intermédiaire du placenta ou pendant l’accouchement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Forme fébrile beninigne type grippal : fièvre et douleur généralisé aggravé chez les immunodéprimés provoquant une méningite ou une septicémie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð forme cervico-glandulaire (mononucléose listerienne) correspond à une angine avec présence des germes dans les amygdales et ADP. Cervico-facial.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð forme accula glandulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Méningo-encéphalite listerienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð forme cardiaque.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : repose sur l’identification du germe dans le sang ou le liquide céphalo-rachidien.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð traitement : Benzyle pénicilline ou l’érythromycine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Forme grave : gentamycine plus l’ampicilline.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.2 </strong>ADP d’origine virale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Mononucléose infectieuses :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð germe : l’herpe virus d’Epstein Barr.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Atteint l’adolescent et adulte jeune.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Angine érythémateuse, pultacée, ulcéra-nécrotique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP multiplie ce nouveau cervical post. de volume variable, peu sensible, ne suppure jamais.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· splémo-megalie, asthénie, hyper thermie (38-40°C).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Examen hématologique (hyper leucocytose 10-30 milles: mm<sup>3</sup> plus monocytose)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· MNI – Test.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Réaction de Paul Brunel, David, sohn plus au septième jours.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/2440" rel="external" title="sida">Sida</a> :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Poly ADP précoces représentent parfois le première signe.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Elle est bilatérale, formée par de nombreuses ganglions de plus 1 cm de diamètre.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Atteint toute les est un ganglionnaire surtout cervical.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Trouble général (amaigrissement, asthénie, fièvre, diarrhée, sueurs nocturnes, Candidose buccal………..).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : sérologie : ELISA, Western-blot => mettre en évidence les AC spécifiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Herpes :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð germe : virus herpes simplex hominis type 1.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP cervical autre bilatéral avec fièvre et dysphagie accompagne la primo-infection herpétique (gingivo-stomatite).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Évolutions spontanées favorables de 10 à 15 jours sans séquelles.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Forme grave chez les immunodéprimés enfants.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Si l’herpe buccale récidive, il siège au niveau labio commissurales, il peut comporter quelques ganglions cervicaux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Rubéole et rougeole : maladie bénigne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La rubéole se manifeste chez l’enfant par :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une éruption cutanée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une stomatite érythémateuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP précoce : nombreuses ganglions petit et mobile, un peu douloureux, siège post. Disparaissent spontanément de 2-3 mois.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La rougeole comporte :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Une poly ADP.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un catarrhe accula-nasal.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Un énanthème de caplick.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.3 </strong>ADP d’origine parasitaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toxoplasmose:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Germe : toxoplasma gondii (protozoaire)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Se transmet par des aliments souillés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La primo-infection :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP superficielle découverte par hasard, unique ou multiple dans un ou deux aires ganglionnaires, ne suppure jamais.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Taille supérieure de 2 cm, un peu sensible jamais douloureuse, Lisse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Signé générant : fièvre à 38,5 °C, asthénie, arthralgie, mononucléose, sanguine discrète.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Les ADP subsistent six mois sans modification de leur caractère.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : Dye-Test de sabin et Feldman, très sensible à la recherche des IGM immunoinfluorescences.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : guérison spontanée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Femme enceinte et est immunodéprimée : spiromycine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Trypanosomiase :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Maladie du sommeil par la piqûre de la mouche Tsé-tsé caractérisée par une fièvre irrégulière.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Érythème circiné plus ADP cervicales indurées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’évolution sans traitement peut être fatale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.4 </strong>ADP des affections dys immunitaire ou allergiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sarcoïdose : maladie de Besnier, Boeck, Schumann.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Atteint l’adulte jeune de 20 à 40 ans.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· ADP mediastinale et lésion pulmonaire réticula-nodulaire plus érythème noueux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Les ADP cervical sont sus-claviculaire, retro-auriculaire de petites tailles, fermes, mobiles, non douloureuses, ne suppurent jamais.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Histologie : granulome epitheloide tuberculoïde giganto-cellulaire sans nécrose caséeuse, elle se confond avec la TBC avant nécrose caséeuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· IDR à la tuberculine moins.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Test de KVEIM : injection de l’ag à partir de la rate ou ganglion atteint dans le derme => apparition de nodules de quatre à six semaines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Biologie : hypergammaglobulinemie plus anergie tuberculine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le dosage sérique de l’enzyme de conversion de l’angiotensine augmente 90 % des sarcoïdoses active.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Radiographiques mots : élargissement du médiastin et le hile pulmonaire Monet ADP mediastinales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : corticothérapie en fonction de stade.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lupus érythémateuse dissémine :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP cervical superficiel sans inflammation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les signes clinique et immunologique permettent le DGC.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Polyarthrite rhumatoïde :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP des petites tailles histologiquement : une hyperplasie folliculaire plus plasmocytose importante.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP réactionnelle au médicament :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Après administration de certains produits : hydontoine, pénicilline, L-dopa, sérum, produits iodés, phényle buta zone……..