Les pulpites :

1- Lorsqu’on suspecte un cas de pulpite, la recherche de l’étiologie et l’établissement d’un bilan biologique sont indispensables, quand le bilan est léger (1ère crise douloureuse) la suppression de la douleur suffi largement.
Quand il s’agit de la carie dans les formes à évolution rapide, la suppression de l’énoculation septique apporte dans 80% des cas la disparition des douleurs spontanées en quelques heures.
Selon la profondeur de la lésion on fait un coiffage dentinaire ou juxta périphérique avec une infiltration anesthésique apicale sans vasoconstricteur, la douleur est calmé et il y à une favorisation de la disparition de la stase pulpaire, s’il y à échec il faut obligatoirement pratiquer une pulpectomie.
2- Dans le cas d’une fracture l’importance de la perte de substance exige très souvent une reconstitution avec un tenant radiculaire qui nécessite également la pratique d’une pulpectomie, quand il y à de petites pertes de substance coronaire l’indication est le coiffage dentinaire.
3- Les pulpites aigues : on peut logiquement les éviter toutes parce qu’elles apparaissent soit après des restaurations pratiqués sans précautions sont en rapport avec une préparation dentinaire mutilante ou à un usage sans protection des matériaux d’obturation, dans ce cas précis il y à un traitement préventif et un traitement curatif.
Il faut tout faire pour éviter toute énoculation septique de la pulpe (c’est pas la mètre à nu) : tel que conservation de la pulpe vivante (pansement dentinaire qui permet à la pulpe de se reposer).
Dans tous les cas si après une semaine d’observation les phénomènes douloureux persistent, on arrive au stade de pulpite irréversible d’où nécessité de pulpectomie.

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