</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : repose sur les signes accompagnateurs : éruptions cutanées prurit, éosinophilie sanguine.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.5 </strong>ADP des hémopathies malignes.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Maladie de hodgkin :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sujet jeune et âgée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP cervical, jugula carotidien gauche.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Consistants élastiques, mobile et indolore sans per adénite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Évolution : bi latéralisation des ADP et disséminations général.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Fièvre, pruri, splénomégalie et douleurs lors de l’ingestion de l’alcool.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð histologie : cellule de Steinberg dans le produit de ponction ganglionnaire et permet d’objectiver le pronostic après étude du ganglion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le stade de la maladie est déterminé par le bilan d’extension selon le territoire atteint : foie, rate, poumons, moelle osseuse, squelette.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : chimio, radio-corticothérapie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Lymphome non hodgkinien :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sujet 30 à 40 ans.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Évolution très variée et des néoplasies primitifs du tissu lymphoïde.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP cervical inaugural, ferme vers un multiple, mobile et peu former une masse poly ganglionnaire, aspect clinique en tuméfaction lisse, ferme, recouverte d’une peau norale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si les généraux : asthénie, fièvre, amaigrissement, sueur nocturne, splénomégalie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : repose sur l’histopathologie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Traitement : radio et chimiothérapie selon le bilan d’extension et l grade de malignité.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Leucémie lymphoïde chronique :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Chez les sujets âgés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP ferme, élastique, mobile et disposé symétriquement de volume augmenté.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Hémogramme : hyperleucocytose et hyper lymphocytose mature.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Leucémie aigue et leucémie myéloïde chronique :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Peut comporter très rarement des ADP cervicales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Maladie de waldenstroime :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ADP ferme, indolore, sans inflammation plus asthénie et hépato splénomégalie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð DGC + : examen de la moelle notant une infiltration lymphoïde.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’immuno électrophorèse des protides sériques montre une dysglobulinemie monoclonale à IGM.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VI.6 </strong>ADP des carcinomes.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tumeurs dues au tabac et à l’alcool rencontré chez les sujets de plus de 40 ans. Néanmoins on peut les rencontrer chez les sujets non consommateurs de tabac ou chez les sujets jeunes à antécédent tabagique précoces.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les métastase ganglionnaire cervicale relève de carcinomes epidermoides des voies aérodigestives supérieures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Caractère :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Au début : le ganglion de consistance dure, mobile, indolent.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Avec le temps :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· augmentation de volume.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Consistance ligneuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Adhérent au plan de voisinage.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Sensible à la palpation voir franchement inflammatoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· fluctuant par la suite d’une nécrose centrale puis fistulisation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Circonstances de découverte : trois modes</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð le patient vient consulter pour des troubles fonctionnaires (douleurs dysphagie, dysphonie……) l’examen clinique révèle alors un carcinome avec ADP cervicale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Le patient vient consulter et pour une ADP d’emblée, de plus souvent la lésion primaire est facilement découverte par l’examen clinique ou bien, elle passe souvent inaperçue malgré les examens cliniques et para cliniques pratiqués, alors une cervicomie explorative est indiquée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Parfois l’ADP vient chez un cancéreux connu et traité. Il s’agit :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Soit de la résurgence d’un ganglion non stérilisé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Soit de la reprise d’une lésion primaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Soit d’une nouvelle localisation.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Classification : UICC 2002.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>0</sub> : pas du signe d’atteinte de ganglion régional.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>1</sub> : un ganglion lymphatique au vent latéral inférieur ou égal 3 cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>2</sub> : un ganglion lymphatique en homolatéral supérieur de 3 cm est inférieur ou égal 6 cm ou ADP multiples toutes inférieurs ou égal à 6 cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>2a </sub>: ADP unique supérieur de 3 cm et inférieurs ou égal à 6 cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>2b</sub> : ADP multiple roman latéral toute inférieur de 6 cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>2c</sub> : ADP bilatérale ou contre latérales toutes inférieur de 6 cm.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">N<sub>3</sub> : ADP supérieur de 6 cm fixée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Méthode de traitement :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/chirurgie" rel="external" title="chirurgie">Chirurgie</a> :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Évidemment ganglionnaire : c’est d’enlève les larmes cellulo ganglionnaires du cou, si l’ADP sont manifestement néoplasiques ou si la Tm. est lymphaphile.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Évidemment radical classique : intervention en mutilante, exérèse et de toute la lame cellulo ganglionnaire plus les éléments nobles (V. jugulaire interne. spinal, Rameau mentonnier du facial…..). exérèse de la glande sous maxillaire, muscle sterno-cléido-mastoïdien et omohyoidien et les aponévroses.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Évidemment conservateur au fonctionnel : enlever seulement la lame cellulo ganglionnaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Radiothérapie : les métastases ganglionnaires carcinomateuses sont moins sensibles à l’irradiation, nécessitant des doses augmentée de 50 grays administrés par télé cobalt sur le cou plus un complément de 15 à 20 grays sur les reliquats ganglionnaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð La chimiothérapie : les métastases ganglionnaires sont moins sensibles et à la chimio que la lésion primaire, on utilise en général du 5 fluora-uracile et le cisppatyle en 2-3 cures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement des ADP persistantes après radiothérapie :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Exérèses chirurgicale (adénectomie ou évidement)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">On préconise une deuxième chirurgie réparatrice si le ganglion est inaccessible l’atteinte tissulaire peut être dangereuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Traitement des ADP primaires d’apparence métastasique:</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans la plus partie des cas les ganglions présentes et une métastase d’un carcinome épidérmoides.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ð Évidemment ganglionnaire radicale plus radiothérapie du pharynx homolatéral et le aires ganglionnaire bilatéral.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><strong>VII. </strong><strong><a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="conclusion">Conclusion</a>.</strong></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Si dans la grande majorité des cas, l’examen clinique suffit à assurer les DGC des ADP cervicales, il reste que certains cas sont particulièrement difficile, il importe alors tenu compte de la gravité potentielle de ces ADP d’assurer leurs DGC par des examens para cliniques adéquats. Le pronostic des affections en cause dépend souvent de la précocité des DGC.</div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-19418739241604507792011-04-17T13:47:00.001-07:002011-04-17T13:47:41.025-07:00hépatite en pathologie dentaire<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/554" rel="bookmark" title="Permanent link to hépatite en pathologie dentaire"><br />
</a></h2><div> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le terme d’hépatite est appliqué à une large catégorie d’entité <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a> et pathologique </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Qui résultent de lésion hépatique d’origine : virale, toxique ou pharmacologique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les caractéristiques communes à ces entités sont la nécrose hépatocellulaire (localisée ou extensive) et l’infiltration inflammatoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Les formes cliniques</u><u> :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><ul style="text-align: left;"><li><u>L’hépatite virale</u> :</li>
</ul><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Causée essentiellement par 4 types de virus A, B, C, D puis ils ont ajouté aussi les virus E, G /</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">A base des critères cliniques et biologiques deus formes sont à distinguer : aigue et chronique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ü <u>HEPATITE VIRALE AIGUE : </u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1. <u>hépatite A :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Causée par le virus A (VHA) c’est un petit virus à ARN qui va se multiplier dans le foie occasionnant une vive mie transitoire de quelque jours des signes cliniques et une déssimination.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Transmise par voie orale et fécale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Période d’incubation de ce virus 2-6 semaines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le virus présente une résistance exceptionnelle </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">v à la température</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">v au solvant organique </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">v peut rester plusieurs mois dans les eaux sallées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">v Plusieurs années congelés.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>- Cliniquement</u></i> : se traduit par un état pseudo grippal, des nausées, maux de tête une fatigue et une coloration des urines, plus une hépatomégalie sensible.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Touche 10% des enfants – 40% des adultes. On observe aussi : un ictère accompagné d’une asthénie, anorexie et quelque prurit et érythème palmaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u>-biologiquement</u></i> : la transaminase (enzyme hépatique) augmentée 10% par rapport à la normale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans les cas graves compliqués, ictère fibrillaire prolongé avec prurit intense, diarrhée et amaigrissement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il y aura même des manifestations extra hépatiques, hypotension, troubles de rythme troubles neurologiques.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elle est contagieuse même avant l’apparition de la symptomatologie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2. <u>hépatite B :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- C’est un virus à ADN enveloppé, c’est le plus répondu dans le monde des virus d’hépatite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- La transmission se fait par voie sanguine : aiguilles contaminées, dérivés sanguins ; la contamination salivaire nécessite une inoculation transmuqueuse ou transcutanée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Période d’incubation de 2-6mois.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- 10% développent une forme chronique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- se manifeste par un ictère intense et une hépatomégalie et des urines foncées, et en plus il existe hépatolyse hépatique, biologiquement la transaminase est augmentée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- il peut se développer dans les compliqués une hépatite fulmitante où il y a la défaillance cellulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les individus à haut risque :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toxicomanes (drogue par voie intraveineuse).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les enfants de mère infectée (transmission verticale).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les sujets exposés au sang ou à ses dérivés (patients transfusés, hémodialysés, <a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/chirurgie" rel="external" title="chirurgie">chirurgie</a>ns, personnel du labo).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">3. <u>hépatite C (non A, non B) :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le virus responsable est le C contient un ARN à une grande capacité de mutation à l’enveloppe virale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Sa transmission se fait par voie sanguine, la période d’incubation est très variable (2-6 semaine).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Plus de 20% à 30% vont développer une hépatite chronique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le dgc positif et étiologique se posera dans le stade aigue que par la détection de l’ARN, car la sérologie ne devient positive que plus tardivement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">4. <u>hépatite D :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- c’est un virus d’ARN ne possède pas d’enveloppe doit utiliser celle de virus B.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- donc toujours il y a l’association de B avec D.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la protection de l’infection " B " confère une protection contre le virus "D".</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- transmise par voie parentérale et sexuelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Période d’incubation 3 à 12 semaines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Deux expressions cliniques co-existent :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i><u>La co-infection</u></i> : </b>le patient est infecté par les 2 virus simultanément, traduit par une hépatite aigue "B" avec ictère rapidement évolutif puis il y a une rechute avec un nouvel épisode ictérique ( 10 passent à la chronicité ).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><i><u><b>Sur infection</b></u></i><b> :</b> le patient déjà infecté par VHB chronique avec des formes aigues (15 développent une cirrhose).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">5. <u>hépatite E</u> :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’apparition de ce virus semble existe que dans les pays à faible niveau d’hygiène.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- C’est virus à "ARN" transmise par la voie orofecale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Il y a le même tableau clinique que l’hépatite A avec des douleurs abdominales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Incubation 2-9 semaines.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le risque pour la femme enceinte est plus élevé (premier trimestre), selon l’état générale des femmes (initial) (la moralité 20 des femmes porteuses ce virus).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">6. <u>hépatite G :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sa transmission est sanguine, elle peut se développer vers une forme clinique mais moins grave comparaisant avec le VHB.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Biologiquement une vévimie prolongée avec un taux transaminase normale ou légèrement augmenté, ou la question posée est ce qu’il y a une association d’autre virus ou non ? </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">ü <u>HEPATITE VIRALE CHRONIQUE</u><u> :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les causes de la chronicité ne sont que partiellement connues, peuvent être d’une séquelle d’hépatite "B" ou "C" ; il existe deux formes :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- <b><i><u>persistante</u></i></b><b> :</b> définit comme un processus inflammatoire chronique confiné à la région de la veine porte, c’est la forme la plus commune particulièrement après l’hépatite "B" , la symptomatologie peut disparaître ou se plaindre de fatigue avec des douleurs .</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- <b><i><u>hépatite chronique active </u></i></b><b>:</b> la forme la plus sirieuse d’hépatite, peut progresser vers la cirrhose et une insuffisance hépatique, nécrose et une fibrose du foie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- 20% des cas suite à une hépatite "B".</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- tableau clinique soit il est sévère, ou une asymptomatologie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>DIAGNOSTIC :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pour les formes aigues : repose sur les manifestations cliniques et les examens de labo – tableau 2 – ou il y a une augmentation de la transaminase, BILIRUBINE, et les phosphatases alcolines sériques.</div><div style="text-align: left;"> </div><ol style="text-align: left;"><li>Le taux IGM est élevé dans la phase précoce puis il est suivit par les IGG dans les 2mois.</li>
<li>Mise en évidence d’AG de surface et les AC de cet AG.</li>
</ol><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Pour les formes chroniques : le dgc est confirmé par la biopsie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>MANIFESTATION CLINIQUE :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les caractéristiques cliniques communes d’une hépatite virale aigue :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- phase pré ictérique : fatigue / état pseudo grippal / douleurs articulaires / par fois éruptions cutanées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Phase ictérique : l’apparition de la jaunisse avec une intensité virale et des urines foncés, fatigue persistante, perte d’appétit, nausées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Post ictérique : asymptomatique ( le passage à la chronicité ).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>MANIFESTATIONS BUCCALES :</u></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les manifestations sont communes à toutes les formes d’hépatite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit d’une décoloration de la muqueuse buccale tout particulièrement dans la région post du palais et de la région médiane du plancher buccal résulte de pigments biliaires au sein des muqueuses.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans les formes sévères il y a des hémorragies et des ecchymoses sont observées et des pétéchies.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><u>TRAITEMENT :</u></b> – il n’existe pas un trt spécifique, il repose sur l’hydratation, un apport en carbohydrates et surtout sur l’abstention de l’usage de l’alcool.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Pour la forme chronique, une biopsie s’impose avant de tenter à base d’agents immunosuppresseurs.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Dans certains cas d’hépatite active, les corticoïdes peuvent améliorer la clinique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· <u>Hépatite aigue bactérienne :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Résulte d’affection telle que la tuberculose, la brucellose la leptospirose, ou en rapproche de certaines atteintes hépatiques au cours de <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2440" rel="external" title="sida">SIDA</a>.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· <u>Hépatite toxique et médicamenteuse :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Peuvent être dues à la prise de ATB à forte dose prolongée, même cas pour certains toxiques telle que l’amanitephalloide (peuvent détruire totalement le foie).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· <u>Hépatite alcoolique :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Peut s’évaluer vers la destruction du T hépatique si l’intoxication se poursuit.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Evaluation en pratique quotidienne :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- En raison de la nature des actes qu’il est amené à réaliser le praticien est particulièrement exposé à l’hépatite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Cette évaluation reposer sur l’examen clinique surtout l’interrogatoire médical, destiné à préciser la nature et la sévérité de l’hépatite, symptomatologie et les complications.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Cette évaluation est associée aux examens de labo et aux informations provenant du médecin traitant.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’évaluation permet de définir 2 catégories des patients :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i><u>Patients à risque faible :</u></i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image00149.gif"><img alt="clip_image001" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image001_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001" width="15" /></a> Patients présentants des antécédents d’hépatite "A" dont les tests fonctionnels et hépatiques sont normaux et AG négatifs.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image001112.gif"><img alt="clip_image001[1]" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0011_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001[1]" width="15" /></a> Patients présentants des antécédents d’hépatite "B" avec des tests d’AG négatifs et présence des AC.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image001212.gif"><img alt="clip_image001[2]" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0012_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001[2]" width="15" /></a> Patients présentants des antécédents d’hépatite "C" dont les tests fonctionnels sont normaux et l’AG négatifs</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i><u>Patients à haut risque:</u></i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image001312.gif"><img alt="clip_image001[3]" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0013_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001[3]" width="15" /></a> Patients présentants des AG de l’hépatite "B".</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image001410.gif"><img alt="clip_image001[4]" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0014_thumb3.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001[4]" width="15" /></a> Patients présentants des tests hépatiques anormaux.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image00152.gif"><img alt="clip_image001[5]" border="0" height="17" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/clip_image0015_thumb1.gif" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; margin: 5px 10px 0px 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="clip_image001[5]" width="15" /></a> Patients présentants des symptomatologies de l’hépatite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><u>Précautions à prendre en pratique quotidienne :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">1) <u>Précautions générales :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">A. <u>Consultation et informations médicales :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la consultation sera demandée en cas le patient est symptomatique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Le médecin traitant sera consulté pour : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Connaître précisément la maladie (état de santé et complication).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Pour définir les éventuelles modifications concernant le trt , selon les soins envisagées .</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">o Lorsque le patient est polymédiqué (d’autres affections associées).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">B. <u>A l’égard du stress</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le stress doit être réduit le max (surtout les patients sous corticoïdes).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Les soins de courte durée seront réalisés la matinée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">C. <u>A l’égard de l’<a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/anesthesie" rel="external" title="anesthésie">anesthésie</a> :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- en raison de l’impossibilité de la détoxication des anesthésiques locaux à fonction amine (lidocaine, mépavacaine), chez les patients présentants un problème hépatique notamment une hépatite, l’utilisation des ces agents devra se faire à faible dose, avec un matériel utilisé prudemment, afin d’éviter toute contamination accidentelle.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">D. <u>A l’égard du trt suivi par le patient :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les précautions sont à prendre en cas des patients sous corticoïde en cas d’une hépatite chronique active, donc ces patients sont sujets à une insuffisance adrénaline ne leur permettant éventuellement pas de faire face au stress associé aux soins.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">E. <u>A l’égard des troubles de l’hémostase et la coagulation :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En raison des troubles de la coagulation pouvant être associés aux dysfonctions hépatiques, le TS, et le TP doivent être vérifiés avant tout acte chirurgical.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">F. <u>A l’égard du risque infectieux :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En raison de risque de transmission, une asepsie clinique stricte doit se respecter, cette démarche est valable que le patient présente une hépatite aigue ou chronique ou des antécédents (porteurs ou non).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut rappeler que le virus d’hépatite "B" est sensible aux techniques de stérilisations appropriées donc l’hypochlorite constitue une désinfection efficace.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Tout personnel doit porter : gants, masque lunette.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toute lésion cutanée doit être protégée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’utilisation d’un matériel à usage unique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le matériel à usage multiple doit être stérilisé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">De façon appropriée plusieurs fois , le matériel qui peut être auto clavé donc il doit être mis dans une solution d’hypochlorite de sodium puis lavé avec un détergent efficace et le replace dans l’hypochlorite (2%) durant au moins <u>3H</u> .</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Toute les surfaces de travail doivent être lavées en solution d’hypochlorite en place au moins 30min.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les empreintes à destination de labo, seront placées dans un bais de GLUTAR-ALDEHYDE (2%)pendant <u>1H</u> puis rincées et replacées dans un bain frais au moins 3H avant d’être traiter. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">G. <u>Précautions à prendre dans le cadre de la prescription :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">En règle générale, toutes les médications à métabolisme hépatique sont à écarter de la prescription – voir tableau – .</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">H. <u>Précaution à prendre en cas d’exposition accidentelle : </u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- en cas d’une exposition accidentelle du personnel non vacciné, le site contaminé devra nettoyer immédiatement et une prise de sang doit être prise pour la personne contaminée et le patient.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Si le patient porteur d’AG de VHB, donc la contamination ne peut être écartée, une administration d’AC (anti VHB) (HBIG) à raison de 0,06 ml/kg en IN . doit réaliser le même jour. Renouvelé 1mois plus tard.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Si le patient porteur d’AG de VHA, la personne contaminée recevra par voie IN des immunoglobulines durant la semaine d’exposition.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- En cas que la personne contaminée est vaccinée, les même précautions seront réalisées (en cas d’un taux d’AC insuffisant, donc une administration d’AC est indispensable).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">2. <u>précautions spécifiques :</u></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pour les patients à risque faible :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les soins peuvent être pratiqués selon les protocoles usuels, dans des conditions d’asepsie, et bien sur les précautions générales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- pour les patients à risque élevé :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Chez ces patients, 3cas de figures sont à considérer :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>a) </i></b><b><i><u>patient présentant une hépatite aigue ou chronique active :</u></i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- aucun soin normalement ne sera réalisé jusqu’à ce que l’infection soit résolue chez un patient présentant une forme aigue, le patient présentant une forme active doivent être consultés pour évaluation médicale complète et traitement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Cas d’urgence : les soins seront réalisés en milieu hospitalier avec des précautions qui sont décrites.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>b) </i></b><b><i><u>Patients exposés au virus "B" :</u></i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Chez les patients exposés :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- personnel médical (profession de santé).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Hémodialyses </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Personnes faisant usage de drogue par voie intraveineuse.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Personnes transfusées.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- Personnes ont contact avec un porteur de VHB.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une recherche d’AG HBs doit être réalisée avant les soins sauf qu’il y a une évidence d’AC. (Anti HBs).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b><i>c) </i></b><b><i><u>Patients présentants des antécédents dont la rémission est incertaine ou partielle : </u></i></b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il faut identifier le type de virus chez les antécédents d’hépatite virale, il y a un % de persistance d’AG.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La seule méthode de protection est la vaccination et un programme d’asepsie clinique stricte. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-55370067115324612662011-04-17T13:46:00.001-07:002011-04-17T13:46:12.810-07:00cellulites infectieuses<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div></div><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/903" rel="bookmark" title="Permanent link to cellulites infectieuses"><br />
</a></h2><div style="text-align: left;"></div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/CELLULITES-INFECTIEUSES.jpg"><img align="left" alt="CELLULITES INFECTIEUSES" border="0" height="79" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/CELLULITES-INFECTIEUSES_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; margin: 5px 10px 0px 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="CELLULITES INFECTIEUSES" width="115" /></a></div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">infections aiguës du derme et des tissus conjonctifs sous-cutanés à évolution névrosante pouvant engager le pronostic vital. Elles constituent une grande urgence dermatologique dont le traitement est le plus souvent médico – chirurgical. Différents types <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a>s topographiques peuvent être individualisés. </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Cellulites nécrosantes des extrémités</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Cellulite faciale périorbitaire</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Cellulite périnéale (gangrène de Fournier) </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Facteurs de risque généraux : </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Traumatismes (piqûre, égratignure, morsure, brûlure) : cellulites gazeuses post-traumatiques par Clostridium</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Toute lésion cutanée préexistante (furoncle, eczéma)</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Plaie chirurgicale</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Saphénectomie (cellulite des membres inférieurs)</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Lymphœdème chronique (post-chirurgical, post-radique, essentiel)</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Insuffisance veineuse des membres inférieurs</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Immunodépression et diabète :chez le diabétique et l’immunodéprimé : Streptocoques et staphylocoques, Pseudomonas æruginosa , Xanthomonas maltophila , Entérobactéries , Mycobactéries atypiques , Champignons (mucormycose, aspergillose, candidose, cryptococcose) . </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Toxicomanie intraveineuse</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Facteurs environnementaux et professionnels : Cellulites associées à l’environnement Erysipelothrix rhusiopathiæ : bouchers, poissonniers, cuisiniers.</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Æromonas hydrophila : bains en eau douce et eau de mer. </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Vibrio parahæmolyticus : bains en eau salée. </div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><b>Tableau clinique suivant la topographie de la cellulite :</b></div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">A – Cellulite faciales périorbitaire : cellulite orbitaire secondaire à une infection intra-utérine possible chez le nouveau-né , cellulite faciale possible aussi chez le petit enfant entre 6 mois et 3 ans, cellulite périorbitaire de l’enfant: s’associe à une ethmoïdite dans 84% des cas. cellulites faciales de l’enfant s’associe à des infection des voies aériennes supérieures otite moyenne dans 68% des cas , méningite dans 8% des cas.</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><b>Signes cliniques :</b> Œdème des paupières parfois monstrueux, rhinorrhée , douleurs périorbitaires · céphalées · hyperhémie conjonctivale , chémosis , ptôsis , troubles oculomoteurs , troubles de la sensibilité cornéenne , gangrène des paupières ,</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;">Facteurs de risque: traumatisme, sinusite chronique , corps étrangers intra orbitaires , plaie chirurgicale , dacryocystite , infection dentaire</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><b>Étiologie:</b> Cellulites faciales et périorbitaires : streptocoque A , staphylocoques , hæmophilus influenzæ sérotype B , pneumocoque</div><div style="text-align: left;"></div><div style="text-align: left;"><b>Complications :</b> ostéomyélite, strabisme, ophtalmoplégie et trouble de la motricité pupillaire, infarctus rétinien ou choroïdien, méningite, abcès cérébral, baisse de l’acuité visuelle, cécité, thrombose du sinus caverneux, sinusite chronique, rétraction cicatricielle des paupières </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5051429743775866182.post-8515960117166593172011-04-17T13:43:00.001-07:002011-04-17T13:43:09.642-07:00pathologie d’origine dentaire<div dir="rtl" style="text-align: right;" trbidi="on"><div> </div><h2 style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/906" rel="bookmark" title="Permanent link to pathologie d’origine dentaire"></a></h2><div style="text-align: left;"> </div><div class="byline" style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><a href="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/FOYERS-INFECTIEUX-DORIGINE-DENTAIRE.jpg"><img align="left" alt="FOYERS INFECTIEUX D’ORIGINE DENTAIRE" border="0" height="129" src="http://www.lescoursdentaire.com/wp-content/uploads/FOYERS-INFECTIEUX-DORIGINE-DENTAIRE_thumb.jpg" style="background-image: none; border: 0px none; display: inline; float: left; margin: 5px 10px 0px 0px; padding-left: 0px; padding-right: 0px; padding-top: 0px;" title="FOYERS INFECTIEUX D’ORIGINE DENTAIRE" width="121" /></a></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La pathologie à point de départ dentaire est multiple et se traduit souvent par des complications infectieuses, locales, régionales ou générales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le point de départ en est soit une inclusion dentaire compliquée, le plus souvent au niveau de la dent de sagesse inférieure, soit une pathologie propre de l’organe dentaire par carie ou parodontopathie.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La fréquence de ces complications infectieuses pose un véritable problème de santé publique d’autant plus inacceptable qu’une prévention efficace est possible.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>1) Accident d’évolution des dents de sagesse inférieures :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents de sagesse inférieures (38 et 48) apparaissent à l’état de germe en cours de croissance et font théoriquement leur éruption en fin de croissance en arrière des deuxièmes molaires définitives.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est fréquent que cette éruption ne se fasse pas, la dent restant alors incluse soit par anomalie de position (dent horizontale) soit par manque de place sur l’arcade du fait d’un encombrement dentaire (dysharmonie dento-maxillaire).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’éruption peut être incomplète ou particulièrement longue : la dent est alors en désinclusion, partiellement recouverte par son sac péri-coronaire qui peut être source de réactions inflammatoires plus ou moins importantes (péricoronarite).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La symptomatologie liée à l’évolution de ces dents de sagesse peut être très variable :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- découverte fortuite sur une radiographie panoramique d’une dent incluse dont l’extraction n’est pas justifiée en l’absence de symptomatologie</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- déplacement mécanique des dents de l’arcade mandibulaire secondaire à la poussée postérieure provoquée par l’éruption de la dent. Ces déplacements parfois minimes peuvent provoquer des troubles occlusaux qui peuvent être à l’origine d’une dysfonction des articulations temporo-mandibulaires. Il n’est pas toujours évident de rattacher ce type de complications à une dent de sagesse incluse. L’extraction de principe des germes des dents de sagesse après traitement orthodontique met à l’abri de ce problème.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- complications tumorales : apparition d’un kyste corono-dentaire développé aux dépens du sac péri-coronaire de la dent de sagesse</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- complications nerveuses : douleurs de type névralgique, en fait très exceptionnelles</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- complications iatrogènes secondaires à une extraction de dent de sagesse mandibulaire : névralgies du nerf alvéolaire inférieur et/ou du nerf lingual, fracture pathologique de l’angle mandibulaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- les complications infectieuses représentent l’essentiel des accidents d’évolution des dents de sagesse : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· simple péricoronarite avec inflammation au niveau du trigone rétro-molaire du capuchon muqueux à l’origine de douleurs et de trismus</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· gingivo-stomatite plus ou moins diffuse, parfois localisée à l’hémi-arcade mandibulaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· cellulite péri-maxillaire ayant pour point de départ la péricoronarite</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans tous ces cas, l’extraction de la dent causale sera indispensable.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>2) Maladies de l’organe dentaire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’atteinte pathologique de l’organe dentaire peut se faire :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- soit au niveau des tissus durs de la dent par destruction progressive de dehors en dedans de l’émail, de la dentine et du cément : carie dentaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- soit par résorption lente des tissus de soutien de la dent (ou parodonte) qui aboutira à la perte partielle ou totale de la denture : parodonthopatie</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Ces deux pathologies parfois intriquées relèvent de mécanismes physiopathologiques complexes faisant intervenir des agents bactériens, des facteurs métaboliques (sucres lents, hypovitaminose, grossesse), des facteurs salivaires (xérostomie post-radique), des facteurs toxiques, et des facteurs héréditaires. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une mauvaise hygiène bucco-dentaire est fréquemment associée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) – la carie dentaire : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- à la carie de l’émail (1er degré) asymptomatique, succède la carie dentinaire (2ème degré) à l’origine d’une dentinite : douleurs provoquées</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- la pulpite (3ème degré) provoque une douleur spontanée parfois violente ("rage de dents") : irradiation, caractère intermittent, signes réflexes associés, caractère pulsatile. La nécrose pulpaire sera l’évolution inéluctable, en l’absence de traitement elle aboutira au stade post-carieux (4ème degré) qui est celui des complications locales, loco-régionales et à distance. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La complication locale la plus habituelle est l’apparition d’un granulome apical souvent asymptomatique, parfois à l’origine d’une mono-arthrite apicale (douleurs spontanées, dent légèrement mobile, douloureuse à la percussion, élargissement ligamentaire sur une radio rétro-alvéolaire).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les complications régionales sont les cellulites, les sinusites et les ostéites.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les complications générales sont essentiellement cardio-vasculaires (endocardites infectieuses chez des patients valvulaires ou porteurs d’une malformation congénitale). D’autres atteintes générales de nature inflammatoire ont été décrites : manifestations articulaire, rénale, oculaire, cutanée… dans tous ces cas, la mise en état bucco-dentaire fait partie de la démarche thérapeutique. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) Parodontopathie :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le syndrome parodontal se manifeste par :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>- <a href="http://www.lescoursdentaire.com/" rel="external" title="clinique">clinique</a>ment :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· Des gingivites oedèmateuses avec gingivorragies au brossage</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· La récession gingivale associée à une dénudation radiculaire est très caractéristique </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’évolution se fait vers la mobilité dentaire avec perte prématurée de la dent</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">· L’apparition d’une poche parodontale signe la surinfection locale pouvant évoluer vers l’abcès gingival (parulie)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- radiologiquement : on retrouve une lyse progressive de l’os alvéolaire avec disparition du septum inter – dentaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sur le plan thérapeutique, les possibilités sont réduites (<a href="http://www.lescoursdentaire.com/tag/chirurgie" rel="external" title="chirurgie">chirurgie</a> parodontale) et le traitement préventif est le plus efficace.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>3) Cellulite péri – maxillaire d’origine dentaire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit d’une infection plus ou moins circonscrite des tissus mous péri -maxillaires par des germes d’origine bucco-dentaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) Etiologie</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les cellulites compliquent le plus souvent une nécrose pulpaire, l’infection diffusant à travers l’os alvéolaire pour gagner les régions sous – périostées et au-delà les loges musculaires ou graisseuses.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">D’autres causes dentaires sont possibles : complications de parodontopathie, évolution de péri coronarite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Des causes non – dentaires peuvent donner des tableaux équivalents : fracture, ostéite, infection de kyste…</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) Clinique</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le stade oedémateux associe douleurs, tuméfaction inflammatoire sous-muqueuse et sous-cutanée, trismus modéré</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le stade suppuré est très caractéristique : douleurs continues avec trismus, signes généraux, tuméfaction volumineuse gardant le godet adhérente au plan profond</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- l’évolution se fait le plus souvent vers la fistulisation spontanée qui pourra précéder le passage à la chronicité</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">c) Formes topographiques</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Elles sont très nombreuses et dépendent de la localisation de l’apex dentaire par rapport aux corticales osseuses et aux insertions musculaires.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Schématiquement, on peut distinguer </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">. à la <a href="http://www.lescoursdentaire.com/2422" rel="external" title="mandibule">mandibule</a> les formes vestibulaire, temporo – massétérin, pelvi -buccale sus et sous – mylo hyoïdienne, sous -mandibulaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">. au maxillaire les formes palatine, jugale et orbitaire lorsque la dent causale est la canine ou la prémolaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">d) Diagnostic :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’origine dentaire est confirmée par l’examen clinique (antécédents, découverte d’une dent mortifiée). Cet examen est difficile en cas de trismus. </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans tous les cas la radiographie, indispensable, confirme la pathologie apico-dentaire ou l’existence d’une dent de sagesse en désinclusion.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il est habituellement aisé d’éliminer un phlégmon sous-mandibulaire, une pathologie d’origine salivaire (sous-mandibulite), une ostéite.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">e) Evolution :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- fistulisation ou chronicisation avec persistance d’un nodule sous-cutané</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- aggravation des signes locaux et généraux en particulier sur des terrains favorisants (diabète, baisse de l’immunité)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- diffusion réalisant une cellulite faciale associant des signes loco-régionaux (infiltration pelviglosse, infiltration cervicale), et des signes généraux de type choc septique. L’évolution peut être fatale en l’absence de traitement rapidement bien conduit.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">f) Traitement :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- traitement médical : il repose sur une antibiothérapie (en l’absence d’allergie : acide clavulanique). Un traitement anti-inflammatoire ne sera jamais prescrit de manière isolée. La pose d’une vessie de glace est un excellent complément antalgique et anti-inflammatoire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- le traitement chirurgical sera, dans les cas simples (cellulite oedémateuse), l’extraction de la dent causale sous <a href="http://www.lescoursdentaire.com/category/anesthesie" rel="external" title="anesthésie">anesthésie</a> locale. Dans les cas compliqués, une anesthésie générale est indispensable permettant l’évacuation, le lavage et le drainage de l’abcès par voie cutanée et/ou vestibulaire ainsi que l’extraction de la ou des dents causales.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>4) Sinusite maxillaire d’origine dentaire :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Les dents "sinusiennes" sont la première molaire, la deuxième prémolaire, plus rarement la deuxième molaire et la première prémolaire supérieures.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Leur apex est en contact intime avec la muqueuse du plancher sinusien et une infection apicale pourra se propager à travers l’os alvéolaire à la muqueuse sinusienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) Diagnostic :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit d’une sinusite unilatérale, purulente, récidivante.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’examen clinique retrouve du pus dans le méat moyen et permet souvent d’identifier la dent causale.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Un examen radiologique (radiographie panoramique, incidence sinusienne) montre soit une opacité complète du sinus avec ou sans niveau liquide soit une image en cadre traduisant un épaississement de la muqueuse sinusienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’origine dentaire est confirmée radiologiquement.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) Formes étiologiques : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- dent mortifiée : c’est la cause la plus fréquente</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- origine iatrogène : refoulement intra-sinusien d’une racine d’une dent lors d’une extraction difficile, dépassement apical lors d’un traitement dentaire avec projection de pâte à canaux dans le sinus qui réalise une image radio-opaque du bas-fond sinusien très caractéristique. C’est dans ce cas qu’est décrite l’aspergillose sinusienne.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">c) Communication bucco – sinusienne :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Il s’agit le plus souvent d’une complication post-extractionnelle réalisant une communication entre la cavité orale et la cavité sinusienne (passage aérien et liquidien).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une sinusite chronique complique habituellement ce tableau.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">d) Diagnostic différentiel :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- cellulite génienne</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- sinusite d’origine rhinologique (sinusite bilatérale, terrain allergique…)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- cancer du sinus maxillaire (épistaxis, ostéolyse radiologique justifiant la pratique d’un examen scannographie)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">e) Traitement :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- de la cause dentaire : il s’agira le plus souvent d’une extraction</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- de la sinusite : drainage sinusien par voie nasale et/ou vestibulaire (intervention de Caldwell – Luc)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Dans tous les cas, une antibiothérapie sera associée.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;"><b>5) Ostéite des maxillaires :</b></div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’infection osseuse de la mandibule ou plus rarement du maxillaire survient le plus souvent chez l’adulte jeune à la suite d’une infection apicale d’une molaire mandibulaire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’ostéo -myélite hématogène est exceptionnelle et se rencontre surtout chez le petit enfant.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">a) Ostéite circonscrite : </div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Alvéolite post-extraction : quelques jours après l’extraction d’une molaire survient une douleur très violente de l’alvéole qui est le plus souvent sèche, parfois comblée par un bourgeon charnu inflammatoire.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La recherche d’un petit séquestre osseux ou d’une racine oubliée par un examen radiologique sera systématique. Dans ce cas, une révision alvéolaire sera nécessaire en complément du traitement médical.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">b) Ostéite diffuse de la mandibule :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Le tableau clinique associe douleurs mandibulaires souvent irradiées (otalgies, syndrome général modéré, tuméfaction mandibulaire douloureuse). Il existe très souvent une anesthésie labio -mentonnière (signe de Vincent).</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Sur le plan radiologique, l’origine dentaire est plus ou moins évidente (la dent a pû être extraite). Il existe une modification de la trame osseuse qui apparaît gommée. A un stade plus avancé, un séquestre osseux pourra être observé.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">Une scintigraphie confirmera le diagnostic en montrant une fixation très intense aux temps précoces et tardifs.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">c) Evolution :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">La chronicisation est la règle en l’absence de traitement parfaitement adapté. L’ostéite évolue alors au long cours avec des poussées inflammatoires régulières séparées d’un intervalle libre plus ou moins asymptomatique.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">L’image radiologique est de plus en plus évidente avec l’apparition d’un ou plusieurs séquestres qui peuvent parfois s’extérioriser.</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">d) Formes cliniques :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ostéite traumatique : fracture mobile non traitée ou infection après ostéosynthèse</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ostéite nécrosante d’origine iatrogène secondaire à un traitement dévitalisant à base d’Anhydride arsénieux, à l’origine d’un volumineux séquestre dento-alvéolaire</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ostéoradionécrose : cf chapitre cancérologie</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- ostéite tuberculeuse : exceptionnelle</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">e) Traitement :</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- traitement étiologique : extraction de la dent causale, révision du foyer alvéolaire, contention ou nouvelle ostéosynthèse en cas d’ostéite traumatique…</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- traitement médical : il repose sur une antibiothérapie au long cours si possible adaptée d’après un antibiogramme. Ce dernier n’est pas toujours possible et une antibiothérapie probabiliste sera alors mise en route (PYOSTACINE pendant trois à six mois)</div><div style="text-align: left;"> </div><div style="text-align: left;">- traitement chirurgical : ablation des séquestres, décortication de la table externe de la mandibule. </div></div>Unknownnoreply@blogger.com0